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L'interaction entre le risque et le temps

L'interaction entre le risque et le temps
Christian GollierProfesseur à l'université de Toulouse La théorie de la finance développée récemment permet d'offrir des recommandations de gestion dynamique des risques en accord avec les objectifs du preneur de risque et les représentations de son environnement. Son application la plus évidente concerne la gestion de portefeuille. Faut-il réduire la détention d'actions quand l'horizon temporel de l'investisseur se réduit ? Octobre. Mark Twain, Pudd'nhead Wilson Le temps est consubstantiel au risque. Âge et gestion de portefeuille Commençons par une question : comment prendre en compte l'horizon temporel du décideur dans les choix stratégiques de portefeuille ? À ma connaissance, Paul Samuelson, en 1963, fut le premier économiste à s'intéresser à cette question. Un autre argument repose sur la loi des grands nombres. On en déduit que la théorie ne prédit pas de façon univoque le lien entre horizon d'investissement et composition optimale de portefeuille. Marche aléatoire ou prévisible ? Related:  GESTION DES RISQUES

Prendre vite les bonnes décisions Evaluer l'essentiel des situations en un clin d'oeil, connaître les pièges tendus par l'urgence, savoir à quel point son intuition est fiable, jauger la part de risque acceptable... Prendre rapidement de bonnes décisions relève d'un état d'esprit fait de prudence et de dynamisme. Voici les conseils d'un spécialiste pour se tirer avec les honneurs de ces situations pas toujours faciles. Bien se connaître Un prérequis à la prise rapide d'une décision est de connaître ses propres tendances : est-on plutôt impulsif ? Prendre du recul La deuxième difficulté d'une prise de décision rapide vient de ce que l'on est tenté de ne considérer la problématique qu'avec son propre regard. "Et en tout état de cause, si l'on a deux solutions, chercher la troisième."

La gestion du temps 33EmailShare La gestion du temps est un domaine important surtout dans le monde de l’entreprise où l’on a beaucoup réfléchi sur le sujet, avec malheureusement une vision un peu trop biaisée et productiviste qui pour simplifier pourrait se résumer à : « Comment faire le maximum dans le minimum de temps ». La vision de la gestion du temps que je vais vous livrer à pour but de s’appliquer à la vie de tous les jours avec pragmatisme. Ce sont un ensemble de règles de bon sens à vrai dire : Faire des choix car le temps n’est pas extensible. Le temps est une ressource précieuse car il s »écoule, et on le rattrape jamais contrairement au dicton populaire. Se fixer des objectifs. Si on ne connait pas sa destination, on ne sait pas quel chemin prendre n’est ce pas ? Fixer une priorité sur les tâches à accomplir en ne confondant pas urgence et importance. Sachant que l’on doit faire des choix et que l’on a fixé des objectifs, il est simple de placer ce qu’on appelle des priorités sur les tâches.

Comment réussir à prendre une décision courageuse? Publié le 20/08/2013 à 09:32, mis à jour le 20/08/2013 à 09:32 La peur a des effets insoupçonnables... Photo: DR BLOGUE. Découvrez mes précédents billets Rejoignez-moi sur Facebook et sur Twitter Trois professeurs de finance italiens ont voulu le savoir : Luigi Guiso, de l'Institut d'économie et de finance Einaudi de Rome (Italie); Paola Sapienza, de l'École de management Kellogg (États-Unis); et Luigi Zingales, de l'École de commerce Booth à Chicago (États-Unis). Ainsi, les trois chercheurs ont pu mettre la main sur des sondages menés par une grande institution bancaire italienne – dont le nom n'est pas divulgué – auprès de leurs clients. Qu'en est-il ressorti? > 46% des clients affichaient une plus grande aversion au risque qu'auparavant. > 55% pensaient qu'en cas de perte dans un placement risqué de 5 000 euros, ils pouvaient perdre jusqu'à la moitié de cette somme (alors qu'en 2007, la pire crainte était de perdre 1 000 euros sur les 5 000 placés).

La prise de décision au sein de l'entreprise La prise de décision est l’acte le plus important qu’un individu puisse prendre, dans le temps et dans l’espace, quelle que soit la position sociale ou hiérarchique qu’il occupe dans la société. Qu’il soit homme de politique, homme d’affaires, magistrat, médecin ou un commun des mortels, la décision prise par lui, a inéluctablement une répercussion positive ou bien négative sur sa vie privée et/ ou professionnelle, comme elle a aussi un impact direct ou indirect sur son environnement. De nos jours, le nombre de décisions que nous devons prendre ne peut aller qu’en augmentant eu égard à la complexité croissante et la rapidité des changements dus à la mondialisation socio-économique et culturelle et à son impact certain sur notre vie quotidienne.

Gestion du risque Qu’est-ce que le risque? Le risque est inhérent à tous les projets. Dans le jargon de la gestion de projet, le « risque » désigne une condition ou un événement incertain ayant une cause et, lorsqu’il se produit, a un effet positif ou négatif sur les objectifs du projet ainsi qu’une incidence sur les coûts, l’échéancier ou la qualité du projet. Par exemple, la cause d’un risque peut être la nécessité d’avoir une salle de classe disposant d'ordinateurs en réseau à l’intention des apprenants participant à votre projet de perfectionnement des compétences. Cela a des répercussions sur votre objectif qui est d'offrir une formation en informatiques à des adultes sous-employés, la conséquence étant que vous devez louer d’autres installations ou retarder les activités dans le cadre du projet. Identification des risques La première étape dans la création d'un plan de réponse consiste à définir les risques qui pourraient nuire à votre projet. Élaboration de stratégies de réaction face aux risques

Gestion du temps: savoir distinguer l'urgence de l'importance Après des études de langues et l'exercice du métier d'assistante de direction pendant 25 ans, Elisabeth Durand-Mirtain est depuis une dizaine d'années consultante-formatrice indépendante bilingue sur des thèmes de développement de l'efficacité personnelle et professionnelle (organisation, communication, développement personnel et secrétaires/assistant(e)s) pour des entreprises, des PME/PMI, l'Administration, des écoles, etc. en France et à l'étranger, ainsi que pour tout type de public. Responsable des Relations Publiques d'European Management Assistants France (EUMA) (www.euma-france.org), elle a également été Présidente France, puis Vice-Présidente Europe, elle est également Intervenante pour une Licence Professionnelle en Ressources Humaines et membre du projet EURO-AST (European Assistant), certification européenne de l'assistant(e) avec le Ministère de l'Éducation Nationale et des partenaires de 7 autres pays (www.euroast.eu). Contact: Tél.: 06 13 51 11 26 Site Web: www.mirtain.com

Les 4 clés d'une gestion du temps efficace Le temps est une des plus importantes ressources que nous avons. Malheureusement nous ne nous en rendons pas toujours compte. Comme c’est une ressource limitée, nous avons tendance à le considérer en ennemi plutôt qu’en fidèle allié. Voici 4 clés relevées dans plusieurs des meilleurs livres de management personnel qui vous permettront de mieux gérer votre temps. La loi de Pareto Cette loi inventée par l’économiste du nom de Pareto est aussi appelée loi des 80/20 et pour cause. Apprendre à déléguer On ne peut pas toujours laisser tomber ces tâches non importantes, me direz-vous ! Prenons un exemple. Effectuez les tâches les plus rentables et déléguez les autres ! Savoir dire non Combien de fois s’engage-t-on à quelque chose sans réellement y penser et le moment venu toute motivation a disparu ? La loi de Parkinson Cette loi est du pain bénit pour tous les fainéants ambitieux La loi de Parkinson explique qu’on est plus performant lorsque l’on dispose d’une ressource en temps moins importante.

adapter la gestion des risques aux décideurs De mon expérience personnelle, l’une des grandes difficultés rencontrées par les DSI et les RSSI dans la gestion des risques n’est pas d’identifier les risques ou de les évaluer, mais bel et bien d’obtenir des budgets pour réduire les risques à un niveau acceptable, en particulier en période de pression budgétaire accrue. Mais que faire lorsque les dirigeants ne comprennent pas les risques ? Je vous livre ma méthode. la réaction type du dirigeant face à un risque IT élevé Quelle serait la réaction naturelle et prévisible d’un directeur si je l’informe qu’il a un score de risque de 92 sur un maximum de 100 pour un serveur ou une application et que les conséquences peuvent lui coûter très cher, des millions peut-être ? Externaliser les activités liées. mais que faire pour qu’ils comprennent ? Il est important de comprendre les motivations et les critères de décisions des dirigeants pour les convaincre. ma méthode Mon but est donc de lier les risques "IT" à des processus métiers. en conclusion

Gestion du risque : anticiper et s'adapeter Crédits photo : Shutterstock.com « Prendre en compte les risques permet aussi d’identifier les opportunités. Malheureusement, il y a aujourd’hui en France trop souvent une attitude de déni face au risque. C’est culturel, historique et économique : notre système économique et social actuel laisse peu de place à la prise de risque, qui est pourtant l’une de ses composantes essentielles. Le droit à l'erreur, nécessaire Dan Vogel, Président Directeur Général et co-fondateur d'Enablon, un éditeur de logiciels et de solutions Internet français créé en 2000, spécialisé dans la gestion des risques et la performance durable. « D’une manière générale, il faut en France, dès aujourd’hui, tenir compte des risques, quels qu’ils soient : le risque représenté par un fournisseur, au fin fond du golfe du Mexique, ou bien par un trader irresponsable : toute entreprise peut se retrouver soudainement en grande difficultés, en raison d’un élément qu’elle n’a pas maîtrisé.

Et si l’activité de l’entreprise était la genèse de la gestion des temps ? Publi-reportage publié le 28/02/2013 Quelle solution informatique pour réduire l’attente en caisse ? Partir d’une problématique terrain et non pas RH, tel est le postulat de Holy-Dis pour élaborer ses solutions de planning prévisionnel. Partir des données métiers « Données d’encaissement pour la grande distribution, volumes d’appels et durée moyenne de communication pour les centres d’appels, nombre de repas pour la restauration, nombre de colis pour la logistique… autant d’exemples de données que nous sommes en mesure d’agréger pour permettre à nos clients d’établir leur prévision d’activités, d’analyser leur productivité et de calculer le dimensionnement RH associé », explique son responsable marketing et communication, Stéphane Chambareau. Équilibrer les trois pôles autour desquels s’articule l’entreprise La fluctuation de l’activité, point commun de toute organisation, point de départ de l’organisation prévisionnelle L’anticipation, la base de toute bonne organisation RH www.holydis.com

Quel est le processus de decision en entreprise ? Prendre une décision, quel modèle de processus ? Réfléchis avec lenteur, mais exécute rapidement tes décisions. Isocrate, Philosophe (Athènes 436 av JC) La décision est une prise de risque La prise de décision n'est pas une situation de tout repos. Les 4 phases du processus de prise de décision en entreprise Les pièges de la prise de décision Ce modèle classique que l'on retrouve chez plusieurs auteurs comme Henry Mintzberg et que j'expose dans le livre "Les nouveaux tableaux de bord des managers" est particulièrement intéressant pour apprécier les multiples moyens de détourner la décision. Lecture recommandée › L'ouvrage de référence auprès des managers, consultants, chefs de projets décisionnels, formateurs et enseignants. Les nouveaux tableaux de bord des managers Le projet décisionnel en totalité Eyrolles 6ème édition 2013 - 495 pages Prix : 35 euros Dispo chez : www.amazon.fr & PDF ou ePub Format Kindle Partagez cet article... (total partages cumulés > 145) Commentaires lecteurs...

La prévention des risques, levier de performance des entreprises artisanales | Marchés & innovations - Horizon 2020 Concentrant près de 9% des salariés en France, le secteur du BTP représente à lui seul 18% des accidents de travail et près de 30% des décès, ce qui le place comme un des secteurs d’activité les plus accidentogènes. Les travailleurs du BTP sont exposés quotidiennement à des risques induits par la nature de leur tâche, la spécificité de chaque chantier, leur mobilité et l’influence de leur environnement, source de nombreux aléas. Représentant 98 % des entreprises françaises du BTP, l’artisanat constitue une population particulièrement vulnérable. En effet, les enjeux de prévention sont immenses car le coût humain, social et économique des accidents du travail et maladies professionnelles est particulièrement élevé pour ces petites structures. La préservation d’un capital humain précieux La force et la richesse d’une entreprise reposent en grande partie sur sa main d’œuvre. Un levier d’attractivité et d’image Quand prévention rime avec performance économique

La prise en compte du temps modifie-t-elle la décision ? - Réviser le cours - Sciences de gestion - Première STMG L'horizon de l'organisation est ordonné en termes échelonnés : court, moyen et long termes, avec des niveaux décisionnels différents (de l'opérationnel au stratégique) et des degrés variables quant à la valeur de l'information disponible. Par ailleurs, le découpage du temps en périodes au sein d'une organisation est lié à différentes contraintes : institutionnelles (durée du travail, publication des résultats…), sectorielles (fluctuations saisonnières, longueur du cycle de production, ouverture des marchés…), technologiques. Pour mieux faire face aux contraintes temporelles, l'organisation peut utiliser des outils et des méthodes d'aide à la prévision et à l'homogénéisation de la valeur par rapport au temps. 1. Horizon et niveaux de décisions L'horizon correspond à la limite temporelle sur laquelle le décideur va agir (court, moyen ou long terme). Les périodes et les contraintes de découpage Les périodes correspondent à un découpage du temps. Le temps est donc source d'incertitudes. 2.

II-10-20 Gestion des risques et performance 1.1 La fin des certitudes, l'avènement de la complexité L'environnement économique au sein duquel évoluent les entreprises s'est considérablement (et brutalement !) complexifié depuis les années 1980. Et il nous faut admettre que cette complexité, source d'instabilité et de variabilité, conséquence de la globalisation des circuits économiques, de l'intensification des échanges et des progrès technologiques, n'est pas une crise passagère mais bien un phénomène durable qui demande donc, non pas des mesures palliatives et temporaires, mais une adaptation de nos modes de fonctionnement. Nous évoquerons un peu plus loin quelques facteurs participant à la complexification du contexte au sein duquel évoluent les entreprises, souvent interdépendants les uns des autres, pour bien nous convaincre qu'ils ne sont pas des épiphénomènes momentanés mais correspondent au contraire à une mutation profonde de nos sociétés. 1.2 La crise du modèle assurantiel Ceci nous amène à la notion de vulnérabilité.

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