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Boys can have a vag! – Laci Green (sous-titres fr)

Boys can have a vag! – Laci Green (sous-titres fr)
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Transgenres : "Nous sommes des hommes et des femmes comme les autres" La question du genre est très souvent mise en avant et pas toujours de façon positive. Les stéréotypes de notre société judéo-chrétienne sont persistants : Ce ne sont pas de vraies femmes ou de vrais hommesIls sont certainement dérangésJ'ai rien contre mais je ne veux pas de ça chez moiIls font ça juste pour le sexe La liste pourrait malheureusement être très longue. J'ai malheureusement trop d'exemples de parents qui rejettent leurs enfants, cela fait partie des "on ne veut pas de ça chez nous". Au travail, comment annoncer à un collègue que l'on souhaite "devenir" une femme et venir au travail en robe plutôt qu'en costume ? J'ai eu la chance d'avoir une famille, des collègues et des employeurs formidables à tout point de vue, pas la moindre ombre au tableau venant de leurs parts. Il est par contre, des stéréotypes dont on ne parle jamais ou très peu, ceux liés au sexe. Mais la question se pose, comment rencontrer quelqu'un et que lui dire ?

La transidentité intéresse les DRH Chronique « Carnet de bureau ». « Des personnes en situation de mal-être décident de changer d’apparence physique en fonction de leur identité, car c’est devenu un besoin impérieux et prioritaire, sauf à se foutre en l’air. J’ai accompagné ma première personne en transition il y a huit ans. Depuis, j’en ai accompagné quatre, rien que chez IBM France », se souvient Jean-Louis Carvès, responsable diversité chez IBM France. Au niveau mondial, IBM a créé un réseau LGBT en 2000 et mis en place un processus RH d’accompagnement des personnes en transition depuis 2002. Selon le Williams Institute aux Etats-Unis, en 2016, les transgenres représentaient 1,4 million de personnes, soit 0,6 % de la population américaine. Article réservé à nos abonnés Lire aussi Comment les discriminations minent-elles la cohésion sociale ? Gain en « image »

Marie-Clémence Bordet-Nicaise nous parle de son histoire d'amour avec Aurore, sa femme C'est une jolie histoire que Marie-Clémence Bordet-Nicaise est venue nous raconter. Une histoire d'amour qu'elle n'aurait jamais penser vivre avant de faire la rencontre d'Aurore, il y a 10 ans. "Je viens d’un milieu plutôt bourgeois, catholique et j’ai grandi dans une fratrie très unie avec des parents aimants. Je ne me suis jamais interrogée sur ma sexualité, pour moi ce n’était pas du tout un sujet et très vite j’ai rencontré un garçon avec qui je pensais faire ma vie" nous confie Marie-Clémence, venue nous présenter son ouvrage, On ne choisit pas qui on aime. "Et puis à 20 ans, 21 ans je faisais un stage à Paris et j’ai rencontré une femme, Aurore, qui a 8 ans de plus que moi, qui vient d’un milieu social radicalement opposé au mien, pour qui la religion n’a pas de place dans sa vie" ajoute-t-elle, "et je suis tombée juste amoureuse d’elle". Jamais je ne me suis dit que j’allais devoir faire une croix sur le mariage ou sur le fait d’avoir des enfants A shopper

Mannequin transgenre, Valentina Sampaio a été choisie par Victoria's Secret, une première On connaissait Sara Sampaio, top au corps parfait des Victoria’s Secret Angels. On pourra désormais compter sur une autre Sampaio, Valentina, premier mannequin transgenre à avoir signé pour la marque de lingerie la plus célèbre du monde. La jeune femme âgée aujourd'hui de 22 ans commence sa carrière au Brésil, son pays natal, en 2013. Défilant pour la Fashion Week de São Paulo, elle fait la couverture de l'édition nationale du magazine Elle avant de décrocher, en 2016, un contrat chez L'Oréal Paris. En vidéo, focus sur les compagnons des Anges de Victoria's Secret Lutter contre les préjugés Regard vert d'eau, large sourire, longues jambes hâlées - en somme, une beauté pure à la brésilienne -, Valentina Sampaio s'affiche en couverture de l'édition française de Vogue l'année suivante. Les françaises qui ont défilé pour Victoria's Secret "Ne cessez jamais de rêver" C'est sur son compte Instagram aux 218.000 abonnés que le top annonce sa toute dernière «première».

Hillary and Chelsea Clinton disagree on transgender identity There’s at least one topic Hillary and Chelsea Clinton don’t see eye to eye on — transgender identity. In an interview with the the Sunday Times of London, the mother-daughter duo were asked if someone with a beard and penis can ever be a woman. “Ye-esss. Yes,” Chelsea replied. Her mom, meanwhile, looked “uneasy,” journalist Decca Aitkenhead wrote. “Errr. And while Chelsea, 39, said she supports children being able to play on sports teams that match their gender identity, Hillary, 71, appeared conflicted. “I think you’ve got to be sensitive to how difficult this is,” Hillary said. During the discussion, the reporter pointed out that many women of Hillary’s generation are uncomfortable with biological males sharing their bathrooms. “I would say that, absolutely,” the former secretary of state said, nodding firmly. That’s when Chelsea shot a “furious stare” at Aitkenhead, who called out the glare. “I’m a terrible actor,” the former first daughter laughed.

Paul B. Preciado Paul B. Preciado en 2018 à l'Institut Valencià d'Art Modern. Paul B. Preciado, connu sous le nom de Beatriz Preciado jusqu'en 2015, est un philosophe, chercheur, commissaire d'exposition et écrivain espagnol né le 11 septembre 1970 à Burgos. Biographie[modifier | modifier le code] Preciado, né Béatriz Preciado, grandit dans une famille catholique qui le place dans une école religieuse non mixte[1]. Dans les années 1990, il étudie à la New School for Social Research de New York grâce à une bourse Fulbright[2]. En 2000, il s’installe à Paris, et en 2002, organise le premier atelier dragking en France[1]. Preciado est chercheur associé au centre de recherche sur la danse de l'université Paris-VIII[6]. Preciado a été en couple avec l'écrivaine Virginie Despentes[8] (laquelle s’est alors déclarée publiquement comme lesbienne) de 2005[9] à 2014[10]. En décembre 2013, Preciado s'oppose aux limitations de l'avortement promulguées par le gouvernement de Mariano Rajoy. Le 16 novembre 2016, Paul B.

Transphobie médicale : "On m'a suggéré d'être plus discrète" "J'ai refusé qu'il m'appelle 'Monsieur', il m'a demandé de partir." Virée du cabinet d'un médecin en raison de sa transidentité, Émilie Dauby n'a jamais oublié cette humiliation. Venue consulter pour une tendinite, cette femme a plusieurs fois fait l'objet de transphobie en milieu médical, un fléau dénoncé en cette journée mondiale de lutte contre l'homophobie et la transphobie. Quelques années plus tôt, un autre médecin refusait de soigner son doigt blessé, invoquant un motif religieux pour justifier de ne pas la toucher. Refus de soin, usage des mauvais pronoms personnels ou de termes inadaptés... "C'était encore pire après" Selon une étude menée par l'association Lutte contre les discriminations (LCD) auprès de 1 147 personnes, une personne LGBTI sur deux s'est déjà sentie discriminée lors d'un parcours de soins. Du haut de ses 61 ans, Emilie Dauby ne peut que confirmer. LIRE AUSSI >> Agressions transphobes : le long chemin des victimes vers un procès Une espérance de vie amoindrie

Stella Rocha, qui es-tu vraiment ? "Nous les transgenres, on cherche à avoir les formes parfaites, le corps parfait. Mais parfois le parfait devient très dangereux", a dénoncé ce jeudi 16 mai l'actrice transgenre Stella Rocha invitée sur le plateau de TPMP. Aux côtés de son ami de longue date Laurent Baffie, la comédienne est revenue sur ses opérations de chirurgie esthétiques dont l'une a failli très mal tourner, il y a 20 ans de cela. Son ami Laurent Baffie ne soupçonne pas à l'époque les dangers du parcours emprunté par son amie. La comédienne a gardé des séquelles de cette opération. Une actrice dont on sait très peu de choses Le grand public a découvert Stella Rocha en 2015, lors d'une apparition des plus remarquées sur le tapis rouge du Festival de Cannes, à l'occasion de la montée des marches du film Love. Forcément, après une telle apparition, bon nombre de personnes ont voulu en savoir un peu plus sur cette personnalité.

Océan (humoriste) Après avoir ouvertement revendiqué être une artiste lesbienne, Océane-Rose-Marie annonce en 2018 être un homme trans et prend alors le prénom d'Océan. Océan naît de sexe féminin, sous le nom d'Océane Michel, dans un milieu « gauche caviar », d'une mère professeure à Sciences Po et d'un père éditeur de musique et ancien séminariste[1]. Durant son adolescence, la fréquentation du conservatoire lui permet de pratiquer une multitude d’activités artistiques : théâtre, chant, piano, guitare ou encore violon. Avant de s'affirmer comme un homme trans, Océan commence sa carrière en tant que femme, en utilisant à partir de 2005 le nom d'artiste Oshen pour ses activités musicales, et à partir de 2009 celui d'Océane-Rose-Marie en tant qu'humoriste. En 2005, elle signe un contrat avec une maison de disques, sortant d'abord l'album Don Juan puis, deux ans plus tard, Je ne suis pas celle. En 2011, sort le troisième album d'Oshen, autoproduit et intitulé La Pudeur[3]. Sous le pseudonyme Oshen :

Océan, une transition sur grand écran BB : Ma première question, elle est toute simple : est-ce que ça va, Océan ? Océan : (rires) Est-ce que ça va ? Écoute, oui ça va. BB : Je te pose la question parce qu’en voyant le documentaire, on se demande ‘Comment il fait pour ne pas être exténué ?’. Déjà, il ne faut pas oublier que je suis blanc, que j’ai de l’argent, que je suis valide et que ce sont des privilèges. Je me heurte aussi à la violence médiatique, parfois, je réponds à des journalistes qui souvent ne sont pas du tout au fait des questions trans et posent donc des questions gênantes. BB : D’où le « ça va bien » ? Oui ! BB : L’idée, c’était d’en faire une sorte de moyen de protection ? Océan : Non… Tout mon travail artistique, c’est travailler sur l’intime, travailler sur le personnel pour produire du collectif, pour aussi nourrir le patrimoine LGBTQ+ et que d’autres puissent voir ça et prendre de la force. A Paris, il y a un bouche-à-oreille qui fonctionne… mais ce n’est pas le cas partout BB : Par exemple ? Océan : Oui !

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