Huit circuits de conscience Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le modèle de la conscience sur huit circuits/niveaux est une théorie sur la structure de la conscience proposée par le Dr Timothy Leary. Leary pensait que l'esprit est le mieux représenté comme un assemblage de huit « niveaux » ou « circuits », aussi appelés « vitesses » ou « mini-cerveaux ». Les huit niveaux[modifier | modifier le code] Les huit niveaux sont : Selon Leary ce modèle expliquerait, entre autres, le conflit social dans les années 1960, où le courant principal, supposé avec une activité jusqu'au niveau 4 (Domestique), et caractérisé comme étant fait de "moralistes tribaux" par Leary, est entré en conflit avec la contre-culture de l'époque, des individualistes et hédonistes actifs jusqu'au niveau 5 (Neurosomatique). Les idées de Leary ont fortement influencées le travail de Robert Anton Wilson. Il y a des références au Modèle des 8 Niveaux de Conscience dans l'anime Serial Experiments Lain. Références[modifier | modifier le code]
Réseau du mode par défaut Le réseau du mode par défaut (MPD)[2],[3] (default mode network ou DMN en anglais) désigne, en neurosciences, un réseau constitué des régions cérébrales actives lorsqu'un individu n'est pas focalisé sur le monde extérieur, et lorsque le cerveau est au repos, mais actif. Les termes de réseau par défaut, réseau d'état par défaut, réseau d'absence de tâche, et réseau cérébral du mode par défaut peuvent également être utilisés. Durant la réalisation d'une tâche, le MPD est désactivé, et un autre réseau est activé, le réseau de tâches positives. Le MPD pourrait permettre l'introspection. Histoire de sa découverte[modifier | modifier le code] Le nombre de publications par an avec « réseau par défaut » (default network) ou "« réseau du mode par défaut » (default mode network) dans le titre. Anatomie[modifier | modifier le code] Le réseau du mode par défaut impliquerait[10],[11] : D'autres réseaux d'état de repos ont été découverts, tels que des réseaux visuels, auditifs et d'attention. Antonio R.
La théorie de la dissonance cognitive une théorie âgée d’un demi-siècle Selon la théorie de la dissonance cognitive, lorsque les circonstances amènent une personne à agir en désaccord avec ses croyances, cette personne éprouvera un état de tension inconfortable appelé dissonance, qui, par la suite, tendra à être réduit, par exemple par une modifi cation de ses croyances dans le sens de l’acte. Notre article se propose de présenter cette théorie dans ses grandes lignes. Dans les expériences sur la dissonance, on amène par exemple le sujet à donner des arguments en faveur de la peine de mort alors qu’il est contre (il réalise donc un acte dit « problématique »). Aussi étonnant que cela puisse paraître, lorsque nous sommes amenés à agir contrairement à nos convictions, nous avons ainsi tendance à justifier nos actions et à adapter nos opinions à nos comportements. Genèse de la théorie Léon Festinger. Un séisme en Inde. 1. Au coeur de la théorie Une théorie de la consistance ? Un animal rationalisant. Éveil de la dissonance.
Neurosciences computationnelles Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les neurosciences computationnelles (NSC) sont un champ de recherche des neurosciences qui s'applique à découvrir les principes computationnels des fonctions cérébrales et de l'activité neuronale, c'est-à-dire des algorithmes génériques qui permettent de comprendre l'implémentation dans notre système nerveux central du traitement de l'information associé à nos fonctions cognitives. Ce but a été défini en premier lieu par David Marr dans une série d'articles fondateurs. On essaie de comprendre le traitement de l'information opéré par le cerveau à l'aide des modèles des sciences informatiques combinés à l'expérimentation et aux simulations numériques[1]. Historiquement, un des premiers modèles introduits en neurosciences computationnelles est le modèle « intègre et tire » par Louis Lapicque en 1907[2]. Histoire[modifier | modifier le code] Thèmes de recherche[modifier | modifier le code] Conscience[modifier | modifier le code]
Mouton de Panurge (locution) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'expression « mouton de Panurge » désigne un suiveur : une personne qui imite sans se poser de questions, qui suit instinctivement ce que fait le plus grand nombre et se fond dans un mouvement collectif sans exercer son esprit critique ni seulement faire preuve de l'intelligence qu'on peut espérer d'un être humain. Les moutons de Panurge sont invoqués pour fustiger l'esprit grégaire. L'expression tire son origine d'un épisode du Quart Livre de François Rabelais, sans s'y trouver exactement en ces termes[N 1]. « Panurge sans aultre chose dire jette en pleine mer son mouton criant et bellant. — Extrait du Quart Livre, chapitre VIII Pour cet épisode, Rabelais s'inspire des Macaronées de Folengo, où Cingar, afin de venger Balde et son escorte d'un différend avec des paysans, pratique le même stratagème[2] Le Mouton de Panurge est le titre d'une chanson de Georges Brassens
Louis Lapicque Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Chercheur éclectique et aux approches scientifiques originales, on lui doit le concept de chronaxie en électrophysiologie, paramètre de l'excitabilité nerveuse[1]. Biographie[modifier | modifier le code] Enfance et formation[modifier | modifier le code] Début de carrière[modifier | modifier le code] Le laboratoire du docteur Louis Lapicque à la Sorbonne. Il publie un article très influent en neurosciences computationnelles et théoriques[2], en introduisant le modèle « intègre et tire » (integrate and fire), toujours très utilisé à l'heure actuelle[3]. Vie sociale et militantismes[modifier | modifier le code] Républicain et franc-maçon initié en 1902 au sein de la loge Les Étudiants[4], il milite pour les idées socialistes, la laïcité, les libertés de culte et de pensée et les droits de la femme. En 1932, il est élu membre de l'Académie allemande des sciences Leopoldina[6]. Seconde guerre mondiale et dernières années[modifier | modifier le code]
Pyramide des besoins Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pyramide des besoins Théorie de Maslow[modifier | modifier le code] Présentation générale[modifier | modifier le code] Représentation dynamique de la hiérarchie des besoins. Besoins physiologiques Besoins de sécurité Besoins d'appartenance et d'amour Besoins d'estime Besoin d'accomplissement de soi C'est en 1970, dans la deuxième édition de son ouvrage Motivation and Personality, qu'apparaît l'exposé le plus complet de sa théorie de la motivation : la hiérarchie des besoins. Maslow découvrit par la suite que les besoins s'inscrivaient dans le cadre d'une hiérarchie. Remarque : Lorsqu'un besoin précédent n'est plus satisfait, il redevient prioritaire. Relativité et progressivité[modifier | modifier le code] La représentation de la hiérarchie des besoins sous la forme d'une pyramide a généré bon nombre de malentendus et, par là même, des critiques infondées. L'émergence soudaine des besoins ;La satisfaction absolue des besoins.
L’autoroute (neuronale) des vacances et des bons souvenirs Et comme j’ai été encore la semaine passée pas mal pris avec mes récentes «Écoles de profs» en rendant chaque séance disponible pour la lecture sur la page dédiée du Cerveau à tous les niveaux, je suis encore porté à faire des liens entre les articles que j’y avais présentés et ceux que je vois passer. En voici deux exemples, dont le premier nous ramène à ce début d’été plein de promesses de chaleur et de vacances. Sauf qu’en termes strictement astronomique, c’est aussi aujourd’hui que les jours commencent à raccourcir pour nous ramener lentement mais sûrement vers les «joies» de novembre… Désolé si ce fait vous déprime parce qu’il est associé à des souvenir de pluies froides et de temps gris, mais la bonne nouvelle, c’est que le rappel de bons souvenirs pourrait aussi vous aider dans ce genre de situation. Bref, oubliez les journées qui raccourcissent et pensez à vos vacances de l’été dernier qui vont bientôt se répéter et vous ne vous en porterez que mieux! Les liens: Les liens:
Mimétisme comportemental Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Sur le plan comportemental, le mimétisme est un mécanisme fondamental de l'apprentissage. Enfin, sur le plan psychologique, c’est selon René Girard le mécanisme fondamental du comportement humain, dont dérive la totalité des éléments de culture, selon une certaine logique.[réf. souhaitée] Le mimétisme comportemental pour l'apprentissage[modifier | modifier le code] Apprentissage de la pêche des jeunes cygnes. La reproduction d'un geste est à la base de la mémorisation d'une technique. C'est en voyant l'autre faire que l'on se représente l'utilité ou l'intérêt de la chose faite, en même temps que l'on découvre l'apparence que prend ce geste. Le mimétisme intervient pour toutes sortes d'apprentissages : l'utilisation de son corps dans l'espacel'utilisation d'outils et l'acquisition de techniquesl'acquisition du langagel'acquisition de mécanismes mentaux (déduction, résolution de problèmes) Selon René Girard, le mimétisme est une relation ternaire,
Twitter Meme Mapping Method Reveals Neural Networks for Higher Cognition When Applied to Brain An international team of researchers from Indiana University and Switzerland is using data mapping methods created to track the spread of information on social networks to trace its dissemination across a surprisingly different system: the human brain. The research team from the IU Bloomington Department of Psychological and Brain Sciences and School of Informatics and Computing found that applying social network models to the brain reveals specific connections and nodes that may be responsible for higher forms of cognition. The results are reported in today’s issue of the journal Neuron. “This study suggests that answers about where in the brain higher cognition occurs may lie in the way that these areas are embedded in the network,” said IU Distinguished Professor Olaf Sporns, who is senior author on the study. “Each thought or action involves multiple signals, cascading through the brain, turning on other nodes as they spread. See also About this neuroscience research Abstract