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Effet Barnum

Effet Barnum
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'effet Barnum (expression attribuée au psychologue Paul Meehl en référence aux talents de manipulateur de l'homme de cirque Phineas Taylor Barnum), autrement appelé « effet Forer » ou « effet puits » par Henri Broch, effet de validation subjective ou effet de validation personnelle, désigne un biais subjectif induisant toute personne à accepter une vague description de la personnalité comme s'appliquant spécifiquement à elle-même[1]. Application[modifier | modifier le code] L'effet Barnum peut s'appliquer notamment : Découverte[modifier | modifier le code] En 1948, le psychologue Bertram Forer soumit ses étudiants à un test de personnalité. « Vous avez besoin d'être aimé et admiré, et pourtant vous êtes critique avec vous-même. Il demanda ensuite à chaque étudiant de noter la pertinence de l'évaluation de sa personnalité sur une échelle de 0 (médiocre) à 5 (excellent). La moyenne fut de 4,26. Postérité[modifier | modifier le code] Related:  Se déconditionner

Effet Dr. Fox Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Protocole expérimental[modifier | modifier le code] Les chercheurs présentent, à un public composé de spécialistes en éducation et en psychologie, le « Dr. Myron L. La conférence fut présentée trois fois devant un total de 55 personnes. Dans une récente critique concernant l'évaluation de l'enseignement faites par les étudiants, la professeure de droit Deborah Merritt a résumé l'effet Dr. « Les expérimentateurs ont créé une conférence bidon sur La théorie mathématique des jeux et son application à la formation des médecins et ont entraîné l'acteur à donner cette dernière « avec une utilisation excessive du double langage (en), de néologismes, de non sequitur et d'affirmations contradictoires ». — Deborah Merritt[3] L'acteur[modifier | modifier le code] Contrairement à une croyance populaire, l'acteur impliqué dans l'expérience n'était vraisemblablement pas l'acteur américain Michael Fox[réf. souhaitée]. Notes[modifier | modifier le code]

Edition d'Epinal | Une détenue qui pousse à bout le personnel - Vosges Matin Pour les représentants Force Ouvrière, le comportement provocateur de la quadragénaire n’est plus tenable. (Photo Jean-Charles OLÉ) Une équipe excédée. C’est ainsi que l’on pourrait qualifier l’état d’esprit actuel d’une partie du personnel pénitentiaire de la maison d’arrêt d’Epinal. Depuis quelques semaines, ces surveillantes subiraient une situation jusque-là inédite : la gestion d’une détenue à la recherche permanente du conflit. La personne en question est une quadragénaire ayant intégré début mai la maison d’arrêt d’Epinal. A priori, cette détenue a toujours été très difficile à gérer. Pour les membres locaux et régionaux du syndicat, la situation n’a que trop duré. Inquiétudes des détenues pour le personnel Tous ces éléments mis bout à bout semblent déboucher sur une situation devenue irrespirable pour le personnel qui ne sait plus comment se comporter face à cette femme. Du côté de la direction, pas question de « diaboliser ou banaliser » un quelconque détenu.

Lecture à froid Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La lecture à froid est une technique utilisée par des vendeurs, des interrogateurs, des hypnotiseurs, des graphologues, des chiromanciens, des astrologues, comme par des escrocs pour convaincre une autre personne qu'ils en savent plus à leur sujet qu'ils n'en savent réellement. Procédure[modifier | modifier le code] Avant de commencer la lecture à froid, le lecteur va typiquement essayer de susciter la coopération, en disant quelque chose comme : « Je vois souvent des images qui sont un peu floues, et qui peuvent parfois signifier plus pour vous que pour moi. Si vous m'aidez, nous pouvons ensemble découvrir beaucoup de nouvelles choses à votre sujet. » Le lecteur pose ensuite un certain nombre de questions, typiquement en utilisant des variations sur des méthodes notées plus bas. La combinaison des techniques de lecture à froid avec des informations obtenues subrepticement à un autre moment est appelée lecture chaude. Exemples :

Effet Hawthorne Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'effet Hawthorne ou expérience Hawthorne, décrit la situation dans laquelle les résultats d'une expérience ne sont pas dus aux facteurs expérimentaux mais au fait que les sujets ont conscience de participer à une expérience dans laquelle ils sont testés, ce qui se traduit généralement par une plus grande motivation. Cet effet tire son nom des études de sociologie du travail menées par Elton Mayo, Fritz Roethlisberger et William Dickson dans l'usine Western Electric de Cicero, la Hawthorne Works, près de Chicago de 1924 à 1932. Cet effet psychologique est à rapprocher de l'effet Pygmalion, que l'on observe chez des élèves dont les résultats s'améliorent du simple fait que le professeur attend davantage d'eux. On peut aussi le rapprocher de l'effet placebo[1]. De 1928 à 1932, Mayo dirigea une expérience dans l’usine Hawthorne (29000 salariés), unité de production appartenant à la Western Electric Compagny. Les économistes John A.

En Finlande, travailler pourrait devenir un choix Dans sa déclaration de politique générale, le premier ministre finlandais a expliqué vouloir expérimenter un revenu universel. Une allocation de base versée à tous les citoyens qui devrait atteindre 1000 euros. Jusqu'ici, l'idée ressemblait surtout à une lubie utopiste réservée aux stricts milieux intellectuels. Si l'on ne connaît pas encore les détails exacts du projet de loi présenté par le premier ministre finlandais, Juha Spilä, on en connaît les contours. Le gouvernement de centre droit entend tester dans les prochains mois l'idée d'une allocation de base pour tous les citoyens du pays, sans distinction d'âge, de situation sociale ou de santé. L'expérimentation devrait être réalisée dans un premier temps dans une région du pays fortement impactée par le chômage servant de laboratoire. Le projet énoncé est soutenu majoritairement en Finlande où selon les premiers sondages, 79% de la population approuve cette idée alors que la réforme est également bien reçue par 69% des députés.

Cold reading Le terme cold reading fait référence à un ensemble de techniques utilisées par les manipulateurs professionnels pour modifier le comportement d'un sujet ou pour l'amener à croire que le manipulateur possède certaines habiletés qui lui permettent mystérieusement de connaître des choses à son sujet. Cette technique va plus loin que les outils habituels de la manipulation que sont la suggestion et la flatterie. Dans le cold reading, les vendeurs, les hypnotiseurs, les champions de la publicité, les prédicateurs, les escrocs, et certains thérapeutes tablent sur la tendance d'un sujet à trouver plus de signification dans une situation qu'il n'y en a réellement. Le désir de donner un sens à nos expériences nous conduit parfois à de merveilleuses découvertes, mais parfois aussi à d'incroyables sottises. Le manipulateur sait que la personne qu'il a devant lui a tendance à trouver un sens à quoi que ce soit qu'il pourra lui dire, peu importe le degré d'improbabilité. Voici une autre lecture :

Effet Pygmalion Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. En pédagogie, l'effet Pygmalion (parfois nommé effet Rosenthal & Jacobson) est une prophétie autoréalisatrice qui désigne l'influence d'hypothèses sur l'évolution scolaire d'un élève et sur les aptitudes de celui-ci. Le problème est d'importance, car si les enfants des milieux défavorisés réussissent moins bien à l'école que les enfants des milieux favorisés, la cause pourrait ne pas être uniquement liée aux carences de ces enfants et de leurs milieux. L'effet Pygmalion est principalement étudié dans le cadre des effets positifs. L'effet inverse est appelé effet Golem : il se traduit par une performance moindre et des objectifs moins élevés sous l'effet d'un potentiel jugé limité par une autorité (parent, professeur, ...)[1]. Origine du nom[modifier | modifier le code] Expérience de Rosenthal & Jacobson[modifier | modifier le code] Rosenthal a découvert l'effet Pygmalion en réalisant l'expérience suivante : Une classe aux États-Unis

quoi faire | la soupe à l'herbe je suis sèche, j’arrive à rien. Je suis devant cette page « nouvel article » depuis 1h et rien ne vient. Je tourne en rond, j’ai plus rien à dire ou alors si justement : tellement à dire mais toujours pareil. À quoi bon. À quoi bon quand celles et ceux qui te liront seront a priori plutôt d’accord avec toi, dans les grandes lignes. À quoi bon quand celles et ceux que tu aimerais avoir comme lecteurs et lectrices, en dehors du cercle anarcho-féministe en gros, passent leur chemin. Par exemple balancer des textes sur des sites estampillés antifa quand on veut contrer, démonter, un discours conspi ou confus (les exemples sont nombreux par ex quand on parle à des adeptes de Chouard) c’est perdu d’avance : le terme « antifa » joue comme répulsif. Ça rejoint un peu le mécanisme du développement des rumeurs, comme l’expliquent V. « Contrairement à une idée reçue, un individu ne croit pas à une rumeur parce qu’il est crédule. Alors on fait quoi ? C’est un mode de pensée impossible à contrer.

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