Japan firms want 'safety first' on nuclear restarts: poll
April 19, 2012|Izumi Nakagawa and Tetsushi Kajimoto | Reuters TOKYO (Reuters) - Nearly three-quarters of Japanese firms want safety guaranteed before idled nuclear reactors in the country are restarted, seeing no need to rush the process despite the impact the loss of the power source could have on their businesses. Japan is set to have no nuclear power within weeks for the first time in over 40 years following last year's crisis at the Fukushima Daiichi nuclear plant, which crushed public trust in nuclear power and prevented the restart of reactors shut for regular maintenance checks. The poll, taken alongside the monthly Reuters Tankan company sentiment survey, showed only 15 percent of firms want an early restart for idled reactors, while 72 percent said safety should be the key priority. Sixty-five percent of firms think the loss of all nuclear power would hurt their businesses, however, according to the survey of 400 big companies, of which 234 responded from March 30-April 16.
Fukushima Daiichi: Inside the debacle
By Bill Powell and Hideko Takayama Fukushima Daiichi FORTUNE -- More than a year has passed since a massive earthquake and a series of tsunamis triggered the worst accident at a nuclear power plant since Chernobyl in 1986, but the epic debacle at the Fukushima Daiichi nuclear power station remains front and center in Japan, at the very core of a historic debate over the future of nuclear energy—one that comes down to a fundamental question: Should nuclear power, which prior to the accident last year generated 30% of the electricity for the world's third-largest economy, have any future at all in Japan? On April 13, the government of Prime Minister Yoshihiko Noda tipped its hand. The nine power companies in Japan have the legal authority to fire up the nuclear plants once they have received regulatory approval from Tokyo, in practice. That assent won't come easily. The answers are bracing. MORE: Utility exec to feds: Save our tax break, or else The Darkest Hours Turning a Blind Eye
« Récits de Fukushima » : huit petits films, témoignages poignants | Rue89 Planète
Une websérie poétique et émouvante nous mène à la rencontre de ces Japonais vivant dans l’enfer de la radioactivité, ce poison invisible. Angoissés, ils commencent tout juste à se révolter contre un gouvernement qui continue de leur jurer que tout va bien. Un an après l’accident à la centrale de Fukushima, la catastrophe « n’est pas finie, elle vient de commencer ». C’est le constat dressé par Alain de Halleux, réalisateur de la série de huit petits films qu’Arte nous autorise exceptionnellement à publier. A la fin du premier épisode, les larmes d’Eiko nous font comprendre ce qui est dit explicitement dans le dernier des huit films : « Nous avons perdu le Japon que nous connaissons. » Rien ne sera plus jamais comme avant pour ceux qui refusent de croire le discours trop rassurant du gouvernement. Eiko vit à Tokyo, elle tient une crêperie avec son mari français et c’est pour ne pas jouer l’avenir de petite fille de quatre ans à la roulette russe qu’ils ont décidé de partir :
Harakiri du Japon par les déchets nucléaire
Déchets dans la préfecture d’Iwate (Alissa Descotes-Toyosaki) Dans la petite case en préfabriqué, il fait bon. Ça sent le café et le tabac. A Rikuzentakata, à l’emplacement du supermarché en ruine, il y a maintenant un centre de tri des déchets en plein air. « C’est mon gagne-pain et ma façon de contribuer à la reconstruction » explique Satomi Shida. Cette étudiante avait fait une demande d’embauche dans un supermarché. « Malgré l’ampleur du travail et les années que cela prendra, on ne peut pas salarier les travailleurs. Le chef de chantier, Yasuo Araki avoue ne pas toujours comprendre la politique de reconstruction du pays : « Tout ce que je sais, c’est que les déchets que nous trions seront traités dans la cimenterie d’Ofunato et non pas à Rikuzentakata. » Pourtant la ville, détruite à 90%, tient le triste record de toute la préfecture d’Iwate, soit 1 million de tonnes de déchets. Déchets radioactifs Projets de reconstruction ratés La déchèterie de Rikuzentakata (Alissa Descotes-Toyosaki)
After The Media Has Gone: Fukushima, Suicide and the Legacy of 3.11 マスコミの去った後ーー福島、自殺、3.11の残したもの
After The Media Has Gone: Fukushima, Suicide and the Legacy of 3.11 Makiko SEGAWA For the media, time is of the essence in a news story. The press pack has disappeared like a ghost since this April. As if to take advantage of the precise timing of the media evacuation, the municipal government of Minami-soma city, Fukushima Prefecture began implementing a blueprint planned some time earlier. Watanabe Ichie, a volunteer from Tokyo who witnessed the scene near the roadblock into the zone observed that: “several police vehicles with flashing red lights arrived after 23:00 on April 15th. Mayor Sakurai’s Drive to Reopen Minami-Soma The home of Minami-soma’s mayor, Sakurai Katsunobu, is located in the newly reopened part of Haramachi. The 56-year-old mayor has been single all his life and has no children. The city reopened the no-entry zone in May, insisting that radiation levels in Odaka and some parts of Haramachi had fallen enough to be safe. The area is like a wasteland. Dr. Notes
70% de radioactivité en plus dans la Baie de Tokyo - Grand Angle
Les premiers Citizenside France Reporter Awards cherchent à récompenser les contributions les plus remarquables du point de vue de la couverture de l’actualité et de la qualité technique de la photo. Les gagnants seront sélectionnés dans quatre catégories : News, People, Culture, Sport ainsi qu’un Prix Reporter de l’année, décerné par un jury choisi par l’équipe éditoriale de Citizenside France. Cette décision sera ferme et définitive. Le gagnant de chaque catégorie recevra 1 000€. Un contributeur qui remporte le prix d’une catégorie peut être sélectionné ou non pour le Reporter Award de l’année. Citizenside France est la seule à pouvoir déclarer officiellement le vainqueur du prix de chaque catégorie. En envoyant les contributions à Citizenside France, les membres sont soumis aux Conditions Générales d’Utilisation de Citizenside France.
Dossier Méga-Catastrophe Nucléaire de Fukushima
Internationalnews Mise à jour du 20 juillet 2012 Internationalnews 18 juin 2012 La Gazette Nucléaire Une progression bien plus rapide qu’à Tchernobyl 6%, c’est le nombre très inquiétant d’enfants de la région de Fukushima au Japon qui présentent des excroissances anormales. Le rapport d’enquête mené sur 38 000 enfants à Fukushima un an après la catastrophe nucléaire précise que les kystes ou les nodules se trouvent sur leurs thyroïdes. Le site Internet Fukushima Voice, qui publie le rapport du Centre de recherche sur les symptômes de […] Internationalnews 19 juillet 2012 Published on Jul 9, 2012 by DocumentingIan En confinement: les habitants de Minamisoma, 15 mois après la fusion ENGLISH-subtitled version can be found here: Nous n'avons pas trouvé les parties 4 et 5 sous-titrée en français. Internationalnews Dissident media La France attend-elle une catastrophe pour faire de même? Internationalnews 28 avril 2012 Kevin Kamps, Beyond Nuclear joins Thom Hartmann.
Alerte à Fukushima ! -- Enfant de la Société
C'est un général américain qui a sonné l'alarme : ce qui était à craindre est en train de se profiler à l'horizon, menaçant tout l'hémisphère nord. Il s'appelle Albert N.Stubblebine, et ce général retraité de l'armée américaine a publié récemment un communiqué en tant que président de la NSF (Natural Solution Foundation), affirmant que la situation à Fukushima est en train d'empirer. Que ce soit par l'évaporation de l'eau dans les piscines, ou en raison de l'effondrement possible de la structure, ce serait d'après lui tout l'hémisphère nord qui pourrait devenir en grande partie inhabitable, si le pire arrivait. lien Sa déclaration est sur cette vidéo On se souvient de l'interview récente du diplomate Akio Matsumura qui déclarait comment la catastrophe en cours de la centrale de Fukushima pouvait finalement se transformer en un évènement capable de mettre en péril toute vie sur Terre. vidéo Revenons à la piscine du N°4.