Filles du Roi Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les Filles du roi (ou «Filles du Roy», selon la graphie de l'époque) sont des jeunes femmes choisies par le roi de France qui devaient immigrer en Nouvelle-France au XVIIe siècle pour s'y marier, y fonder un foyer et établir une famille pour coloniser le territoire. Le Roi de France agissait comme un tuteur (leur père) en payant les frais de leur voyage ainsi qu'une dot lors de leur mariage. Cette dot était ordinairement de 50 livres. Elles étaient souvent orphelines et d'origine modeste[1] ; et à 81,1% d'origine urbaine ou semi-urbaine[2]. Introduction[modifier | modifier le code] Pour aller peupler la colonie française d’Amérique de la Nouvelle-France qui a été, à ses débuts, une colonie d’exploitation du commerce des fourrures, il a fallu fournir aux cultivateurs célibataires, qui ont immigré, des femmes pour fonder une famille et avoir des enfants. Genèse[modifier | modifier le code] Des femmes bien portantes[modifier | modifier le code]
Les pionniers du Québec originaires du Moyen Poitou | Huguenots en France maison pionier Le Québec est apparu longtemps comme un pays aux origines catholiques. Depuis quelques années avec les études généalogiques, l’histoire se révèle plus complexe. C’est le roi Henri IV qui demanda au royannais Pierre Dugua de Mons, protestant, de “le représenter aux confins de la terre de l’Acadie” en 1603. Ce dernier engagea 120 hommes et ouvrit un comptoir de pelleterie et de pêche à Port-Royal en 1605. Samuel Champlain, nommé lieutenant de l’expédition par Du Gas de Mons, remonta le Saint-Laurent et fonda Québec en 1608. Champlain se démena à Londres pour retrouver sa colonie ; dès 1632, le roi d’Angleterre restitua à Louis XIII Québec et la région du St Laurent. “Dugua de Mons est considéré comme le cofondateur de Québec. Les premiers émigrants européens, devenus coureurs des bois comme Moïse Morin originaire de Niort, récoltaient les peaux. Ce pays s’est progressivement organisé en s’inspirant du royaume de France. Cette terre peuplée uniquement d’hommes, se languissait.
Les archives "pour les nuls" Pourquoi un guide ? Mission primordiale de service public, la communication est l'aboutissement du travail des Archives. Force est de constater cependant que ce milieu est largement méconnu et de ce fait reste souvent inaccessible pour ceux qui aspirent y faire des recherches. Mis à la disposition de tous, ce guide "pour les nuls" est destiné à orienter les usagers des archives. des informations, que ce soient des professionnels habitués à démarcher les services d'archives comme les administrateurs, les chercheurs, les étudiants ou les généalogistes ou bien les néophytes : du citoyen désireux d'établir la preuve d'un droit aux simples curieux. Quelques chiffres nous montrent l'importance de ses usagers. Aussi les rubriques proposées offrent d'une part une présentation générale du monde des archives nécessaire à la compréhension des mécanismes généraux qui le régissent. Alors bonne visite !
Heredis PC, Heredis Mac, PG, Généo... Retrouvez instantanément toutes les personnes de votre arbre dans notre bibliothèque de livres et journaux anciens La presse généalogique a évoqué récemment une nouvelle fonction, annoncée avec tambours et trompettes par un site de généalogie étranger : la comparaison de toutes les personnes de votre arbre avec les noms mentionnés dans des journaux ou ouvrages anciens, Cette fonction très performante existe aussi sur GeneaNet : retour sur son usage et mode d'emploi. 1/ Contenu a) Les ouvrages anciens Accessibles uniquement et gratuitement aux membres du Club Privilège, ces ouvrages sont pour la plupart tombés dans le domaine public. b) Les ouvrages contemporains Il s’agit d’une collection payante et donc accessible à tous de la même façon (Privilège ou non Privilège), après achat d’un pack de « points » que l’on dépense à la page. Composées d'érudits locaux, anciens membres de grandes écoles, historiens en herbe ou scientifiques, les sociétés savantes de la fin du XIXe siècle publiaient régulièrement des bulletins qui s'attachaient à divers sujets. d) Presse ancienne 2/ Fonctionnement
Missions catholiques et modifications d’identité île de Fernando Poo (Guinée Équatoriale)1883-1910 1 Congrégation des Missionnaires Fils du Cœur Immaculé de Marie, fondée à Vic (Catalogne) en juillet (...) En novembre 1883, les missionnaires clarétains1 commencèrent la fondation de la Mission de Santa Isabeldans l’île de Fernando Poo. D’autres essais d’évangélisation et de colonisation avaient eu lieu et avaient échoué. Dans la perspective de la conférence de Berlin le gouvernement espagnol, décidé à assurer sa présence officielle sur l’ensemble du territoire de la Guinée dite Espagnole, trouva dans son alliance avec les Clarétains – souvent mieux acceptée par les autorités de Madrid que par des fonctionnaires coloniaux – un moyen efficace et économique d’aboutir à ses objectifs. 1Le but de cet article est d’approfondir les idées des missionnaires de l’époque et d’analyser comment ils ont essayé de fournir à de nombreux jeunes Guinéens cette nouvelle identité, qui est présente encore aujourd’hui et distingue les Equatoguinéens de leur entourage francophone. 4 P. 3Le récit du P. 10 P.