Une comparaison entre misandrie et misogynie On pourrait croire à première vue que les deux se valent. Que toutes les formes de violence sont équivalentes, injustifiées et injustifiables. Et que la misandrie est tout aussi dommageable que la misogynie. (J’ai bien dit « dommageable » et pas « condamnable. ») Or, comme l’explique simplement ce post trouvé sur tumblr, il n’en est rien : motivation behind misogyny :men maintaining power over women results of misogyny :rape, abuse, murder, lower pay, less opportunities, general discrimination and loss of power, restrictive gender roles, and much, much more. motivation behind misandry :men as a group sure do a lot of bad things as a result of their gendered power and male privilege, im not sure that i trust them or even like them. results of misandry :hurt feelings En français : Intention de la misogynie :Faire en sorte que les hommes maintiennent la domination qu’ils exercent sur les femmes. « Allo les urgences ? Il faut donc fournir quelques éclaircissements. Le fond du problème
Feminisnt > A Meddlesome Hussy Takes On the Enemies of Sexual Sa Il progetto di Laura Bates contro il sessismo quotidiano - Minerva Online Everyday Sexism Project, un sito dove le donne denunciano episodi di sessismo di Giulietta Rovera Quel giorno di fine marzo del 2012 Laura Bates è particolarmente stanca: per strada uno sconosciuto le ha fatto proposte oscene, è stata palpeggiata sul bus e abbordata in un caffè. Quando ha protestato, si è sentita rispondere che il sessismo non è più un problema – che ormai le donne sono uguali agli uomini, e se non sanno accettare uno scherzo o un complimento è perché sono “frigide” e prive di sense of humour. Ma quel giorno è così esasperata che decide di reagire, ne parla alle amiche e scopre che sono in molte ad averne abbastanza di insinuazioni, tentativi di adescamento e peggio. E le viene un’idea: perché non creare un sito web dove le donne possono postare le loro esperienze di quotidiano sessismo? Hanno diviso le ragazze in tre categorie: “frigide”, “zoccole” e “andrebbe violentata”.
Rangez ces larmes que je ne saurais voir | Double L is thinking En ce moment, dans mon twitter, ça parle de male tears, de féminisme et d’accusations de misandrie. Et c’est vrai que c’est assez régulier, dès qu’une femme l’ouvre pour pointer du doigt un problème du patriarcat, il y a généralement des réponses masculines qu’on peut prévoir, dont on SAIT qu’elles arriveront. Et malheureusement, la plus courante n’est pas celle du mec qui a ouvert les yeux sur sa situation de dominants. Généralement, le shitstorm qui suit un article féministe, c’est, en vrac : - Les fameuses « male tears », du genre dans un article contre la culture du viol, le mec qui dit qu’on ne prend pas assez en compte le risque, pour les hommes, d’être faussement accusé d’avoir violé. Et c’est un peu fatiguant. Les blagues, remarques, insultes, menaces sexistes, qu’on se prend en permanence au coin de la gueule, ça finit par en abimer beaucoup. Les males tears et l’accusation de misandrie, c’est agaçant pour d’autres raisons. Non, les féministes ne sont pas misandres. Like this:
GlobalSister.org Blog Massacra di botte la convivente: arrestato 24enne - Repubblica.it Spesso la teneva segregata in casa privandola di documenti, chiavi e cellulare. Ieri poi, al culmine di un litigio avvenuto per strada, l'ha massacrata di botte con calci e pugni. Lui, marocchino di 24 anni aveva cominciato quattro anni fa una relazione sentimentale con una donna sudamericana di 32, ma il rapporto, a causa della gelosia dell'uomo, era fin dall'inizio stato burrascoso. Numerosi gli interventi di polizia e carabinieri chiamati dai vicini spaventati dalle urla che sempre più spesso provenivano dall'appartamento in cui i due vivevano. Ieri l'ultimo violento episodio, questa volta in strada. Scassi a Sampierdarena, è stata medicata 'ematomi plurimi, anche pregressi, guaribili in 30 giorni'. L'uomo, che si trovava ancora in possesso dei documenti d'identità della sua convivente, è stato arrestato per maltrattamenti in famiglia, minacce gravi e lesioni.
La misandrie n’existe pas Désolé de vous l’apprendre comme ça de but en blanc, mais c’est ce qui est expliqué dans l’article « Misandry isn’t real, dudez » que je viens de lire et qui est tellement juste que je me sens presque obligé de le traduire pour le diffuser plus largement encore. Je suis un homme, et j’ai besoin du féminisme. Pas de l’égalitarisme ni du masculinisme. Tout ce dont parlent les défenseur de l’égalitarisme ou les masculinistes à propos de ce que les hommes ne peuvent socialement pas faire sans être discriminés relève directement de la misogynie. Est-ce que vous comprenez ça ? Les mecs, est-ce que vous pouvez imaginer un seul moment où l’on s’est foutu de vous et où ça n’avait aucun rapport avec ce qu’une société misogyne voit comme un attribut féminin ? Comment pouvez vous espérer améliorer les choses en défendant les « droits des hommes » ? Je pense que vous vous battez pour contenir et contrôler la mysoginie, et pour faire en sorte qu’elle ne cible plus que les femmes.
05/01/2010 - 06/01/2010 I am somewhat embarassed to admit that I made the mistake of giving up my individuality when I got married the first time. My parents had a fairly traditional marriage with Dad working and Mom staying at home to take care of us and the household. I guess I absorbed the values that the woman's place was in the home, and the man's was to dominate and take care of the woman. The wife was to subsume her interests to those of her husband's and family's. This was not a healthy situation for our family, but I guess Mom and Dad didn't perceive any other options. When I met my ex-husband, I was in Germany on a Fulbright Scholarship, living life to the fullest, at the top of my game. My ex was quite open-minded and liberal and free-thinking - after all, he went to Oberlin College in Ohio, the first college to admit women and blacks and had absorbed the radical ideas being espoused there. At least I didn't give up teaching! And I supported my husband while he wrote. Until I got pregnant.
FEMMINICIDIO Le web dégomme les clichés anti-féministes Un petit aperçu non exhaustif des féminismes sur le web francophone, en forme de dégommage de clichés. Les féministes sont des mal baisées Si vous en êtes encore à ce genre d’idées reçues, allez donc faire un tour sur Sexactu, éminent blog tenu par la truculente Maïa Mazaurette, où l’actualité du sexe se conjugue à des réflexions féministes souvent drôles et stimulantes. Le site Zone zéro gêne, tenu par la journaliste Gaëlle-Marie Zimmermann, se consacre avec le même humour à la sexualité de toutes et tous ; c’est aussi une mine d’infos. Voir aussi le blog d’Agnès Giard, Les 400 culs : ici encore on parle féminisme tout en baisant, ou presque. Saluons enfin la naissance récente de Sexpress, tenu par Camille, épicène ex-plume de Rue69 (aujourd’hui tenu par Renée Greusard) : questions de genre et de sexualité au menu. Les féministes sont sectaires Les féministes n’ont pas le sens de l’humour Et si, elles se déguisent, même ! Le féminisme, c’est la pensée unique Vous voulez du débat ? Autres
The Feminist Texican Pussy Riot: libere! Nadežda Tolokonniková, Maria Alëchina e Yekaterina Samucevic sono finalmente libere. In quella che già in molti hanno decretato come una delle immagini più belle e commoventi del 2014 postata su Twitter, Nadya (Nadežda) riabbraccia la figlia di 5 anni, Era. La notizia della scarcerazione delle Pussy Riot, il collettivo punk incriminato il 17 agosto 2012 per “teppismo e odio nei confronti della religione” a due anni di carcere per aver interpretato una preghiera anti-Putin nella cattedrale di Mosca, quella del Cristo Salvatore, era arrivata qualche settimana fa. Il Parlamento russo, la Duma, ha infatti approvato il progetto d’amnistia promosso da Vladimir Putin. Ma chi sono le Pussy Riot e che cosa hanno osato fare di tanto grave per essere deportate in un campo di lavoro in Siberia? A definire le Pussy Riot sono il punk, l’attivismo politico, la religione, la parola riot, che è al tempo stesso rivolta ma anche dissenso. «Cosa sono le Pussy Riot?
Pourquoi les hommes ? Dans le discours féministe, la formule "les hommes" revient souvent pour qualifier les agents oppresseurs des femmes. Mais pourquoi "les hommes" ? Pourquoi pas "des hommes" ? Ou "certains hommes" ? Ou encore "les machos" ? La formulation "les hommes" nous attire souvent la remarque que son emploi nous place dans l'attitude que justement nous dénonçons: la généralisation. Pourtant, son utilisation se justifie pour plusieurs raisons. Premièrement, "les hommes" désigne la classe sociale des hommes, un concept qui permet l'économie d'une description par le menu de ce que nous entendons par "hommes" dans l'analyse ou l'observation des rapports femmes/hommes. D'ailleurs sans cette solidarité tacite de classe et d'individus, point d'oppression possible. Mon propos fera dire aux adeptes du simplisme que voilà enfin la preuve que les féministes haïssent les hommes ... tous des salauds !!! Alors avant le lynchage qui s'annonce, quelques précisions s'imposent.
"Femminista perché", sul web la risposta italiana alle ragazze Usa MICHELA Murgia è #femministaperché «puoi essere anche la donna d'acciaio che governa l'Europa, ma per qualcuno resti sempre una culona intrombabile, e perché nei posti competitivi la determinazione delle donne si chiama ancora arrivismo, quella degli uomini carattere». È stata lei a lanciare questo hashtag su twitter, #femministaperché, in risposta a #WomenAgainstFeminism, cioè a quelle ragazze che hanno scelto di postare su Facebook (con foto e frasi) il loro rifiuto dello storico movimento. La Rete è piena di roba inutile e insultante, quasi tutto si perde, invece #femministaperché è diventato una specie di sondaggio, non uno sfogo ma un modo pacato per dire. E per partecipare, dall'Italia, al dibattito che sta coinvolgendo (e dividendo) le donne. Silvia Ballestra consiglia di rileggere "Padre padrone padreterno" di Joyce Lussu, mentre per Rosella Postorino «se una donna scrive una storia di famiglia parla di sentimenti, mentre un uomo ha scritto il grande romanzo (americano)».