Supernova Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La supernova SN 1994D (le point blanc brillant en bas à gauche de l'image), dans la partie externe du disque de la galaxie spiraleNGC 4526 (photo datant de 1994). Une supernova est l'ensemble des phénomènes conséquents à l'explosion d'une étoile, qui s'accompagne d'une augmentation brève mais fantastiquement grande de sa luminosité. Les supernovas[2] sont des événements rares à l'échelle humaine : leur taux est estimé à environ une à trois par siècle dans notre Voie lactée. Il est à noter qu'à notre époque aucune supernova n'a été observée dans notre galaxie, la Voie Lactée, depuis l'invention du télescope. Elles ont eu et jouent encore un rôle essentiel dans l'histoire de l'Univers, car c'est lors de son explosion en supernova que l'étoile libère les éléments chimiques qu'elle a synthétisés au cours de son existence — et pendant l'explosion même —, pour être diffusés dans le milieu interstellaire. Étymologie[modifier | modifier le code]
Une comète va-t-elle percuter Mars le 19 octobre 2014 ? Crédit : D.R. Vue d'artiste de ce à quoi pourrait ressembler la chute d'une comète géante sur [...] texte de Thibaut Alexandre publié le 28-02-2013 Depuis quelques jours, la rumeur enfle sur les sites internet consacrés à l'astronomie : en octobre 2014, la planète Mars va voir s'approcher une comète de très près. Si l'année 2013 a été baptisée « l'année des comètes » du fait de passages de très belles comètes dans notre ciel (C/2012 F6 Lemmon, C/2011 L4 PANSTARRS et C/2012 S1 ISON), l'année 2014 ne sera pas en reste en matière de « boules de neige sale », ce surnom donné aux comètes par Fred L. En effet, 2014 correspondra à l'arrivée de la sonde Rosetta autour du noyau de 67P/Churyumov-Gerasimenko, et de l'envoi à sa surface de l'atterrisseur Philae. Découverte le 3 janvier dernier par Rob H. Ces dernières années, suite à la collision entre les débris de Shoemaker-Levy 9 et la planète Jupiter en juillet 1994, Hollywood nous a habitué à bon nombre de films catastrophes (ou catastrophiques ?
La désintégration mystérieuse d'un astéroïde a été observée par deux astronomes «Voir cet objet tomber en morceaux devant nos yeux était vraiment surprenant», commente David Jewitt, professeur d'astrophysique à l'Université de Californie à Los Angeles, qui a conduit ces observations. C'était «vraiment bizarre», renchérit Jessica Agarwal, une astronome du Max-Planck Institute en Allemagne, co-auteur de cette recherche. Un nuage de poussières d'un diamètre proche de celui de la Terre Cet astéroïde désintégré, initialement répertorié comme «P/2013 R3», avait été détecté pour la première fois le 15 septembre 2013 et décrit alors comme un objet inhabituel avec une apparence floue. Quatre fragments mesuraient jusqu'à 200 mètres de rayon Avec une résolution nettement supérieure, le télescope spatial Hubble a permis de révéler qu'il y avait en fait 10 objets distincts, chacun avec une sorte de queue comme une comète. Une accélération de sa vitesse de rotation Une source abondante de météorites dans l'avenir J.M. avec AFP
La comète Panstarrs arrive Jusque-là réservée aux habitants de l'hémisphère Sud, la comète Panstarrs promet un beau spectacle dans le ciel boréal du soir. Dès le 12 mars 2013, il faut la chercher à l'œil nu et aux jumelles dans le crépuscule. Panstarrs a rendez-vous avec la Lune La date à retenir est le 13 mars. Ce soir-là, la comète Panstarrs se situe à seulement 16° du Soleil. C'est peu, mais vue depuis la France, elle forme avec notre étoile une ligne presque perpendiculaire à l'horizon. Nous avons donc une chance de la voir percer les lueurs du crépuscule, d'autant que sa luminosité devrait être comparable à celle d'une étoile brillante. Pour les spécialistes, sa magnitude est de l'ordre de 1,5 à cette date. Paré de sa lumière cendrée, il devrait renforcer la beauté du spectacle. A l'œil nu ou aux jumelles Si vous ne la voyez pas à l'œil nu, cherchez la comète aux jumelles. Il est impossible de dire exactement ce qui sera visible ou pas car les prévisions sont toujours très incertaines pour une comète.
Observez en direct le passage de l’astéroïde ! La Terre va de nouveau être « frôlée » par un astéroïde. Un gros caillou de 2,7 km de diamètre va en effet passer près de notre planète ce vendredi soir aux alentours de 22h30. Baptisé 1998 QE2, cet astéroïde ne représente aucun danger puisqu’il devrait passer à environ 5,8 millions de kilomètres de notre planète, soit à peu près 15 fois la distance Terre-lune. En revanche, elle fera la joie des astronomes, en herbe ou confirmés. Publicité Les scientifiques, eux, en profiteront pour l’étudier de plus près. « L'astéroïde 1998 QE2 est une cible de grand intérêt pour le radio télescope de Goldstone en Californie et le télescope d'Arecibo à Porto Rico, car nous espérons obtenir des images de haute résolution qui pourront révéler un grand nombre de caractéristiques de sa surface » indique l’astronome Lance Benner, responsable du radar de Goldstone au Jet Propulsion Laboratory de la Nasa à Pasadena en Californie.
Les « Géminides », l'une des plus belles pluies d'étoiles filantes de l'année © Via Flick’r et NASA.Pic d’activité des “Géminides” dans la nuit du 13 au 14 décembre. Un nouvel essaim météoritique pourrait également faire son apparition. La nuit du 13 au 14 décembre devrait être l'une des plus animée de l'année en terme d'étoiles filantes ! Une moyenne de 120 météores par heure pourrait fendre le ciel durant cette nuit. Cet essaim météoritique actif entre le 7 et le 17 décembre de chaque année, se nomme les "Géminides" car son radient se situe dans la constellation des Gémeaux (Gemini), non loin de l'étoile Castor. © Via Flick’r et NASA. Un premier pic pourrait se produire vers 21 h (le 13) tandis que les Gémeaux prennent de la hauteur et un second autour de 01 h 50 (le 14 donc). D'après plusieurs spécialistes, un nouvel essaim météoritique pourrait faire son apparition ces jours-ci. © Via Flick’r et NASA.Position du radient de l’essaim météoritique des « Géminides » © Via Flick’r et NASA.Nouvel essaim météoritique dont le radient pourrait être dans les Poissons
Vidéo : l'astéroïde 2012 DA14 "frôlera" la Terre le 15 février Le 15 février prochain, l'astéroïde 2012 DA14 passera tout près de la Terre à seulement 28.000 kilomètres de distance. Après Apophis, c'est le deuxième astéroïde à passer proche de notre Terre en 2013. Le 15 février prochain, l'astéroïde baptisé 2012 DA14 passera à 28.000 kilomètres de la Terre, soit 0,07 fois la distance qui sépare notre planète de la Lune. Bien qu’aucune collision ne soit à redouter, il s’agit là d’"un record de proximité", reconnaît Don Yeomans du programme de surveillance des objets géocroiseurs de la NASA. Pourtant, 2012 DA14 est un astéroïde somme toute banal. En effet, Don Yeomans fait remarquer que c’est certainement un astéroïde de cette taille qui a formé le Meteor Crater dans l'Arizona, il y a environ 50.000 ans. Une opportunité pour en savoir plus sur 2012 DA14 Reste que l'astéroïde passera entre l'orbite basse et l'orbite géostationnaire où se trouvent bon nombre de satellites artificiels. Vous nous aimez déjà ?
Près d'un millier de blessés en Russie après la chute d'une météorite Des fragments de météorite se sont abattus vendredi matin sur la région russe de l’Oural, accompagnés d'éclairs incandescents et de violentes explosions, soufflant des murs et des fenêtres, semant la panique et blessant près d'un millier de personnes, selon les derniers bilans. Une boule incandescente accompagnée d’une très vive lumière blanche, se déplaçant à très grande vitesse, est apparue dans le ciel de Tcheliabinsk, une ville de plus d’un million d’habitants, à 9h20 locales, soit 4h20 en France. Hasard du calendrier, cet incident survient le jour même où un astéroïde bien plus massif, 2012 DA14, doit s'approcher à 27 000 kilomètres de la terre. Les deux événements n'ont aucun lien. Selon l’antenne locale du ministère russe des Situations d’urgence, la météorite avait brûlé partiellement en entrant dans les couches basses de l’atmosphère, avant de se désintégrer, les fragments atteignant la Terre. Les autorités ont cependant appelé la population à ne pas céder à la panique.
Découverte d’un nouveau trou noir dans notre galaxie. (Vidéo) On pourrait dire que la NASA vient de découvrir un nouveau trou noir, mais on pourrait aussi formuler cela autrement, en disant qu’un nouveau trou noir nous a signalé sa présence en projetant des fusées éclairantes dans notre galaxie. La NASA a récemment annoncé que son télescope spatial SWIFT a trouvé des preuves qu’un nouveau trou noir sévit à l’intérieur de notre galaxie, la Voie lactée. L’indice ? Une nova de Rayon X qui est apparu récemment près du centre de notre galaxie. Selon le communiqué de presse de la NASA : Une nova de rayons X est une source éphémère de rayons X qui apparait soudainement, atteignant son pic d’émission en quelques jours, pour s’estomper sur une période de plusieurs mois. La source lumineuse rapide a été détectée deux fois par le télescope SWIFT, dans la matinée du 16 septembre et une fois de plus le lendemain. Les explications de la NASA : L’annonce sur le site de la NASA : X-Ray Nova Reveals a New Black Hole in Our Galaxy.
Notre trou noir central mangerait des astéroïdes tous les jours Une vue d'artiste montrant les astéroïdes orbitant autour du nuage de gaz chaud entourant lui-même le trou noir supermassif de la Voie lactée. © Nasa/CXC/M. Weiss Notre trou noir central mangerait des astéroïdes tous les jours - 2 Photos Découvrez notre dossier sur les trous noirs Depuis des années, le télescope Chandra consacre une partie de son temps d’observation au trou noir central dont on sait qu’il ne va pas tarder à avaler un nuage interstellaire. Les astrophysiciens ont ainsi découvert que chaque jour ou presque, durant quelques heures, sa luminosité dans le domaine X était multipliée jusqu’à une centaine de fois par un flash. Un groupe de chercheurs a mis en ligne un article sur arxiv dans lequel il propose une explication à ces curieux phénomènes. Au centre de cette image se trouve Sgr A*, le trou noir central de la Voie lactée observé en rayons X par Chandra. On sait que de temps en temps, le trou noir central d’une galaxie avale des étoiles entières. A voir aussi sur Internet
Hypothèse du trou de ver - TERRA-SCIENCES.com Avant de commencer, il est important de rappeler que les trous de ver sont des concepts purement théoriques : l'existence et la formation physique de tels objets dans l'Univers n'ont pas été vérifiées. Il ne faut pas confondre trous de ver et trous noirs: les trous de ver sont hypothétiques, alors que les trous noirs existent réellement. Le trou de ver est une découverte théorique faite par Einstein. Un trou de ver, en physique, est un objet hypothétique issu des propriétés de l'espace-temps. Il formerait un raccourci à travers l'espace-temps. L'utilisation du raccourcis "trou de ver" permettrait un voyage du point A directement au point B en un temps conséquemment réduit. L'utilisation d'un trou de ver permettrait ; le voyage d'un point de l'espace à un autre. À l'heure actuelle, il existerait différents types de trous de ver. Si on essaye de fabriquer un trou de ver à partir de matière à masse positive, il explosera en éclats. Source : Thierry-l
Découverte d'un des plus gros trous noirs jamais observés - rts.ch - info - sciences-tech. Des astronomes pensent avoir découvert le plus gros trou noir jamais observé, doté d'une masse équivalente à 17 milliards de fois celle du Soleil. Ce trou noir est si énorme qu'il représente 14% de la masse totale de la galaxie qui l'abrite (contre seulement 0,1% habituellement). Cette disproportion pourrait contraindre les spécialistes à réviser leurs théories sur la formation des galaxies, estiment-ils. "NGC 1277" se trouve à 220 millions d'années-lumière de la Terre, dans une galaxie dix fois plus petite que la Voie Lactée. Premier trou noir galactique? "C'est vraiment une galaxie insolite", résume dans un communiqué Karl Gebhardt, de l'Université du Texas à Austin. NGCC 1277 est de manière certaine le deuxième plus gros trou noir jamais identifié, mais il pourrait bien ravir la première place du classement. Théorie remise en cause Mais NGC 1277 remet toutefois en question cette théorie. afp/ptur