Un mini-potager pour balcon-terrasse ou jardin Quelques conseils à suivre - votre balcon ou terrasse doit être exposé quelques heures par jour au soleil pour que vos récoltes soient généreuses, - toujours percer à l'aide d'une perceuse votre contenant si ce n'est déjà pas fait pour faire des trous d'écoulement des eaux de pluie et d'arrosage, - tapisser les contours intérieurs du pot avec un plastique percé au fond en fonction de la matière (bois, zinc, etc.) afin de ne pas le dégrader trop vite, - mettre une couche de graviers ou de billes d'argile au fond pour favoriser le drainage, - pensez à mettre des soucoupes sous les contenants pour éviter d'arroser les passants lors d'arrosages ou de pluies. - en ce qui concerne l'arrosage, faites attention car l'évaporation de l'eau est plus rapide en pot qu'en pleine terre. Dans un bac Achetez un bac à fleurs que vous allez percer dans le fond et tapissez avec un grand morceau de plastique positionné (tout autour et dans le fond). Dans un bac en zinc Entre 4 planches Dans un coin mi-ombragé
10 écogestes insolites pour un potager qui a la patate Extrait de Néoplanète 29 On connaît déjà toutes les astuces classiques pour un jardin respectueux de l’environnement. Mais si on se lâchait un peu, cette année ? Je superpose des couches de morceaux de carton mouillé à des couches de compost sur la surface du potager. Ainsi, adieu la corvée de bêchage au printemps ! Des semences de pommes de terre fragiles à conserver ? On peut attirer les animaux dans son jardin de plusieurs façons, sans acheter des boules de graines ou des abris en kit. Fini les inondations et le gaspillage de l’eau en utilisant un modèle classique, adieu les corvées d’arrosoir et les épaules douloureuses, les jours sans pluie ! … Mais aussi des tomates noires, des carottes à la peau violette…Bref, je m’amuse en jardinant ! Injustement appelées mauvaises herbes, ces plantes sont délicieuses, faciles à cultiver et bénéfiques pour notre santé. Qui a dit qu’il fallait séparer jardin d’agrément et potager ? Article(s) sur le même sujet Les plantes ont du flair
Légumes perpétuels : présentation, intérêt et conseils de culture Economiques et sans histoires, les légumes perpétuels cumulent les avantages des plantes vivaces. Ils restent en place d'une année sur l'autre au potager et assurent des récoltes régulières avec un minimum de soins. Découvrez comment les cultiver, et donnez-leur la place qu'ils méritent ! Des légumes qui durent Les légumes dits « perpétuels » restent en place dans le potager durant plusieurs années, sans que le jardinier n'ait à intervenir (ou presque !). Les plantes vivaces et rustiques, dont le cycle de vie s'étale sur plusieurs années, supportant les rigueurs hivernales comme les chaleurs et sécheresses estivales.Les plantes qui se multiplient par leurs bulbes, tubercules ou semis spontanés. Selon les légumes cultivés, le pied produit pendant 5 à 10 ans. Une culture simplifiée Les légumes perpétuels sont des plantes relativement simples à cultiver. Mais attention, les légumes perpétuels ne sont pas des plantes magiques. Tout d'abord, il faut bien réfléchir à leur emplacement. Tubercules
10 plantes pour trouver le sommeil source : La qualité du sommeil est indispensable pour être en bonne santé. Les petits soucis du quotidien ou de mauvaises habitudes peuvent pourtant le perturber. Dans ce cas, hors de question de céder aux sirènes des somnifères : préférons des solutions naturelles pour nous aider à tomber facilement dans les bras de Morphée. Voici 10 plantes amies pour nous mener tout droit au pays des songes… La valériane La valériane Valeriana officinalis est un classique de la phytothérapie pour bien dormir. CC : westschweden Comment la valériane agit-elle sur la qualité du sommeil ? Elle améliore la digestion, a des effets relaxants et anxiolytiques. La valériane se consomme en tisane, à base de racines séchées, en gélules, en teinture mère ou en granulés. La fleur d’oranger Elle fleure bon la Méditerranée. CC : Guy Moll Comment la fleur d’oranger agit-elle sur la qualité du sommeil ? Ses feuilles et ses précieuses fleurs ont un effet sédatif.
Cuisine sauvage : faites vos courses dans les prés Par Hélène Binet, 21 mai 2013 Tous les goûts sont dans la nature. Pas mal de plantes comestibles aussi. Ce serait dommage de s’en priver. Voici un article/kit de survie. Quatre plantes à cueillir au bord des chemins et à ré-inviter dans l’assiette. La cuisine sauvage, les grands chef adorent. Pour François Couplan qui, depuis 40 ans, se passionne pour les plantes sauvages comestibles, les végétaux offrent aujourd’hui une occasion unique de se reconnecter à la nature. Allez, c’est le printemps. Tout le monde connaît l’ortie (Urtica) pour s’y être frotté, piqué ou pour y avoir jeté mémé. Pourquoi on l’aime – Parce qu’elle pousse partout. – Parce qu’elle détient le record végétal de concentration en protéines et est super riche en vitamines et oligo-éléments. – Parce qu’avec ses fibres, on fait même des vêtements ultra chics. Idées cuisineLa meilleure ortie est celle de printemps, particulièrement tendre. 2- La Mâche sauvage Vous connaissez la mâche de Bretagne ? 4- Le Pissenlit
Cultiver vos fines herbes et fleurs comestibles : une vaste palette à explorer | Association Manger Santé Bio | Donnez-leur un petit coin de balcon ou de terrain : les fines herbes et fleurs comestibles vous le rendront bien ! Faciles à cultiver, elles sont toute désignées pour le jardinier débutant ou le dilettante. Utiles au quotidien, il est toujours pratique de les avoir sous la main. Compactes, elles trouvent leur place sur le plus petit des balcons qu’elles embellissent de vert et de couleurs. Cultiver ses fines herbes et fleurs comestibles, c’est aussi s’assurer qu’elles soient biologiques tout en réduisant ses coûts d’achats et le gaspillage. Sans oublier leur effet répulsif pour les insectes qu’elles éloignent des légumes du jardin. Rayons fines herbes : quelques espèces à découvrir Bien sûr il y a l’incontournable ciboulette, le classique persil et le délicieux basilic. Parmi nos coups de cœur : D’autres basilics. Manger des fleurs ? Plusieurs des fleurs que nous connaissons sont comestibles. Les cultiver soi même, c’est s’assurer qu’elles sont exemptes de produits chimiques.
Transformer des gobelets en plastique en pot à semis à très bas prix Vous avez certainement vous aussi remarqué le prix complètement délirant des pots à semis. Même si j’étais riche je n’en achèterais pas, parce que c’est très clairement de l’argent très mal utilisé, gaspillé. Les graines se fichent totalement de l’aspect des pots dans lesquels elles poussent. Il suffit que ce soit la bonne taille pour l’espèce, que ce soit le bon moment pour planter donc que la température soit bonne, et qu’il y ait de l’humidité. Pas la peine de dépenser une fortune dans des pots en matières biodégradables de très hautes technologies en plastique soit-disant bio, où que les feignants peuvent mettre en terre sans dépoter, ou des godets super décoratifs hors de prix… La vérité, c’est ça : Des boites de croissants, de gâteaux, des barquettes de fruits et légumes, des barquettes de viande... Les graines poussent dans n’importe quoi, quand c’est la bonne saison. Semis de courgettes dans une barquette de viande hachée sauvée quelques mois de la poubelle Que des avantages, donc.
Bien marier les légumes entre eux Comme les êtres humains, les légumes ont des sympathies et des antipathies. Certaines familles se stimulent ou se protègent. D’autres s’épuisent et se fragilisent. La mise en place des légumes au potager ne se fait pas comme ça et certaines règles s’imposent pour ne pas associer des légumes qui pourraient se gêner. Au contraire, certains légumes ont l’art de se stimuler. À lire aussi : Les grandes familles de légumes Au potager, il existe plusieurs familles de légumes, les principales étant : les solanacées : aubergine, piment, poivron, tomate, pomme de terre, etc, les ombellifères : carotte, céleri, cerfeuil, fenouil, persil, etc, les crucifères : chou, cresson, navet, radis, raifort, etc, les légumineuses : fève, haricot, lentille, pois, etc) et les liliacées : ail, asperge, échalote, oignon, poireau, etc. Certaines familles cohabitent sans problème tandis que d’autres ne se supportent pas. Les familles qui s’entendent bien : les ombellifères, les crucifères et les légumineuses.