Transgenres : "Nous sommes des hommes et des femmes comme les autres" La question du genre est très souvent mise en avant et pas toujours de façon positive. Les stéréotypes de notre société judéo-chrétienne sont persistants : Ce ne sont pas de vraies femmes ou de vrais hommesIls sont certainement dérangésJ'ai rien contre mais je ne veux pas de ça chez moiIls font ça juste pour le sexe La liste pourrait malheureusement être très longue. J'ai malheureusement trop d'exemples de parents qui rejettent leurs enfants, cela fait partie des "on ne veut pas de ça chez nous". Au travail, comment annoncer à un collègue que l'on souhaite "devenir" une femme et venir au travail en robe plutôt qu'en costume ? J'ai eu la chance d'avoir une famille, des collègues et des employeurs formidables à tout point de vue, pas la moindre ombre au tableau venant de leurs parts. Il est par contre, des stéréotypes dont on ne parle jamais ou très peu, ceux liés au sexe. Mais la question se pose, comment rencontrer quelqu'un et que lui dire ?
OutServe Magazine - a publication of OutServe, the association of actively serving LGBT military personnel La transidentité intéresse les DRH Chronique « Carnet de bureau ». « Des personnes en situation de mal-être décident de changer d’apparence physique en fonction de leur identité, car c’est devenu un besoin impérieux et prioritaire, sauf à se foutre en l’air. J’ai accompagné ma première personne en transition il y a huit ans. Depuis, j’en ai accompagné quatre, rien que chez IBM France », se souvient Jean-Louis Carvès, responsable diversité chez IBM France. Au niveau mondial, IBM a créé un réseau LGBT en 2000 et mis en place un processus RH d’accompagnement des personnes en transition depuis 2002. Selon le Williams Institute aux Etats-Unis, en 2016, les transgenres représentaient 1,4 million de personnes, soit 0,6 % de la population américaine. Article réservé à nos abonnés Lire aussi Comment les discriminations minent-elles la cohésion sociale ? Gain en « image »
GENDERQUEER IDENTITIES - Coming Out as Trangender, Genderqueer, and/or Non-Binary Masterpost I’ve been getting lots of questions on Genderqueer Identities in regards to coming out lately. I continue to welcome questions, but I would also like to make a masterpost of resources I tend to recommend to people - this is a work in progress. Please note, you should not feel obligated to come out. You may find pros as well as cons in the resources below - take what you find will be useful to you and leave the rest behind. If you know of further resources concerning coming out as trans*, genderqueer, and/or non-binary or want to share your own personal coming out story, please feel free to add them. How-Tos on Coming Out: Art of Transliness: Trans* and Queer: Tips for Coming Out and Dealing with People Human Rights Commission: Transgender (scroll down the page to Coming Out to Family as Transgender, Coming Out in the Workplace as Transgender, and/or Marriage and Coming Out as Transgender) MCC Transgender Ministries - Coming Out as a Transgender Person: A Workbook (religion-oriented)
Marie-Clémence Bordet-Nicaise nous parle de son histoire d'amour avec Aurore, sa femme C'est une jolie histoire que Marie-Clémence Bordet-Nicaise est venue nous raconter. Une histoire d'amour qu'elle n'aurait jamais penser vivre avant de faire la rencontre d'Aurore, il y a 10 ans. "Je viens d’un milieu plutôt bourgeois, catholique et j’ai grandi dans une fratrie très unie avec des parents aimants. Je ne me suis jamais interrogée sur ma sexualité, pour moi ce n’était pas du tout un sujet et très vite j’ai rencontré un garçon avec qui je pensais faire ma vie" nous confie Marie-Clémence, venue nous présenter son ouvrage, On ne choisit pas qui on aime. "Et puis à 20 ans, 21 ans je faisais un stage à Paris et j’ai rencontré une femme, Aurore, qui a 8 ans de plus que moi, qui vient d’un milieu social radicalement opposé au mien, pour qui la religion n’a pas de place dans sa vie" ajoute-t-elle, "et je suis tombée juste amoureuse d’elle". Jamais je ne me suis dit que j’allais devoir faire une croix sur le mariage ou sur le fait d’avoir des enfants A shopper
Jesus wept, because you’re a homophobic bigot « EMMANUEL GARCIA “Jesus Wept (John. 11:35).” Growing up my parents enrolled me in a private Christian school. I was often asked to randomly recite a verse off the top of my head, so naturally I learned the short cuts. “Jesus wept” is the shortest verse in the Bible and the easiest to remember if you want to prove to your teacher that you’re down with JC. Today, I use it as a reply to the hate mongers like the protesters at the Westboro Baptist Church (WBC), Rick Santorum, Kirk Cameron and the like. Whenever anyone uses the Bible or Jesus as the voice for their hate, I say, “Jesus wept, because you’re a homophobic bigot.” I was glad to see talk show host and out lesbian, Rosie O’Donnell use it against a group of protesters who greeted her with hate speech at the Super Bowl this year. When asked by “Brother James” if she could quote one bible verse she replied, “Jesus Wept, at you, because you didn’t get the whole meaning of what it was about.” His reply? Like this: Like Loading...
Mannequin transgenre, Valentina Sampaio a été choisie par Victoria's Secret, une première On connaissait Sara Sampaio, top au corps parfait des Victoria’s Secret Angels. On pourra désormais compter sur une autre Sampaio, Valentina, premier mannequin transgenre à avoir signé pour la marque de lingerie la plus célèbre du monde. La jeune femme âgée aujourd'hui de 22 ans commence sa carrière au Brésil, son pays natal, en 2013. Défilant pour la Fashion Week de São Paulo, elle fait la couverture de l'édition nationale du magazine Elle avant de décrocher, en 2016, un contrat chez L'Oréal Paris. En vidéo, focus sur les compagnons des Anges de Victoria's Secret Lutter contre les préjugés Regard vert d'eau, large sourire, longues jambes hâlées - en somme, une beauté pure à la brésilienne -, Valentina Sampaio s'affiche en couverture de l'édition française de Vogue l'année suivante. Les françaises qui ont défilé pour Victoria's Secret "Ne cessez jamais de rêver" C'est sur son compte Instagram aux 218.000 abonnés que le top annonce sa toute dernière «première».
Hillary and Chelsea Clinton disagree on transgender identity There’s at least one topic Hillary and Chelsea Clinton don’t see eye to eye on — transgender identity. In an interview with the the Sunday Times of London, the mother-daughter duo were asked if someone with a beard and penis can ever be a woman. “Ye-esss. Yes,” Chelsea replied. Her mom, meanwhile, looked “uneasy,” journalist Decca Aitkenhead wrote. “Errr. And while Chelsea, 39, said she supports children being able to play on sports teams that match their gender identity, Hillary, 71, appeared conflicted. “I think you’ve got to be sensitive to how difficult this is,” Hillary said. During the discussion, the reporter pointed out that many women of Hillary’s generation are uncomfortable with biological males sharing their bathrooms. “I would say that, absolutely,” the former secretary of state said, nodding firmly. That’s when Chelsea shot a “furious stare” at Aitkenhead, who called out the glare. “I’m a terrible actor,” the former first daughter laughed.
Paul B. Preciado Paul B. Preciado en 2018 à l'Institut Valencià d'Art Modern. Paul B. Preciado, connu sous le nom de Beatriz Preciado jusqu'en 2015, est un philosophe, chercheur, commissaire d'exposition et écrivain espagnol né le 11 septembre 1970 à Burgos. Biographie[modifier | modifier le code] Preciado, né Béatriz Preciado, grandit dans une famille catholique qui le place dans une école religieuse non mixte[1]. Dans les années 1990, il étudie à la New School for Social Research de New York grâce à une bourse Fulbright[2]. En 2000, il s’installe à Paris, et en 2002, organise le premier atelier dragking en France[1]. Preciado est chercheur associé au centre de recherche sur la danse de l'université Paris-VIII[6]. Preciado a été en couple avec l'écrivaine Virginie Despentes[8] (laquelle s’est alors déclarée publiquement comme lesbienne) de 2005[9] à 2014[10]. En décembre 2013, Preciado s'oppose aux limitations de l'avortement promulguées par le gouvernement de Mariano Rajoy. Le 16 novembre 2016, Paul B.
Transphobie médicale : "On m'a suggéré d'être plus discrète" "J'ai refusé qu'il m'appelle 'Monsieur', il m'a demandé de partir." Virée du cabinet d'un médecin en raison de sa transidentité, Émilie Dauby n'a jamais oublié cette humiliation. Venue consulter pour une tendinite, cette femme a plusieurs fois fait l'objet de transphobie en milieu médical, un fléau dénoncé en cette journée mondiale de lutte contre l'homophobie et la transphobie. Quelques années plus tôt, un autre médecin refusait de soigner son doigt blessé, invoquant un motif religieux pour justifier de ne pas la toucher. Refus de soin, usage des mauvais pronoms personnels ou de termes inadaptés... "C'était encore pire après" Selon une étude menée par l'association Lutte contre les discriminations (LCD) auprès de 1 147 personnes, une personne LGBTI sur deux s'est déjà sentie discriminée lors d'un parcours de soins. Du haut de ses 61 ans, Emilie Dauby ne peut que confirmer. LIRE AUSSI >> Agressions transphobes : le long chemin des victimes vers un procès Une espérance de vie amoindrie