Au début était le sociocognitif J’enseigne dans une UE d’initiation à la psychologie cognitive. L’UE, en FOAD, rassemble des étudiants de métropole et d’outre-mer qui, a priori, ne se connaissent pas et ne se rencontreront peut-être physiquement jamais. J’ai donc mis en place un dispositif qui encourage les interactions pour combattre l’isolement et la solitude dans l’effort. Ce dispositif recourt largement aux outils technologiques d’accès à l’information numérique et aux données censées être discutées et appropriées. La première étape a été celle de faire agréger collectivement des pages web à propos du terme « sociocognitif ». Son usage est courant dans les milieux professionnels de la formation et de l’analyse du travail qui concernent une grande partie des étudiants de cette UE. Quand des étudiants, a priori débutants sur les questions fondamentales de la psychologie cognitive, sont amenés à agréger des données sur le web et à définir le terme « sociocognitif », ils débouchent sur deux directions principales.
Fondements sociaux de la pensée et de l'action chez Bandura Bandura base sa théorie sur la notion d’interaction. « Selon cette conception transactionnelle du soi et de la société, les facteurs personnels internes – sous forme d’événements cognitifs, émotionnels et biologiques –, les comportements et l’environnement opèrent tous comme des facteurs en interaction qui s’influencent réciproquement » (Énoncé 1) (Bandura, 2003, p. 16). Le principe est posé que l’environnement (social en particulier) influence la personne, qu’il est susceptible d’affecter ses représentations et croyances. Par exemple, l’observation d’un modèle peut avoir une incidence sur l’autoévaluation de ses propres capacités. Malgré ces exemples qu’il nous livre, Bandura est peu enclin à envisager que les processus d’auto-efficacité soient eux-mêmes soumis aux contingences sociales et culturelles. On est en droit de penser que ces effets de l’environnement sont plus ou moins durables même quand l’individu n’est plus exposé à cet environnement.
fiche-bibliographie.pdf (Objet application/pdf) Théories socio-cognitives de l’apprentissage*** Accueil > Dossiers et articles > Théories socio-cognitives de l’apprentissage*** Par Martine Jaudeau | maj@cursus.edu Didactique Créé le mardi 28 novembre 2006 | Mise à jour le vendredi 12 décembre 2008 Téléformation & Savoirs, dans sa section "Paroles d’Expert" en ligne propose une intéressante vidéo sur les Théories socio-cognitives de l’apprentissage. Résumé du document : Après avoir rappelé les processus de filiation/rupture qui ont marqué l’histoire de la psychologie scientifique de l’apprentissage, on présente la théorie socio-cognitive d’Albert Bandura ainsi que ses prolongements les plus récents. Au sommaire : IntroductionL’apprentissage répondantL’apprentissage opérantLe cognitivismeLa théorie socio-cognitive d’Albert BanduraLe sentiment d’efficacité personnelleA la suite de BanduraLes attributions causalesLes représentations de l’intelligencePistes pour la pédagogie Visionner Daniel Chartier : Théories socio-cognitives de l’apprentissage (rubrique Paroles d’expert) 1h 22 minutes.
Kant a-t-il inventé les sciences cognitives ? La référence à Emmanuel Kant revient régulièrement dans les sciences cognitives contemporaines. Filiation réelle ou coquetterie rhétorique ? Les sciences cognitives sont-elles kantiennes ? Voici une question qui ne devrait pas préoccuper outre mesure le citoyen ordinaire. Pourtant, elle devrait être considérée comme de la plus haute importance par ceux qui se préoccupent du fonctionnement de l’esprit humain. Rappelons que dans sa Critique de la raison pure, Emmanuel Kant propose une théorie de la connaissance qui considère que notre esprit observe le monde à travers des catégories mentales préexistantes.
Carol Dweck Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Carol S. Dweck (née le 17 octobre 1946) est professeur de psychologie sociale à l'Université Stanford[1]. Elle a obtenu son diplôme universitaire au Barnard College en 1967 et son doctorat à l'Université Yale en 1972. Elle a enseigné à l'Université Columbia, l'Université Harvard et l'Université de l'Illinois avant de rejoindre le personnel académique de Stanford en 2004. Contributions[modifier | modifier le code] Les intérêts de recherche principaux de Carol Dweck concernent la motivation[2],[3],[4], la personnalité, et le développement. Sa principale contribution à la psychologie sociale réside dans les théories implicites de l'intelligence. C'est important car (1) les individus avec une théorie "de développement" sont plus susceptibles de continuer à travailler dur en dépit des revers et (2) les théories de l'intelligence des individus peuvent être affectées par des indices environnementaux subtils. (fr) Dweck, C.
Wikipédia, l'encyclopédie libre LE SOCIO 1- Généralités Les recherches sur ce thème sont issues en partie d’un courant assez récent de la psychologie : la psychologique sociale génétique. Ce domaine de recherche a démarré en 1974 avec le 1 e rapport interne sur la sociogénèse des structures cognitives de W. Les axes de ces recherches sont : · le rôle des significations et interactions sociales dans la communication ; · l’étude de la pensée naturelle dans les contextes institutionnels familiaux et scolaires ; · dégager les mécanismes centraux par lesquels le social est générateur de progrès dans le développement cognitif individuel ; · adopter un nouveau point de vue : le social n’est plus source de développement mais mécanisme même des constructions cognitives individuelles : introduction de la dimension sociale dans une perspective constructiviste pour sortir de l’impasse Piagétienne de l’individualisme épistémologique (tendance à considérer l’environnement comme non-social) . Deux concepts-clés accompagnent cette démarche : 2.