Prendre vite les bonnes décisions Evaluer l'essentiel des situations en un clin d'oeil, connaître les pièges tendus par l'urgence, savoir à quel point son intuition est fiable, jauger la part de risque acceptable... Prendre rapidement de bonnes décisions relève d'un état d'esprit fait de prudence et de dynamisme. Voici les conseils d'un spécialiste pour se tirer avec les honneurs de ces situations pas toujours faciles. Bien se connaître Un prérequis à la prise rapide d'une décision est de connaître ses propres tendances : est-on plutôt impulsif ? Prendre du recul La deuxième difficulté d'une prise de décision rapide vient de ce que l'on est tenté de ne considérer la problématique qu'avec son propre regard. "Et en tout état de cause, si l'on a deux solutions, chercher la troisième."
La gestion du temps 33EmailShare La gestion du temps est un domaine important surtout dans le monde de l’entreprise où l’on a beaucoup réfléchi sur le sujet, avec malheureusement une vision un peu trop biaisée et productiviste qui pour simplifier pourrait se résumer à : « Comment faire le maximum dans le minimum de temps ». La vision de la gestion du temps que je vais vous livrer à pour but de s’appliquer à la vie de tous les jours avec pragmatisme. Ce sont un ensemble de règles de bon sens à vrai dire : Faire des choix car le temps n’est pas extensible. Le temps est une ressource précieuse car il s »écoule, et on le rattrape jamais contrairement au dicton populaire. Se fixer des objectifs. Si on ne connait pas sa destination, on ne sait pas quel chemin prendre n’est ce pas ? Fixer une priorité sur les tâches à accomplir en ne confondant pas urgence et importance. Sachant que l’on doit faire des choix et que l’on a fixé des objectifs, il est simple de placer ce qu’on appelle des priorités sur les tâches.
Sécurité, les nouvelles menaces à la porte des entreprises - Le 02 Novembre 2011 La multiplication des usages comme les terminaux personnels (smartphones et tablettes), les réseaux sociaux et les services cloud doit alerter les responsables informatiques, mais aussi les dirigeants d'entreprise sur la nécessité d'engager une nouvelle politique de sécurité pour contrer les menaces. Ces dernières se font de plus en plus persistantes et cachées. Derrière ces dangers, les organisations criminelles se professionnalisent et ont comme objectif de rentabiliser financièrement les données volées. Notre rédaction a mené une vaste enquête sur la sécurité informatique telle qu'elle se présente aujourd'hui. Crédit photo : D.R. Sommaire du dossier : 1.
GESTION DU RISQUE Gestion du risque Qu’est-ce que le risque? Le risque est inhérent à tous les projets. Dans le jargon de la gestion de projet, le « risque » désigne une condition ou un événement incertain ayant une cause et, lorsqu’il se produit, a un effet positif ou négatif sur les objectifs du projet ainsi qu’une incidence sur les coûts, l’échéancier ou la qualité du projet. Par exemple, la cause d’un risque peut être la nécessité d’avoir une salle de classe disposant d'ordinateurs en réseau à l’intention des apprenants participant à votre projet de perfectionnement des compétences. Cela a des répercussions sur votre objectif qui est d'offrir une formation en informatiques à des adultes sous-employés, la conséquence étant que vous devez louer d’autres installations ou retarder les activités dans le cadre du projet. Identification des risques La première étape dans la création d'un plan de réponse consiste à définir les risques qui pourraient nuire à votre projet. Élaboration de stratégies de réaction face aux risques
Les bibliothèques vont-elles survivre? La fréquentation des bibliothèques est en baisse. L'utilisateur lui préfère le confort de son chez lui et les informations glanées sur Internet. Face à ces changements, les biblios ont commencé à muter. Une hybridation à mi-chemin entre numérique et papier. A l’heure où l’information se consomme et se périme aussi vite que des asperges primeur, on pourrait presque se demander à quoi bon encore aller dans une bibliothèque quand tout est accessible depuis notre connexion internet personnelle. La très officielle enquête des pratiques culturelles des Français de 2008 montre ainsi que nous lisons moins d’imprimés et préférons davantage le web et le multimédia. Librarian, r u has been (lol) ? Il y a aussi Google. Mais tout de même. Une question un peu précise ? De leur côté, les gouvernements semblent se dire que le droit à l’information et à la formation du citoyen n’est qu’un gadget démocratique coûteux. Créer des liens Lire, c’est lier aussi. “Le bibliothécaire est un atout du web”
La veille, une approche globale et stratégique Selon BADOT et COVA [1], le pouvoir s’est déplacé, glissant de l’accès des matières premières à l’accès aux sources d’information et à l’information. Cette nouvelle nécessité explique donc que l’une des conditions de survie de la firme est la veille quelle que soit son domaine d’étude. Pour BURGAUD, la veille est « une gestion de l’information qui se développe sur deux axes : spéculatif (recherche et recueil de l’information) et projectif (évaluation et projection des résultats éventuels) et qui concerne l’ensemble de l’entreprise aussi bien les fonctions technologiques que financières et commerciales. » L’AFNOR (norme XP X50-053, avril 1988) présente la veille comme une activité continue et en grande partie itérative visant à une surveillance de l’environnement technologique, commercial…pour anticiper les évolutions. Historiquement ce sont les grands groupes industriels qui ont été les premiers à mettre en œuvre une démarche de veille. 1. Les typologies de veilles Le cycle de la veille
adapter la gestion des risques aux décideurs De mon expérience personnelle, l’une des grandes difficultés rencontrées par les DSI et les RSSI dans la gestion des risques n’est pas d’identifier les risques ou de les évaluer, mais bel et bien d’obtenir des budgets pour réduire les risques à un niveau acceptable, en particulier en période de pression budgétaire accrue. Mais que faire lorsque les dirigeants ne comprennent pas les risques ? Je vous livre ma méthode. la réaction type du dirigeant face à un risque IT élevé Quelle serait la réaction naturelle et prévisible d’un directeur si je l’informe qu’il a un score de risque de 92 sur un maximum de 100 pour un serveur ou une application et que les conséquences peuvent lui coûter très cher, des millions peut-être ? Externaliser les activités liées. mais que faire pour qu’ils comprennent ? Il est important de comprendre les motivations et les critères de décisions des dirigeants pour les convaincre. ma méthode Mon but est donc de lier les risques "IT" à des processus métiers. en conclusion
Risque (Définition) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Ne doit pas être confondu avec Aléa. Les pompiers sont entrainés à la prise de risques. La notion de risque s'explique différemment dans le sens commun et dans des approches techniques ou entrepreneuriales. Le risque peut être « avéré », « potentiel », « émergent » ou « futur »[1]. Avec le temps, certains risques disparaissent, de nouveaux risques apparaissent, et notre capacité à les gérer évolue[1]. Historique[modifier | modifier le code] Définitions - Terminologie[modifier | modifier le code] Sens commun[modifier | modifier le code] Le risque est une notion difficile à cerner mais de façon générale, on peut dire que c'est une contingence indésirable, appréhendée, relativement anodine et peu probable. Par appréhendée, on entend par là que le risque est connu au préalable. Acception technique[modifier | modifier le code] Selon le domaine concerné, on parle de risque chimique[4], de risque biotechnologique, de risque nucléaire, etc.. ∑pi = 1 et donc
Et si l’activité de l’entreprise était la genèse de la gestion des temps ? Publi-reportage publié le 28/02/2013 Quelle solution informatique pour réduire l’attente en caisse ? Partir d’une problématique terrain et non pas RH, tel est le postulat de Holy-Dis pour élaborer ses solutions de planning prévisionnel. Partir des données métiers « Données d’encaissement pour la grande distribution, volumes d’appels et durée moyenne de communication pour les centres d’appels, nombre de repas pour la restauration, nombre de colis pour la logistique… autant d’exemples de données que nous sommes en mesure d’agréger pour permettre à nos clients d’établir leur prévision d’activités, d’analyser leur productivité et de calculer le dimensionnement RH associé », explique son responsable marketing et communication, Stéphane Chambareau. Équilibrer les trois pôles autour desquels s’articule l’entreprise La fluctuation de l’activité, point commun de toute organisation, point de départ de l’organisation prévisionnelle L’anticipation, la base de toute bonne organisation RH www.holydis.com
Les 4 clés d'une gestion du temps efficace Le temps est une des plus importantes ressources que nous avons. Malheureusement nous ne nous en rendons pas toujours compte. Comme c’est une ressource limitée, nous avons tendance à le considérer en ennemi plutôt qu’en fidèle allié. Voici 4 clés relevées dans plusieurs des meilleurs livres de management personnel qui vous permettront de mieux gérer votre temps. La loi de Pareto Cette loi inventée par l’économiste du nom de Pareto est aussi appelée loi des 80/20 et pour cause. Apprendre à déléguer On ne peut pas toujours laisser tomber ces tâches non importantes, me direz-vous ! Prenons un exemple. Effectuez les tâches les plus rentables et déléguez les autres ! Savoir dire non Combien de fois s’engage-t-on à quelque chose sans réellement y penser et le moment venu toute motivation a disparu ? La loi de Parkinson Cette loi est du pain bénit pour tous les fainéants ambitieux La loi de Parkinson explique qu’on est plus performant lorsque l’on dispose d’une ressource en temps moins importante.
La prévention des risques, levier de performance des entreprises artisanales | Marchés & innovations - Horizon 2020 Concentrant près de 9% des salariés en France, le secteur du BTP représente à lui seul 18% des accidents de travail et près de 30% des décès, ce qui le place comme un des secteurs d’activité les plus accidentogènes. Les travailleurs du BTP sont exposés quotidiennement à des risques induits par la nature de leur tâche, la spécificité de chaque chantier, leur mobilité et l’influence de leur environnement, source de nombreux aléas. Représentant 98 % des entreprises françaises du BTP, l’artisanat constitue une population particulièrement vulnérable. En effet, les enjeux de prévention sont immenses car le coût humain, social et économique des accidents du travail et maladies professionnelles est particulièrement élevé pour ces petites structures. La préservation d’un capital humain précieux La force et la richesse d’une entreprise reposent en grande partie sur sa main d’œuvre. Un levier d’attractivité et d’image Quand prévention rime avec performance économique
Gestion du risque : anticiper et s'adapeter Crédits photo : Shutterstock.com « Prendre en compte les risques permet aussi d’identifier les opportunités. Malheureusement, il y a aujourd’hui en France trop souvent une attitude de déni face au risque. C’est culturel, historique et économique : notre système économique et social actuel laisse peu de place à la prise de risque, qui est pourtant l’une de ses composantes essentielles. Le droit à l'erreur, nécessaire Dan Vogel, Président Directeur Général et co-fondateur d'Enablon, un éditeur de logiciels et de solutions Internet français créé en 2000, spécialisé dans la gestion des risques et la performance durable. « D’une manière générale, il faut en France, dès aujourd’hui, tenir compte des risques, quels qu’ils soient : le risque représenté par un fournisseur, au fin fond du golfe du Mexique, ou bien par un trader irresponsable : toute entreprise peut se retrouver soudainement en grande difficultés, en raison d’un élément qu’elle n’a pas maîtrisé.
II-10-20 Gestion des risques et performance 1.1 La fin des certitudes, l'avènement de la complexité L'environnement économique au sein duquel évoluent les entreprises s'est considérablement (et brutalement !) complexifié depuis les années 1980. Et il nous faut admettre que cette complexité, source d'instabilité et de variabilité, conséquence de la globalisation des circuits économiques, de l'intensification des échanges et des progrès technologiques, n'est pas une crise passagère mais bien un phénomène durable qui demande donc, non pas des mesures palliatives et temporaires, mais une adaptation de nos modes de fonctionnement. Nous évoquerons un peu plus loin quelques facteurs participant à la complexification du contexte au sein duquel évoluent les entreprises, souvent interdépendants les uns des autres, pour bien nous convaincre qu'ils ne sont pas des épiphénomènes momentanés mais correspondent au contraire à une mutation profonde de nos sociétés. 1.2 La crise du modèle assurantiel Ceci nous amène à la notion de vulnérabilité.