Ils ont choisi de vivre sans argent Réagissez : Partagez : Instrument d’aliénation pour les uns, clé du bonheur pour les autres, l’argent régit nos vies quelle que soit notre relation avec lui. Pour ne pas donner raison à notre société de consommation en masse, certains optent pour la sobriété volontaire. Heidemarie Schwermer, une Allemande d’une soixantaine d’années a décidé il y a 15 ans de « tout plaquer ». Le déclic, Heidemarie l’a eut un peu plus de 20 ans en arrière lorsqu’elle a divorcé. Mais dans cette ville importante de l’ouest de l’Allemagne, elle a été frappée par le nombre de sans-abri. Heidemarie s’est aperçue que finalement, ce n’étaient pas les déshérités, ceux qui vivaient dans la rue, qui franchissaient la porte de sa boutique. Ai-je vraiment besoin de toutes mes possessions ? Et c’est donc ainsi que Heidemarie a quitté son métier dans lequel elle ne se sentait pas épanouie pour vivre d’un petit boulot, lui permettant de gagner le strict minimum. > suite : l’histoire d’Heidemarie, à voir et à lire
Le Grand Marché Transatlantique : conséquences dans nos campagnes et nos assiettes Quelques rappels sur le Grand Marché Transatlantique Le 8 juillet 2013, l’Union européenne et les États-Unis ont entamé des négociations en vue de conclure un accord commercial bilatéral, le Partenariat Transatlantique de Commerce et d’Investissement (PTCI/TAFTA - pour de plus amples informations lire notre dossier en ligne). Tous les États-membres ont donné mandat à la Commission européenne pour négocier au nom de l’Union cet accord, avec comme seule exception – à relativiser – les services audiovisuels. Même si François Hollande a affirmé début octobre qu’il fera tout pour que l’agriculture soit préservée dans le cadre de ces négociations, l’agriculture n’est pas prévue comme un secteur d’exception. Ces négociations sont l’aboutissement de plusieurs années de lobbying des groupes industriels et financiers, européens et états-uniens. Les négociations à l’OMC, qui ont été le moteur de la libéralisation du commerce notamment agricole depuis les années 90, sont actuellement bloquées.
Les erreurs de prix de la grande distribution Réagissez : Partagez : Avez vous confiance dans les prix que vous payez dans votre hypermarché habituel ? C’est la Dgccrf qui a mené des vérifications dans 1 269 magasins, surtout des commerces alimentaires, équipés d’un système de lecture optique des codes barres. Des erreurs ont été constatées dans plus de la moitié des magasin contrôlés (54%). Des erreurs en votre défaveur dans 60% des cas Et devinez quoi ? Ces erreurs étaient défavorables aux consommateurs dans 6 cas sur 10. Ce n’est pas la première fois qu’on tire la sonnette d’alarme. Erreurs de prix au passage en caisse : bon à savoirSi le consommateur constate une différence de prix défavorable après paiement, il peut se faire rembourser la différence, voire davantage. [...]Selon l’usage commercial, en présence d’une différence entre le prix indiqué en rayon et celui payé en caisse, le consommateur devrait payer le prix le plus bas, sauf en cas d’erreur manifeste tel qu’un téléviseurs à 12 €. Le dossier consommation – shopping
Edgar Morin : « Nous avançons comme des somnambules vers la catastrophe » Pourquoi la vitesse est-elle à ce point ancrée dans le fonctionnement de notre société ? La vitesse fait partie du grand mythe du progrès, qui anime la civilisation occidentale depuis le XVIIIe et le XIXe siècle. L’idée sous-jacente, c’est que nous allons grâce à lui vers un avenir toujours meilleur. Plus vite nous allons vers cet avenir meilleur, et mieux c’est, naturellement. C’est dans cette optique que se sont multipliées les communications, aussi bien économiques que sociales, et toutes sortes de techniques qui ont permis de créer des transports rapides. Je pense notamment à la machine à vapeur, qui n’a pas été inventée pour des motivations de vitesse mais pour servir l’industrie des chemins de fer, lesquels sont eux-mêmes devenus de plus en plus rapides. Cela est-il donc si nouveau ? Dans les temps anciens, vous vous donniez rendez-vous quand le soleil se trouvait au zénith. Cette quête de vitesse n’est-elle pas une illusion ? En quelque sorte si. Prenez l’exemple du déjeuner.
Obsolescence Programmée - concepts, exemples et actualités | De la psychologie sociale à la psychologie économique en passant par la psychologie politique Christine Roland-Levy La psychologie sociale s'intéresse à des situations sociales qui sont clairement ancrées dans la réalité sociale du moment, dans un environnement politique donné et dans un contexte économique spécifique. La politique et l'économique nous semblent imbriqués l'un dans l'autre, et travailler sur l'un de ces deux pôles ne peut exclure le deuxième pôle. Ainsi, acheter, choisir, prendre des décisions d'épargne ou d'investissement, gérer et prévoir, font partie des multiples conduites économiques que nous sommes sans cesse amenés à pratiquer, et ces conduites se font dans un contexte socio-politique donné. 1.1. 1.2. Prenant la suite de Katona (1975), qui a montré que les comportements économiques sont influencés, non seulement par des facteurs extérieurs, mais aussi par des facteurs psychologiques, Albou a présenté dans plusieurs ouvrages les mérites de la complémentarité entre psychologie et économie (cf. par exemple 1974 et 1980). 2.1. 2.2. 2.3.
Journal La Décroissance Les semences de la faim Ce rapport d'Oxfam montre, chiffres à l’appui, que l’appétit croissant de l’Europe pour les agrocarburants fait grimper les prix alimentaires mondiaux et alimente le phénomène d’accaparements des terres dans les pays du Sud : D’ici à 2020, les objectifs de l’UE en terme d’agrocarburants pourraient à eux seuls faire grimper le prix de certaines denrées alimentaires de 36%Près de deux tiers des terres accaparées entre 2000 et 2010 seraient utilisés pour produire des agrocarburants Et ce alors que les agrocarburants sont loin de remplir leur rôle présupposé de réduction des émissions de gaz à effet de serre : si l’on prend en compte l’intégralité des émissions liées à leur production, la majorité des agrocarburants utilisés aujourd’hui en Europe produisent plus de gaz à effet de serre que les carburants fossiles.
Comment rester un consom’acteur responsable Réagissez : Partagez : Voici une contribution de Tiana qui tente un point sur la consommation durable en ces temps de crise qui bouscule les ambitions écologiques des consommateurs. Il nous explique comment, selon lui, rester un consommateur responsable actuellement. Tiana Mialintsoa Sommes-nous prêts à devenir les principaux acteurs de la consommation responsable ? Bien que le public présente de nombreuses appréhensions au sujet de la consommation responsable, de plus en plus de Français s’initient à cette pratique, malgré la crise. Bien au contraire, la crise mondiale est plus qu’un simple prétexte qui nous pousse à revoir nos méthodes de consommation. Savons-nous réellement ce qu’implique une consommation responsable au sein des foyers ? Il convient de préciser que la consommation responsable régit l’attitude d’un consommateur en fournissant une dimension éthique dans ses actes d’achats. Comment devenir un éco-consommateur responsable et engagé ? Sur le même thème :
Présidentielles 2012 : La gauche et la droite se trompent de chemin ! - Actif et militant sur LePost.fr (16:01) Bonjour à vous ! C'est étonnant comme les politiques sont stériles et nous rabâchent continuellement les mêmes discours ringards d'un autre temps. A les entendre, il faudrait encore travailler plus pour produire plus, pour en définitif mieux permettre au pouvoir de contrôler notre misérable existence… Rien de tel que l'idéologie du travail pour mieux nous asservir… Il faut reconnaître qu'en période de récession européenne c'est d'un comique avéré que cette notion de travailler plus pour réduire les déficit ! Alors que les pays européens vont faire un nouveau bond dans les pourcentages du chômage (La France va dépasser les 10 % prochainement !) Alors même que ceux qui ont gouverné ces quinze dernières années comme ministre des finances (des gaspillages serait plus juste !) Mais comment se fait-il que pratiquement personne (ou presque !) Comment se fait-il qu'aucun parti, ni aucun/e candidat/e ne propose comme finalité le bonheur pour tous et non pour quelques uns ? En Allemagne : En résumé :
Alimenter l'injustice ? Un nouveau rapport présenté cette semaine à Bruxelles par la plateforme EuropAfrica et l'ONG FIAN montre que la politique européenne en matière d'agrocarburants continue de menacer la sécurité alimentaire en Afrique "Alimenter l'injustice ? La responsabilité de l’Europe dans la lutte contre le changement climatique sans pour autant engendrer l'accaparement des terres et aggraver l'insécurité alimentaire en Afrique" L'Union Européenne doit justement évaluer en 2012 les impacts de sa politique de promotion des agrocarburants sur l'environnement et la volatilité des prix alimentaires. Le rapport d'EuropAfrica montre que 66 % des accaparements de terre en Afrique sont destinés à la production d'agrocarburants, soit près de 19 millions d'hectares. Parmi les plus gros investisseurs, on trouve des compagnies de l'UE comme le montrent des études de cas au Mali et au Sénégal, et les investissements européens sont en pleine croissance. Voir le résumé en français
Une émission sur les Business-Angels en prime time Quatre émissions de 70 minutes chacune sur le financement et la création d'entreprise. Du jamais vu dans le paysage audiovisuel français ! « L'entrepreneuriat est un thème très actuel mais pas facile à traiter en télé. Nous avons imaginé un concept original et utile qui permet à de jeunes créateurs de se lancer » explique Medhi Harbaoui de Little Big Prod, la société de production à l'origine de ce projet diffusé sur France 4 depuis janvier. L'idée : proposer à huit candidats créateurs d'être suivis et accompagnés par deux business angels qui les accompagnent et les soutiennent dans leurs démarches. « Le choix des deux business angels s'est imposé de lui-même : nous avons immédiatement pensé à Sandra Le Grand et Aziz Senni, tous deux créateurs d'entreprises et très actifs dans le monde de l'entrepreneuriat » poursuit Medhi Harbaoui. Guider les créateurs Levée de fonds en cours A voir et à revoir sur le site