background preloader

Internet nous rend-il seul ? Non !

Internet nous rend-il seul ? Non !
« Nous vivons dans un isolement qui aurait été inimaginable pour nos ancêtres, et pourtant nous n’avons jamais été plus accessibles » via les technologies de la communication et les médias sociaux, estime l’écrivain Stephen Marche pour The Atlantic. La montée de la solitude ? Selon lui, nos médias sociaux interfèrent avec nos amitiés réelles. Image : Rittenhouse Square (Philadelphie), photographié par Oren Livio pour La vie sociale d’un espace urbain connecté (.pdf). 25 % des gens observés avec leurs machines dans le parc ne l’avaient jamais visité avant que l’internet n’y soit disponible. Mais si nous sommes seuls, c’est aussi parce que nous voulons être seuls. Facebook nous isole-t-il ? Reste à savoir si l’internet rend les gens solitaires ou si les gens solitaires sont attirés par l’internet… Moira Burke (@grammarnerd) de l’Institut d’interaction Homme-Machine de l’université Carnegie Mellon est en train de réaliser une étude longitudinale sur 1200 utilisateurs de Facebook.

La religion expose plus que le porno aux virus informatiques Visiter les sites internet liés à la religion fait courir plus de risque d'attraper un virus informatique que le vagabondage sur des sites érotiques ou pornographiques, selon une étude publiée mardi par la société de sécurité informatique Symantec. Les sites à thématiques religieuses ou idéologiques ont trois fois plus de chance d'être infectés avec des lignes de codes introduites par des pirates que les sites "pour adultes", selon Symantec. "Il est intéressant de voir que les sites hébergeant des contenus pour adultes ou pornographiques ne se classent pas dans le top 5, mais au 10e rang" des destinations dangereuses sur internet, souligne Symantec. "Nous supposons que c'est parce que les propriétaires de sites porno gagnent leur argent sur internet et ont un intérêt direct à ce que leurs sites restent dénués de programmes malveillants, ce n'est pas bon pour faire revenir les clients", ajoute la société.

Utilisation d'Internet et relations sociales 1Comme le point de départ de cette recherche est la polarisation des discours sur l'Internet, nous avons d'abord essayé de dégager, des multiples opinions émises, de quelques résultats d'enquêtes les principaux enjeux de l'effet du réseau des réseaux sur le social. Le discours pessimiste 2Le discours pessimiste insiste sur le fait que les technologies de la communication sont à la source d'une idéologie centrale qui conduit à la désinformation des citoyens et qui est, de surcroît, « probablement devenue la grande superstition de notre temps » (Ramonet, 1997 : 7). Ce discours parle aussi d'un antihumanisme de la révolution technologique : on s'interroge sur l'avenir de la vie humaine dans un environnement où le progrès technologique tend vers le développement des machines « intelligentes » (Breton, 2000 ; Joy, 2000 ; Jonas, 1990). 3Les auteurs critiques dénoncent vigoureusement les effets négatifs des technologies de l'information et de la communication (TIC) sur le lien social.

Les «digital detox» sont de plus en plus difficiles à respecter Chaque année, le journaliste Jessi Hempel du magazine le plus connecté qui soit, Wired, se déconnecte durant un mois de tous les réseaux sociaux. Il a commencé en 2012, se rappelle le journaliste, à l’époque où beaucoup commençaient à évoquer les «digital detox» et autres diètes de Facebook. Il choisit le mois d'août pour des raisons professionnelles évidentes. Ce n’est pas pour éradiquer les réseaux sociaux de son quotidien que le journaliste s’astreint à sa diète annuelle, mais pour observer à quel point ils s’imposent dans nos existences. Et cette présence n’a fait que s’accroître en trois ans. «Les réseaux sociaux ont gagné» C'est lors d'un voyage à l'étranger qu'il a fini par craquer avant la fin du mois: pour rester en contact avec sa famille, il a ouvert Google Hangouts pour chatter en vidéo, envoyer des photos et donner de ses nouvelles: «les réseaux sociaux avaient gagné». Début août, un article du site Market Watch se penchait sur la tendance à la détox numérique.

Un mobinaute sur deux voudrait pouvoir payer en magasin avec son mobile Selon CSA, les technologies de paiement en magasin via mobile intéressent surtout les mobinautes. Alors que les technologies de paiement sans contact sont encore en phase d'expérimentation en France, notamment à Nice, la direction des solutions digitales de l'institut CSA s'est interrogée sur le profil des early adopters et sur les facteurs qui pourraient faire décoller ce mode de paiement dans l'hexagone. Peu connu il y a quelques années, le paiement sans contact "commence à faire parler de lui", indique CSA. 67% des possesseurs de smartphone ont déjà entendu parler du paiement sans contact et des technologies NFC qui lui sont associées. Selon CSA, la simple possession d'un appareil compatible NFC ne suffira pas à déclencher les usages. L'étude a été réalisée sur Internet du 10 au 13 janvier 2012 auprès d'un échantillon de 1 624 personnes représentatives des possesseurs de smartphone, âgés de 18 ans et plus. En savoir plus sur Offremedia.com

L'humain augmenté est-il un être diminué ? (Bienvenue dans le monde des rats) Les inventions modernes sont toujours étonnantes : des chercheurs français viennent de mettre au point un dispositif appelé « Flyviz » qui permet un élargissement du champ de vision à 360 ° grâce à un casque supportant une caméra dirigée vers un miroir hémisphérique. Cette vision panoramique qui permet de voir simultanément devant et derrière comme les mouches aura sûrement des applications pour les militaires ou la vidéo surveillance, même si l’on se surprend à penser que cela évoluera peut-être un jour vers une machine à explorer le temps qui permettrait d’embrasser d’un simple regard le passé comme le futur. D’autres inventions permettent déjà aux aveugles de voir, aux sourds d’entendre, et aux handicapés de marcher ce qui est quasiment la réalisation concrète d’une prophétie biblique (Ésaïe : chapitre 29, verset 18). Télé, bagnole et autres prothèses du sujet moderne D’ailleurs chacun peut à présent constater que ces « automates intelligents » (?) 2 Jean-J.

La solitude collectiviste de l'Internet On écrit «électricité «mais «Internet». L'honneur de la majuscule fréquemment accordé au réseau international est symptomatique du culte qui l'entoure. Les métaphores ronflantes qui servent à nommer cet univers (du» cybermonde» au» monde virtuel»), ainsi que les expressions routinières (comme l'inévitable «société de l'information») disent bien que nous avons affaire à tout autre chose qu'un simple outil. La vénération qu'il inspire va jusqu'à l'abus de langage. On baptise «nouvelles technologies» les nouvelles techniques. C'est dire si l'entreprise de Philippe Breton est digne d'intérêt. L'auteur prend soin de se démarquer des «technophobes». Breton est sensiblement moins convaincant lorsqu'il tente de décrire les connexions avec d'anciennes croyances de cette nouvelle religion non déiste. La force du culte de l'Internet tient sans doute plutôt à son adaptation à des croyances extrêmement actuelles. Encore ne peut-on oublier celui d'un repli sur soi. L'heure serait donc grave.

MarketingScan lance “Marketing Mix Evaluator” MarketingScan lance l'outil de mesure “Marketing Mix Evaluator” (MME) pour évaluer et optimiser le ROI des campagnes cross media. Développé par le groupe GfK depuis 2008 dans le cadre du Media Efficiency Panel, avec une base d’expérience solide et plus de 100 études menées, le modèle MME est désormais disponible en France et s’appuie sur les données Single Source MarketingScan. Le Single Source média MarketingScan est aujourd’hui le seul dispositif qui permet de mesurer, pour un même et unique foyer, ses achats réels en GMS, compte tenu de son exposition réelle aux différents médias et des stimuli magasins (assortiment, prix, promotion…). Basé sur les achats d’un panel de consommateurs, représentatif des ménages français, le modèle MME distingue donc bien l’impact de chaque levier :

Réseaux sociaux : de nouveaux dangers pour nos enfants ? Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Olivier Dumons L'intégralité du débat avec Jacques Henno, auteur du livre Les 90 Questions que tous les parents se posent. Ganon : Pourquoi considérez-vous que ces réseaux puissent être un danger ? Bonjour. lebaro : Pourriez-vous lister les dangers que représentent les réseaux sociaux pour les enfants ? Premier danger : être victime d'un prédateur sexuel.Deuxième danger : le harcèlement de la part d'autres enfants. Le premier danger est réel, mais ne doit pas être exagéré. Le harcèlement : les réseaux sociaux permettent d'échanger des messages. Le vol d'identité : ce phénomène comporte plusieurs degrés. Y passer trop de temps : comme tout outil interactif (le surf, les jeux vidéo...), les réseaux sociaux sont extrêmement chronophages. Comment se protéger ? La pédophilie : les réseaux sociaux du type Facebook permettent de préciser les règles de confidentialité de son profil. Oui, pourquoi pas ? Oui, mais on ne sait pas dans quelle proportion.

Réseaux sociaux : les images sont-elles plus fortes que les mots En 2015, le géant des réseaux sociaux Facebook affiche un nombre d’utilisateurs en France de 26 millions d’individus. A ses côtés, l’application Instagram (acquise en 2012 par Mark Zuckerberg) comptabilise, quant à elle, 5 millions de visiteurs actifs par mois. Le succès de cet outil de partage de photos a été fulgurant. Le pouvoir « social » de la photo Dans son ouvrage Sociologie des réseaux sociaux, le sociologue Pierre Mercklé posait la question en 2010 : « Internet enraye-t-il ou accélère-t-il le déclin de la sociabilité ? Quand « la vie de tous les jours » s’invite sur Instagram ! Instagram et la mise en scène de la féminité esthétique Mais quelles sont les personnalités les plus suivies sur cette plateforme ? Instagram : le réseau social de « l’envie » Instagram, un eldorado pour les marques Marion Braizaz Laisser un commentaire

Est-ce que liker, c'est s'engager ? Porte d'entrée du Web social avec 24,5 millions de membres en France (soit 61% de pénétration chez les internautes), Facebook n'en finit pas d'interroger les responsables des marques et leurs agences, tant il est vrai que, cette plateforme étant avant tout un réseau de relations interpersonnelles, la question posée est bien celle de la place des marques et leur intégration dans ce nouvel écosystème. Comment les membres de Facebook interagissent avec les marques au sein du réseau est l'interrogation récurrente du moment. C'est aussi l'objet de l'étude «Je te like, moi non plus» réalisée par Aegis Media Solutions pour l'agence digitale Isobar en novembre 2011 (questionnaire en ligne auprès d'un échantillon de 1 396 personnes âgées de 15 à 59 ans) et présentée en exclusivité à Stratégies. L'intitulé lui-même révèle la complexité d'une relation à inventer. Combien de ces fans sont vraiment actifs?

Related: