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Le moi, le soi, l'ego, le faux self et s'éveiller à soi-même

Le moi, le soi, l'ego, le faux self et s'éveiller à soi-même

L’illusion de l’ego Dés ma première rencontre avec des sages de la tradition du Bouddhisme tibétain, j’ai été frappé par le fait qu’ils manifestaient d’une part une grande force intérieure, une bienveillance sans faille et une sagesse à toute épreuve, et d’autre part une complète absence du sentiment de l’importance de soi. J’ai moi-même observé à quel point l’identification à un « moi » qui siégerait au cœur de mon être est une source de vulnérabilité constante, et que la liberté intérieure qui naît d’un amenuisement de cette identification est une source de plénitude et de confiance sans égale. Comprendre la nature de l’ego et son mode de fonctionnement est donc d’une importance vitale si l’on souhaite se libérer des causes intérieures du mal-être et de la souffrance. L’idée de se dégager de l’emprise de l’ego peut nous laisser perplexe, sans doute parce que nous touchons à ce que nous croyons être notre identité fondamentale. Une confiance en soi digne de ce nom est tout autre.

Sur l’autonomie du Moi Sur l’autonomie du Moi. Ici il faut être attentif. Avec cette notion d'une sphère du moi libre de conflit, on est au cœur de ce qui a été reproché à Heinz Hartmann,. On a feint d’entendre que Hartmann défendait par là l’idée que le moi puisse se mettre à l’abri dans quelque territoire fermé (et drainé de ses flux, pour reprendre l’image du Zuiderzee). Hartmann est pourtant assez clair. Il affirme simplement que ‘«’ ‘ toute explication avec le monde, tout processus d'apprentissage de maturation, ne constitue ’ ‘pas nécessairement ’ ‘un conflit ’». Il croit s’être ainsi prémuni contre toute mésinterprétation. L'objectif de Heinz Hartmann n'est pas de faire échapper à la compétence psychanalytique toute une partie de l'appareil psychique, la sphère du moi libre de conflits, mais au contraire d’intégrer les apports divers des psychologues du développement dans la réflexion des psychanalystes.

Énigmes du moi Christine Février : cours sur le thème « Énigmes du moi ». Ce cours a été mis en ligne progressivement, entre le 6 septembre 2008 et le 18 janvier 2009 (achèvement par le chapitre IV). © : Christine Février. Ce texte est le plan d'un cours de Philosophie fait en classes préparatoires au lycée Chateaubriand de Rennes. Il peut faire l'objet seulement d'un usage personnel : aucune reproduction n'en est permise, sous quelque forme que ce soit. Christine Février est professeur de Philosophie en Classes Préparatoires Économiques et Commerciales et en Classes Préparatoires Scientifiques au lycée Chateaubriand de Rennes. Prépas scientifiques 2008-2009 Épreuve de français et de philosophie « Énigmes du moi » Confessions de saint Augustin, livre X, édition GF Lorenzaccio d'Alfred de Musset, édition GF L'Âge d'homme de Michel Leiris, édition Folio Plan du cours de Mme Christine Février - Lycée Chateaubriand à Rennes I - Élucidation des termes composant l'intitulé du thème 2.1.3 - Autrui est un moi comme moi.

Self-psychology Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Self. La self-psychology ou psychologie du soi étudie les troubles mentaux selon le paradigme métapsychologique. Cette branche de la psychanalyse est indissociable des pathologies narcissiques. Histoire[modifier | modifier le code] La self-psychology est à la croisée des chemins. L'Angleterre et l'Amérique connurent d'abord l'ego-psychology, ou psychologie du moi, branche de la psychanalyse s'intéressant à la conscience, et attentive à toutes les fonctions du moi que Sigmund Freud décrivit dans sa seconde topique. Heinz Hartmann commence à utiliser le terme de self (c'est-à-dire "soi") afin de le différencier de l'instance moïque, et désignant alors la personne propre. Mais aux E.U., Heinz Kohut utilise l'expression pour étudier les pathologies narcissiques, qu'il trouve dominées par un soi grandiose. À partir des années 60, se dessine donc le paradigme d'une self-psychology. Associations professionnelles Autres

Qui est cet ego dont on parle tant? Qui est cet ego dont on parle tant, mais qu’on ne peut voir ni toucher? Existe-t-il vraiment? Il me fait penser aux petits rongeurs qui entrent sournoisement dans nos maisons, qu’on ne voit pas, mais qui laissent leurs excréments dans le bas des armoires. L’ego agit de cette façon : c’est par les traces destructrices qu’il laisse dans notre vie qu’on peut attester de sa réalité. Quelques définitions provenant de diverses sources Avant de poursuivre, jetons un coup d’œil sur quelques définitions provenant de diverses sources. Sujet conscient et pensant Le moi B) WIKIPEDIA – description générale L’ego est un substantif tiré du pronom personnel grec (eyo) – le JE-MOI. L’ego serait l’équivalent psychologique de la conscience au sens philosophique. L’ego en tant que concept psychanalytique, cette notion est au cœur de l’ego. L’ego serait une représentation fausse qu’un individu se ferait de lui-même et ferait écran à sa vraie nature. L’ego est une réaction affective à notre champ d’expérience.

PSYCHOLOGIE DU MOI Expression qui définit une théorie générale de la personnalité, édifiée à partir des données de la psychanalyse, par un groupe de psychanalystes d'origine viennoise émigrés aux États-Unis, notamment Heinz Hartmann (1894-1970), Ernst Kris (1900-1957), Rudolf Loewenstein. Cette théorie prend appui sur la distinction qui, proposée par Freud au début des années 1920 pour rendre compte des conflits intrapsychiques, oppose au ça, système inconscient des exigences pulsionnelles, et au surmoi, système des exigences normatives également inconscientes, le moi, système de choix et de rejet par lequel le sujet se reconnaît comme une individualité cohérente et autonome, ayant pour double tâche de s'adapter aux exigences de la réalité extérieure et de maîtriser les conflits internes. La « psychologie du moi » (ou Ego Psychology) tend à généraliser cette distinction. Daniel WIDLÖCHER

le saint graal - Trouver le Saint Graal ??? Bonjour à tous Cette histoire du roi Arthur (dont je laisse un extrait en jaune ci-dessous suivi de ce que cela évoque pour moi), de Perceval et de Merlin n’a pas, bien sûr, de validité historique reconnue mais reste initiatique et propre à nous faire percevoir les différents rouages de notre être, de notre conscience, et ainsi contribuer à nous éveiller… (Extrait copier sur le site suivant, cliquer ICI) Nous sommes en ces temps très anciens où les chevaliers héroïques qui composaient la cour du Roi Arthur parcouraient le monde en quête d’aventures extraordinaires.L’histoire qui suit est un des épisodes de la vie du jeune chevalier Perceval, jeune homme bien élevé par sa mère, qu’il a quittée pour devenir chevalier à la cour du Roi Arthur. Au hasard d’un détour du chemin, Perceval aperçoit un homme en train de pêcher dans une rivière asséchée. Il s’approche de l’homme, qui lui explique être le Roi du pays. Evidemment, Perceval est bouleversé par ce qu’il vient d’entendre.

Ego-psychology Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'Ego-psychology ou la psychologie du moi est un concept qui a été introduit pour la première fois par Heinz Hartmann en 1937, dans un exposé à la Société psychanalytique de Vienne. Ce concept fait l'objet d'un important conflit au sein des psychanalystes. Ses idées furent très vite adoptées aux États-Unis alors qu'il faut attendre les années 1950 pour qu'elles trouvent un écho en Europe. Selon ses partisans[modifier | modifier le code] On trouve une traduction de l'ouvrage de Heinz Hartmann sous le titre La psychologie du Moi et le problème de l'adaptation. En dehors de Hartmann, Ernst Kris et Rudolph Loewenstein sont connus pour avoir contribué à l'édification de l'ego-psychology. Selon ses adversaires[modifier | modifier le code] En France, dès les années 1950 de nombreux psychanalystes se sont opposés à l'ego-psychology. Selon le psychanalyste américain Anton Kris, les trois erreurs de l'ego-psychology sont :

L'ego spirituel Le petit bréviaire de l’egoPublié le 16 janvier 2012 par Le Passeur Beaucoup de questions sont posées. Parmi elles reviennent le plus souvent : « comment savoir si l’on s’éveille ? Comment y parvenir ? Comment savoir où j’en suis ? Comment dépasser tel ou tel obstacle en moi ? Evidemment, le chemin de « l’Essentiel » peut sembler à certains un sentier de haute voltige sinuant à des altitudes inaccessibles. C’est pourquoi je persiste à dire que le nécessaire aujourd’hui pour chacun de ceux qui sont dans ces inquiétudes, la priorité pour s’extraire de ce stress et cheminer enfin sur le chemin de l’Essentiel, c’est plus que jamais d’insister sur l’identification de l’ego derrière chaque attitude et comportement de notre quotidien, derrière chaque habitude, chaque réflexe, chaque mécanisme répétitif, chaque situation apportant un désagrément ou tout simplement de nature involutive. L’égocentrisme ou l’absence à l’autre. L’agressivité. Le besoin de contrôle. La susceptibilité, la vexation.

4 : Les intérêts du Moi (4 ème partie) {*style:<b> Les intérêts du Moi </b>*} Une étude systématique des fonctions du Moi devrait les décrire suivant leurs buts et suivant les moyens qu'elles emploient pour les atteindre; du point de vue de l'énergie, suivant la proximité ou l'éloignement par rapport aux pulsions des énergies avec lesquelles elles opèrent; et aussi suivant le degré de structuration et d'indépendance qu'elles ont atteint. Ici, je veux dire quelques mots seulement d'un groupe spécial de tendances du Moi, discuté par Freud en tant qu' « égoïsme ». A ce moment-là, Freud identifiait les tendances à l'autoconservation avec les « pulsions du Moi », et il appelait «intérêts » les investissements qui en étaient issus, par opposition à la libido des pulsions sexuelles. Parmi les facteurs de motivation, ils apportent une couche qui leur est propre. D'autre part, de nombreux domaines de la science sociale ne peuvent pratiquement pas être approchés par l'analyse tant que l'on néglige cette zone de motivation.

L’Ego spirituel et l’Etreté - Lilaluz Le principe est le même que dans le texte précédent, mais on l’applique à un niveau supérieur de pouvoir. Comme la personnalité s’attache à paraître et s'inventer une identité plus au moins adaptée à l’expression de l’âme, l’âme elle-même peut penser qu’elle est l’Etre et que ses désirs sont inspirés par ses vertus intérieures. Dans ce cas, les caprices de l’âme, ses vanités, ses croyances font obstacle à l’expression des véritables vertus divines. Il est aussi facile de détecter l’égo spirituel que l’orgueil dans la personnalité humaine. C’est la même posture : « moi, je sais mieux que toi », « moi, je vaux mieux que toi » Cette façon de se positionner ne sera jamais celle d’un Etre spirituel accompli puisque l’Etreté conduit à reconnaître l’Esprit Unique et omnipotent en tous les autres êtres, y compris les plus petites particules. L’être humain est une forme intermédiaire particulièrement riche en ressentis, capable d’expérimenter le microcosme et le macrocosme sans changer de forme.

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