In a Land of Plenty - Film Skip to content Register Registering with NZ On Screen means you can: save favourites comment on and discuss titles receive updates via email about what's happening in the site – if you want to Register now We won't share your data with anyone (see our Privacy Policy) and we won't spam you. Close Main navigation You are here: Home › Watch › Film › In a Land of Plenty In a Land of Plenty Film, 2002 (Documentary) In this section <div class='widget_title_videoplayer'><div class='form_messages'><div><div><h2 class='h2'> Video Player </h2><p class='error'> Please enable javascript </p><p> NZ On Screen makes use of JavaScript to present video. Share this by email High Low Clips (9) In A Land of Plenty (clip 1) Part one of eight from this full length documentary. Synopsis Background The Director's Perspective by Alister Barry 07.05.2009 Read more › Credits (5) Alister Barry Writer, Director Shane Loader Editor, Camera Ian Johnstone Narrator See all credits › Post a comment Comments (7) Bertrand Feuvray tt Thomas
Envahis par le gaz : les paysans du Nigeria face à Total Tout a commencé par une « explosion souterraine, accompagnée d’un incendie sous la terre ». Ils ont été suivis d’« éruptions de gaz très explosives ». « Le premier jour de ces fuites, les gens fuyaient pour s’abriter, car le gaz sortait de terre mélangé à la boue, en faisant d’énormes trous. » « J’ai des images vidéo, et lorsque vous verrez la manière dont le gaz rugit et bouillonne, vous comprendrez notre inquiétude. » « L’éruption était si forte que la pression a transporté la boue jusqu’à la hauteur d’un très grand palmier. »« Il y avait des expatriés [de Total] sur place et nous leur avons posé des questions. Ils nous ont dit qu’il n’y avait pas de solution au problème et qu’il fallait leur laisser quelques mois pour en trouver une. » « Nous ne pouvons plus dormir à cause du vacarme causé par les gaz en furie. Des communautés sans recours face aux multinationales Le sort du peuple Egi reflète celui de nombreuses autres communautés de la région du delta du Niger. Non-droit
DN! This is a rush transcript. Copy may not be in its final form. JUAN GONZÁLEZ: One part of President Obama’s new budget that has received little attention is the war on drugs. The White House is seeking $27.6 billion for federal drug control programs, nearly $1 billion more than last year. More than half the money will be allocated for drug law enforcement by the Pentagon, Department of Homeland Security, Department of Justice and the drug czar’s office. Hundreds of millions of dollars have also been requested to be spent fighting the war on drugs in Colombia, Mexico and Central America. AMY GOODMAN: Well, today we spend the rest of the hour looking at the U.S. drug war with British journalist Johann Hari, author of the new book, Chasing the Scream: The First and Last Days of the War of Drugs. Johann, welcome to Democracy Now! JOHANN HARI: Well, it’s fascinating. The first thing that—I had a really personal reason to want to look into this: We had a lot of addiction in my family. [break]
All talk, no action: Coal industry's hypocrisy on energy poverty The term “energy poverty” refers to people who do not have access to electricity and clean cooking facilities. Globally, 1.3 billion people do not have access to electricity in their houses and 2.6 billion people cook by burning coal, wood and other solid fuels. This has major impacts on people’s health, safety and quality of life. The coal industry is very vocal in promoting energy poverty and pushing coal as a solution to it. Energy poverty is the world’s number one human and environmental crisis. However, what Peabody says and what it does about energy poverty are very different. Peabody’s only contribution to energy poverty is maintaining a website and social media page which promotes coal as the solution to the problem. While Peabody talks about energy poverty, other organisations act. None of the main energy poverty initiatives promotes the use of coal. Perhaps because of this, the coal industry does not support any of the main energy poverty initiatives. Conclusion Authors:
Wake Up Call: End the Nightmare of Consumption Hidden beneath sleek, space-age screens and shining metal, the true cost of our gadgets lurks unseen… Have you ever felt like we're living through a nightmare of consumption? That you wish you could un-hook yourself and reconnect with a life that is somehow more real and vivid? Then perhaps you're ready to heed Earth's Wake Up Call. Today we live in a time when there is little to no understanding of how the goods we consume and take for granted came into being. Wake Up Call takes us on a fast-paced, animated glimpse of the true costs behind some of our most prized possessions - our electronic gadgets. This new short film for the Gaia Foundation was made by Steve Cutts, the animator who produced this great film.
Caravan to Unis'tot'en Camp - VIC FAN Unis’tot’en Camp is an indigenous re-occupation of Unis'tot'en Clan lands in northern BC, Canada. The camp's log cabin, traditional pit house, and forest permaculture garden sit squarely in the middle of the pipeline route to the port of Kitimat. The campers are blocking the way for two proposed gas pipelines and the Enbridge Northern Gateway tarsands pipeline. Volunteers are needed now & year round In the past year, the land defenders have evicted three pipeline surveying crews from their territory. Volunteers should: * be able to to travel to the camp * have an understanding of indigenous rights and responsibilities on their land * be prepared to help with the day to day work fo the camp * be ready to support the blockade if needed * respect that this movement is led by grassroots indigenous people Rideshares are coming together for October and November. The camp is 1000 km north of Vancouver, BC. Sign up to find out more about volunteering for the camp Can't see the form?
Vie et mort du capitalisme - Ép. 1/4 - Capitalisme, d'où viens-tu ? Le capitalisme produit des zombies ou, plus précisément, le progrès technique et la consommation de masse produisent des zombies d’un genre nouveau, différents de ceux qui sont apparus il y a plusieurs siècles à Haiti. Nous les voyons tous les jours dans les rues de nos villes, dans les couloirs du métropolitain, sur les passages piétons. Ils avancent la tête basse, le regard perdu, le pas lent. Ces zombies-là, ceux de notre siècle, ont greffé entre les mains un téléphone portatif dont l’écran les hypnotise. Des éthiques et des pratiques capitalistes ont-elles toujours existé ? Cette hypothèse d’origine industrielle du capitalisme a le mérite du bon sens. Souvent annoncée, la fin du capitalisme n’en finit plus d’arriver. Archives : « Les portes de l'abondance », source : Ministère Agriculture et Pêche, 1953Emission Le sens de l'histoire de Jean Aurel et Jacques Laurent, TF1, 07/09/1976 Lectures par Nathalie Kanoui : Musique : Extrait de film : La nuit des morts-vivants de George A.
Mensonges de Shell sur les déversements d’hydrocarbures au Nigeria : notre point sur l’affaire Après plusieurs années de déni, les mensonges de Shell sont enfin révélés au grand jour. Amnesty International a publié plusieurs rapports sur la pollution pétrolière dans le delta du Niger, au Nigéria. Shell a dû finalement admettre que les chiffres et les arguments qu'elle défendait pour limiter la portée des affirmations d'AI étaient faux. Que révèlent les documents judiciaires ? Shell a dû reconnaître qu'elle avait sous-estimé deux déversements d'hydrocarbures dans la ville de Bodo et que ses oléoducs dans la région étaient vieux et mal entretenus. Shell avoue avoir minimisé l'ampleur de ces déversements – que dit-elle à présent sur les volumes de pétrole déversés ? Il a fallu une action en justice pour que Shell finisse par admettre que les chiffres qu'elle défendait depuis des années étaient faux. Ne pourrait-il pas s'agir simplement d'une erreur de la part de Shell ? Ces révélations ouvrent-elles la voie à de nouvelles plaintes contre Shell ? © Amnesty International
Comment la finance « verte » détruit l'Amazonie La transition énergétique, tout le monde en parle mais peu la finance. Face à la défaillance des pouvoirs publics, empêtrés dans leurs politiques d’austérité, les regards se tournent vers le « secteur privé » et les marchés financiers. Un nouvel outil financier est en train d’émerger pour donner corps à ces espoirs d’un monde moins pollué : les « obligations vertes » (green bonds ou climate bonds en anglais). Cette année, l’entreprise énergétique française GDF Suez a battu tous les records en levant 2,5 milliards d’euros grâce à une émission obligataire « verte » [1]. Le principe ? Comme dans le cadre d’une obligation traditionnelle, l’entreprise lève de l’argent auprès des investisseurs, qu’elle devra rembourser à une échéance fixée d’avance, généralement éloignée, ce qui lui permet d’investir sur le long terme. Opération de communication Tout irait-il pour le mieux dans le meilleur des mondes ? Que reproche-t-on exactement au géant énergétique français et à son « obligation verte » ?
Ann-Laure a ramassé 7 tonnes de déchets: "Chômeuse longue durée, je suis à 100% pour le travail d'utilité publique" "Je reviens de la Dyle, c'est l'horreur", nous dit Ann-Laure, par téléphone. Soucieuse de préserver le cadre de vie d'un maximum de Belges, cette habitante de Huldenberg, dans le Brabant flamand, parcourt quotidiennement sa région et celle du Brabant wallon pour y ramasser les déchets. Ce matin encore, elle a trouvé des kilos de crasse polluante dans la vallée de la Dyle. "En plus des cannettes et bouteilles, en général, on trouve de tout, raconte-t-elle, après nous avoir joints via notre page Alertez-Nous. Des bidons remplis d'huile à moteur, des médicaments, des extincteurs, des clés USB, des Gsm, des cartes de banque dont les voleurs se débarrassent probablement, des jouets cassés, etc." "En octobre, j'ai ramassé 22 kg de cannettes, mais le pire, c'est la frigolite!" Cette amoureuse de la nature ne supporte pas que des déchets portent atteinte aux paysages, aux chemins de promenade, mais aussi qu'ils salissent les berges ou s'amoncellent le long des routes. Justine Sow @Justine_Sow
Gaz de schiste : comment la multinationale Shell fracture la planète à tout va Ukraine, Patagonie, Afrique du Sud, Tunisie… Le pétrolier Shell investit tous azimuts pour trouver du gaz de schiste et des hydrocarbures non conventionnels. Cette quête effrénée d’un nouvel eldorado pétrolier risque d’avoir de lourdes conséquences environnementales, en particulier sur les ressources en eau, menacées de surexploitation et de pollutions. La multinationale anglo-néerlandaise est d’ailleurs nominée comme « l’entreprise la plus agressive en terme de destruction des ressources naturelles » lors des prix Pinocchio 2014 qui « récompensent » les entreprises « en totale contradiction avec le concept de développement durable ». Du gaz de schiste, Shell en veut, et beaucoup. La multinationale pétrolière investit tous azimuts pour accumuler d’énormes concessions. « Shell s’active pour forer par fracturation hydraulique ou se prépare à le faire sur tous les continents », résume l’organisation britannique Platform, dans un bref rapport intitulé « Shell : méga-fractureur global ».
Le Pétrole peut devenir une malédiction pour les pays producteurs. Exemple emblématique, le Nigeria, pays le plus peuplé d'Afrique: Corruption massive, famine généralisée provoquée par la pollution incontrôlée des terres agricoles, guérilla armée ("Mouvement pour l’Emancipation du Nord Delta"), fuites généralisées, apparitions de milices de mercenaires, rapts, etc. .... On parle même, désormais, de "malédiction du golfe de Nigéria" by montmartre85 Aug 14