Enterprise 2.0: we need to stop preaching in the language of the I have a hard time keeping up with my twitter stream, so I do not open every bit.ly link. However, this one caught my eye: a tweet from two people I highly enjoy following, Venessa Miemis (@venessamiemis) and Jon Husband (@wirearchy) caught my eye: "brilliant post by @tdebaillon" - so I opened it and read this very well argued case for what is increasingly being referred to as Social Business Design (which I prefer to the more technology-skewed term Enterprise 2.0, which essentially means the same): 2.0 technologies are already changing the way we are using the Web, the way we are connecting, conversing and interacting with each other. We discovered that these conversations are a totally new way to learn, to collaborate and to exchange knowledge, but most of our initiatives are still about harnessing these technologies into existing models. via www.debaillon.com Image via Wikipedia So far so good. As Thierry observes, risk avoidance prevents (most) companies to go there. Postscript:
OmniSpace Technologies, Inc.: Private Company Information - Busi April 25, 2014 10:49 AM ET Internet Software and Services Company Overview OmniSpace Technologies, Inc. operates as an application service provider of hosted business coordination platforms. 8111 LBJ Freeway Suite 200 Dallas, TX 75251 United States Founded in 1998 Phone: Fax: Key Executives for OmniSpace Technologies, Inc. Vice President of Operations & Services Vice President of Product Development Compensation as of Fiscal Year 2013. Similar Private Companies By Industry Recent Private Companies Transactions Stock Quotes Market data is delayed at least 15 minutes. Most Searched Private Companies Sponsored Financial Commentaries Sponsored Links
blueKiwi Rides the Freemium Wave With the continued success of Twitter and other social networking tools, any criticism (or praise) of products and companies is becoming increasingly public. Finding a way to manage these external communications in the internal decision-making process is an ongoing challenge for many businesses. Today, in an effort to help marketers and community managers better deal with such outside correspondence, blueKiwi, an Europas shortlist finalist, has announced the introduction of a free version of its Social Business Platform aimed at integrating outside conversations into daily internal communications to improve the decision making process. Instead of community managers simply engaging with outside audiences via social networking tools, blueKiwi pulls outside conversations into internal discussions in order to leverage the thoughts and ideas of its user base, much like Salesforce aims to do with Chatter or Bantam Live. blueKiwi was founded in 2006 by Carlos Diaz and Christophe Routhieau.
Communautés 2.0 en entreprise: trois niv On a cru au départ au grand paradigme de la transformation globale et uniforme de l’entreprise traditionnelle en entreprise 2.0. La pratique est en train de prouver le contraire… En effet, plus je travaille avec mes clients au déploiement de stratégies Web 2.0 et de certains de ses outils à l’intérieur de leurs entreprises, plus je m’aperçois que ce déploiement doit se faire de façon graduelle, par projets pilotes. Mais aussi en phases mesurées dans le temps (j’entends certains parler d’étapisme…) et que nous devons surtout ternir compte de réalités différentes dans les unités d’affaires et profiter si possible d’une refonte de l’intranet existant (s’il existe bien entendu), miser sur ses forces et corriger ses faiblesses. Les réalités sont très différentes, que se soit au point de vue fonctionnel ou opérationnel. Mais il n’y a pas que cette grande communauté… Là, je rejoins le discours que nous tenions au début des années 2000 en tant que spécialistes de l’intranet. Premier niveau
Facebook, Twitter et les autres… Un rapide billet pour annoncer la fin (ou en tous cas la suspension) de Carnet de com. J’ai lancé la toute première version de ce blog il y a bientôt 7 ans. Au départ un blog « fourre-tout », il est devenu thématisé sur la communication et le web. De longues périodes de vide ont alterné avec de courtes périodes de mises à jour régulières. Je ne vais pas rentrer dans les détails. J’ai transféré quelques articles publiés ici à l’origine. Je vous donne donc rendez-vous « là-bas » à partir de maintenant, ainsi que sur mon blog de thé, mon blog cosmétiques, mon blog de cuisine et mon petit « dernier » : Bonjour-chaussettes (blog à prendre au 20ème degré, évidemment !) Bonne continuation à tous et merci à tous ceux qui ont lu régulièrement ce blog et qui l’ont enrichi par leurs commentaires
Buzz monitoring : 5 outils et + Alors que 77 % des internautes français sont membres d’au moins un réseau social, que les budgets marketing vont faire une part de plus en plus belle aux médias sociaux et que la e-réputation devient stratégique, il est désormais nécessaire de se doter d’outils pour analyser le ROI et mesurer l’efficacité des actions de marketing 2.0. Il n’existe pas encore à ma connaissance de solution idéale qui intègre sous une même interface les statistiques sur l’audience de son site Web, l’analyse de sa e-réputation et de son positionnement sur les moteurs et le monitoring de ses actions sur les médias sociaux. J’avais par exemple récemment publié un billet sur les « 10 outils pour surveiller vos liens entrants« . Ces outils sont certes intéressants mais ne couvrent qu’un seul aspect du schmilblick. En attendant l’outil idéal, je vous propose ici quelques solutions qui vous permettront de mieux appréhender les résultats de vos actions marketing sur les médias sociaux.
Discoveries » Who are the Online Publishing Companies That Matte Dear Customers, Friends, and Colleagues, Over the past four years, Buysight has developed an innovative suite of targeted display advertising products, building on our partnerships with online retailers, and rooted in our understanding of shopper purchase intent. Our retargeting and customer acquisition solutions have helped hundreds of clients increase their sales and realize a stellar return on their advertising dollar. Buysight has joined forces with Advertising.com as part of the AOL family. Buysight will continue to provide our clients with the personal service and attention that has resulted in so many strong and lasting relationships. We welcome any thoughts or questions and invite you to read the official press release. Many thanks for your support and we look forward to a bright and prosperous future together, The Buysight Team
Google veut détrôner Microsoft Exchange en entreprise 01net. le 18/03/10 à 16h40 Selon IDC, Microsoft détient, avec Exchange, 52 % du marché des plates-formes de messagerie et de collaboration d'entreprise. IBM suit, avec Lotus Notes et ses 37,7 % de parts de marché. Deux verrous que Google entend bien faire sauter pour récupérer à son tour une part de cet appétissant gâteau. Gratuit pour les clients Premier et Education Après le lancement d'un premier outil de migration depuis Lotus Notes en juillet 2009, voici que Google lance l'équivalent pour Microsoft Exchange. L'outil, gratuit pour les détenteurs de comptes Premier et Education, prend en charge la migration des boîtes de messagerie, des bases de contacts et des agendas des utilisateurs. Google cherche ainsi à faciliter la transition entre Exchange-Outlook et les Google Apps, mais du côté utilisateur.
Coheris propose un CRM préparamétré, bientôt en mode hébergé 01net. le 18/03/10 à 17h40 Ciblant historiquement les grands comptes, Coheris CRM était jusqu'à présent une solution de gestion de la relation client souple, mais peu prédéfinie. Désormais, ses modules marketing, ventes et service client présentent davantage de valeur métier, les fonctions et processus les plus répandus étant livrés prêts à l'utilisation. « Cette démarche sera suivie par la mise en place d'une offre ASP (service applicatif hébergé, ndlr) au cours du second semestre », anticipe Tom Pertsekos, directeur stratégie et marketing produits de Coheris. Prédéfini et paramétrable Dans le même temps, la version 5 de Coheris CRM autorise une plus grande facilité de paramétrage. D'autres fonctionnalités enrichissent les différents modules de l'application, depuis le catalogue produit, plus visuel, jusqu'aux fonctions évoluées de foire aux questions (nuage de tags, recherche thématique), en passant par la refonte du fonctionnement et de la présentation de l'agenda fourni par Coheris.
Vers un système d’information plus intelligent Lorsqu’on regarde les grandes composantes d’un système d’information on voit immédiatement que deux grands pôles coexistent. • Celui de la “mécanique”. Il s’agit des applications qui se sont substituées à l’homme parce que plus efficaces ou fiables que ce dernier pour certaines tâches, procurant ainsi un bénéfice substantiel tant en termes de vitesse et de qualité donc, autrement dit, en matières de coûts. Elles permettent de mécaniser des traitements de grande ampleur, répétitifs, demandant davantage de la puissance de calcul et de traitement que de l’intelligence et de la capacité de réagir face à l’imprévu. • Celui de l’intelligence. Il s’agit des applications qui ne se substituent pas à l’humain mais sont supposées lui permettre de démultiplier ses capacités intrinsèques qu’une machine n’a pas. Si l’on se concentre sur le second point, il est évident qu’à ce jour une machine ne sait comprendre et interpréter des données non structurées avec la finesse nécessaire. Pas si sur.
Connectés mais protégés: le pari des réseaux sociaux décentralisés | ParisTech Review L’idée était pour le moins surprenante : développer un réseau social « open source, contrôlé à l’échelle individuelle, respectueux de la vie privée et multifonction », alors même que le succès massif que connaissent les réseaux sociaux actuels repose sur le bon vouloir des utilisateurs à dévoiler leurs données personnelles, facilitant ainsi une forme sophistiquée de segmentation par « profils ». Plus surprenant encore fut l’intérêt qu’elle éveilla auprès du grand public. C’est pourtant comme cela que commença l’histoire de Diaspora : à l’été 2010, quatre étudiants de premier cycle de l’Université de New York (NYU) réussirent à lever près de 100 000 dollars – un montant plus de dix fois supérieur à celui qu’ils visaient – pour développer leur idée de réseau social décentralisé. Cette raison mystérieuse pourrait bien être la suivante : contre toute apparence, les utilisateurs – ou du moins, certains d’entre eux – sont soucieux de leur vie privée.