Le Figaro : la triche à l'école Sujet du bac volé et mis en ligne la veille de l'épreuve, comme ce fut le cas en juin dernier, smartphone caché sous un pull, oreillette planquée dans un foulard, travaux personnels encadrés (TPE) directement copiés de Wikipedia... Avec les nouvelles technologies, la fraude scolaire est devenue massive. Plus de 7 étudiants sur 10 avouent avoir triché au cours de leurs études ! Pis, quantité de sites glorifient les petits malins qui ont fraudé aux examens sans se faire prendre. Comment pourrait-il en être autrement dans une société qui se drape dans l'égalitarisme mais invente le système D pour y échapper, telle la sacro-sainte carte scolaire et ses nombreuses dérogations. Certes, le phénomène n'est pas - loin s'en faut - exclusivement français, mais il se double chez nous d'une certaine hypocrisie. Une pratique ancienne La fraude aux examens (...) n'a pas été inventée avec le bac. Un phénomène devenu massif mais encore méconnu (...) Réussir en trichant est devenu un titre de gloire (...)
Éduquons à l’esprit critique, pas au mépris du travail des autres Un professeur se vante d’avoir trompé ses élèves en leur fournissant de mauvaises informations sur internet… reprises ensuite par ces derniers. Je ne voulais pas réagir (d’autant que certains l’ont très bien fait) mais plusieurs amis m’ont demandé ce que j’en pensais : voici donc un court billet sur la question. Le sujet me touche d’autant plus que je suis issu de ce milieu de profs, que j’estime beaucoup pour sa curiosité, ses connaissances, son ouverture, son désintéressement. Je suis donc chagriné de constater un tel comportement, bien loin des valeurs de ce milieu. Non, cela ne m’amuse pas. *Des profs obligés de prouver qu’ils sont plus compétents que leurs propres élèves ? La première réaction est d’être extrêmement surpris qu’un prof soit obligé de faire appel à de tels guet-appens… Soit les élèves repompent des sites de manière évidente et point n’est besoin de leur tendre des pièges. On peut également être surpris de la fixité des exercices proposés par certains professeurs.
L’apprentissage tout au long de la vie | euronews, learning world Nous ne cessons jamais d’apprendre. Même après avoir quitté le système scolaire, nous continuons à acquérir savoirs et compétences. Cette semaine dans Learning World, nous nous intéressons aux différentes manières dont les gens apprennent tout au long de leur vie. Nous vous emmènons sur l‘île Maurice et en Thaïlande, nous entendrons également Yves Attou, Président du Comité mondial pour l‘éducation et la formation tout au long de la vie. Île Maurice: apprendre pour gérer le quotidien La littérature, ce n’est pas seulement lire et écrire, c’est aussi pouvoir s’exprimer librement et se faire comprendre. En collaboration avec l’UNESCO, la République de Maurice a mis en place un projet pilote de reconnaissance des acquis de l’expérience impliquant plusieurs organismes publics et privés. Objectif: aider ceux qui en ont besoin à officialiser leurs compétences. L’apprentissage permanent pour rester en phase avec son temps www.wcfel.org/ Thaïlande: tirer profit des leçons de la vie iiz-dvv.de
si un enseignant n'avait pas la maturité pour tirer profit des NTICLes z'ed <div class="greet_block wpgb_cornered"><div class="greet_text"><div class="greet_image"><a href=" rel="nofollow"><img src=" alt="WP Greet Box icon"/></a></div>Bienvenue sur <strong>les zed</strong> ! Vous pouvez vous abonner gratuitement aux <a href=" rel="nofollow"><strong>flux RSS</strong></a> pour rester informé des derniers articles.<div style="clear:both"></div><div class="greet_block_powered_by">Powered by <a href=" title="WP Greet Box WordPress Plugin" style="text-decoration:none;" onclick="pageTracker._trackPageview('/outgoing/omninoggin.com/projects/wordpress-plugins/wp-greet-box-wordpress-plugin/? Je suis remonté car désolé Monsieur, mais à la première lecture, je mets en doute vos objectifs et leurs buts réels… 65 -36 = 29 !
Je suis prof et je ne veux pas pourrir Je reviens à mon tour sur l’article d’un professeur de lettres qui a fait le buzz cette semaine : “Comment j’ai pourri le web”, pour lequel on trouve sur ce topic de Marie-Anne Paveau un certain nombre, déjà, de réponses. J’avais pensé écrire ma réaction sur mon blog drmlj mais j’ai trouvé plus intéressant de faire cela ici, comme pour donner une dimension vraiment professionnelle à ma tentative de réponse. ces fleurs sont des digitales, bien sûr On aurait aimé que “l’expérience pédagogique” (sic !) Je ne me reconnais pas dans cette figure de professeur. Mais revenons à ce qui justifie la présence de ce billet ici, dans ce carnet qui cherche à examiner ce que le numérique apporte de profitable à mes élèves. Màj à 19h17 : lu cet article sur le blog aux bords des mondes : ici :-) Imprimer ce billet Mots clefs : Lecture, numérique Posté dans : Actualités / News
JIES 2012 : les jeux dans l’éducation et la médiation scientifiques Le 4 mai 2012 par Knowtex Mercredi 2 mai l’Espace des Sciences Pierre-Gilles de Gennes accueillait la première journée d’études sur les jeux dans la médiation et l’éducation scientifiques. Voici les moments forts en tweets et en images. [<a href=" target="_blank">View the story "JIES 2012 : les jeux dans la médiation scientifique" on Storify</a>] Mots-clefs : éducation François Taddei jeu JIES Matteo Merzagora médiation Paris Richard Emmanuel Eastes Simon Bachelier
Comment j'ai pourri le web Petite expérience amusante sur l'usage du numérique en lettres Pendant ma première année au lycée, j’ai donné à mes élèves de Première une dissertation à faire à la maison. Avec les vacances scolaires les élèves avaient presque un mois pour la rédiger : c’était leur première dissertation de l’année. Plus tard, en corrigeant chez moi, je me suis aperçu que des expressions syntaxiquement obscures étaient répétées à l’identique dans plusieurs copies. En les recherchant sur Google, j’ai trouvé des corrigés sur un sujet de dissertation voisin vendus à 1,95€. Plus tard, la même année, j’ai donné sur table à une de mes classes un commentaire composé, sur un passage d’une œuvre classique. J’ai donc décidé de mener une petite expérience pédagogique l’année suivante : j'ai pourri le web ! Tendre sa toile... Vers la fin de l’été de cette même année, j’ai exhumé de ma bibliothèque un poème baroque du XVIIème siècle, introuvable ou presque sur le web. 1ère étape 2ème étape 3ème étape 4ème étape 5ème étape
Retour sur « ‘j’ai pourri le web » Voici un compte rendu de l’expérience, discutable, sur j’ai pourri le web. Ce qui suit va avoir un peu l’aspect d’un collage. C’est exactement ce que c’est. Je me suis servi dans un premier temps d’un billet posté sur mon carnet de note tumblr ainsi que du scoop.it d’une collègue l’affaire du pourrissseur du web. cette affaire est très intéressante car elle pose, au delà de tous les arguments développés la question suivante : …qu’est-ce qu’apprennent les élèves aujourd’hui et quels sont les savoirs que l’école doit faire apprendre aux élèves aujourd’hui ? Dans ce billet j’essaye d’organiser les différents arguments en un tout cohérent qui représente ce que je pense. La première partie tourne autour des critiques générales apportées à cette expérience. Les critiques générales Dans cette partie, comme dans le reste de ce travail, il ne s’agit pas d’être exhausitif, mais de mettre en avant les arguments qui me semblent intéressants à mon avis. La rupture du contrat de confiance Les enjeux
Éducation: le président de l'Université Stanford prédit la mort des salles de classe Plus il explore la diffusion de la connaissance par l'entremise de l'Internet et des outils de communication mobile et plus il en est convaincu: John L. Hennessy, président de la prestigieuse université californienne Stanford annonce aujourd'hui rien de moins que la disparition prochaine des salles de classe. Et comme la prédiction vient d'un endroit du globe à l'avant-garde sociale qui, il y a plus de 40 ans, a posé les germes d'une autre révolution, forcément, on écoute. «Je crois en la technologie dans l'éducation», a récemment indiqué l'homme lors d'une conférence. De la parole aux actes, l'Université Stanford explore depuis 2009 cette idée de dématérialisation de ses programmes d'enseignement avec des cours spécialement façonnés et formatés pour être suivis à distance, par un vaste public international, et sur des téléphones intelligents de type iPhone.