Évangéliaire de Liuthar
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'évangéliaire de Liuthar (trésor de la cathédrale d'Aix-la-Chapelle, 27,9 x 21,8 cm) est un manuscrit enluminé de la fin du Xe siècle ou du début du XIe siècle. Réalisé à Reichenau dans l'atelier du moine Liuthar, il s'agit d'un des plus beaux exemples de l'art ottonien. Il est actuellement conservé au trésor de la cathédrale d'Aix-la-Chapelle. Datation[modifier | modifier le code] Il y a un certain débat académique concernant la date exacte de réalisation de cet évangéliaire. Notes et références[modifier | modifier le code] ↑ Florentine Mütherich, “Zur Datierung des Aachener ottonischen Evangeliars,” Aachener Kunstblätter 32 (1966): 66-69, cité par Eliza Garrison, Middlebury College, Otto III at Aachen [archive], Peregrinations. Voir aussi[modifier | modifier le code] École de Reichenau Liens externes[modifier | modifier le code] (en) Eliza Garrison, Middlebury College, Otto III at Aachen [archive], Peregrinations.
Vulgate
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La Vulgate (du latin vulgata, qui signifie « rendue accessible, rendue publique », lui-même de vulgus, qui signifie « la foule ») désigne la version latine de la Bible, traduite par Jérôme de Stridon, entre 390 et 405, directement depuis le texte hébreu pour l'Ancien Testament et du texte grec pour le Nouveau Testament. En ceci, elle s’oppose à la Vetus Latina (« vieille bible latine »), traduite du grec de la Septante. Le fait de puiser directement aux sources judaïques lui donne aux yeux des chrétiens latins, un « plus ». En 1454, Gutenberg réserve à la Vulgate l'honneur d'être le premier livre imprimé ; on parle de Bible à 42 lignes (par page). Les traductions latines de l'Ancien et du Nouveau Testament[modifier | modifier le code] Selon Pierre Nautin, spécialiste de la littérature patristique, plusieurs des lettres entre Jérôme et Damase auraient en fait été écrites par Jérôme après la mort de Damase. Annexes[modifier | modifier le code]
Abbaye du Mont-Saint-Michel
Le site est doublement inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO : une première fois en 1979 comme bien intitulé « Mont Saint-Michel et sa baie » et une seconde fois en 1998 en tant que composante du bien en série « Chemins de Compostelle en France »[2]. Propriété de l'État, il est géré par le Centre des monuments nationaux[3]. Avec plus de 1,355 million de visiteurs par an en 2010, l'abbaye fait partie des premiers sites culturels visités en France[4]. Toponymie[modifier | modifier le code] Attestations anciennes : in monte qui dicitur Tumba, vers 850, revelatio. Monte Sancti Michaelis 966, AG NLM. Le mot tumba, tombe, rare en toponymie, est à interpréter dans le sens de « tertre », « élévation »[5]. Héraldique[modifier | modifier le code] Histoire primitive du Mont[modifier | modifier le code] Le Mont-Tombe durant l'Antiquité[modifier | modifier le code] Le Mont-Saint-Michel-au-péril-de-la-Mer au début de l’ère chrétienne[modifier | modifier le code] Le pont-passerelle en 2014.
Beatus de Saint-Sever
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Beatus ou Apocalypsede Saint-Sever Les quatre Cavaliers. Historique[modifier | modifier le code] À une date indéfinie, la « mappa mundi » occupant un double feuillet est extraite du manuscrit. Contenu[modifier | modifier le code] Le manuscrit contient : 12 miniatures occupant une double page ou presque, dont 2 sont tronquées sur leur partie gauche ;34 miniatures en pleine page ;35 peintures de plus petite dimension. La « mappa mundi » contient une représentation du monde connu durant le haut Moyen Âge. Galerie[modifier | modifier le code] Quelques feuillets enluminés Frontispice. Voir aussi[modifier | modifier le code] Bibliographie[modifier | modifier le code] Articles connexes[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code]