Apprentissage et travail collaboratif Dans un rapport récent de l'OCDE, François Taddei revient sur certaines de ses idées et propose un nouveau modèle d'éducation dont les notions de créativité, d’adaptabilité et de collaboration. Le rapport complet n’est disponible que dans sa version anglaise, mais le billet de Bruno Devauchelle comprend une traduction libre de quelques-unes de ses recommandations. Recommandations pour enseignantsEtre disponible pour les enseignants quand ils ont besoin de retour sur leurs idées. Créer des cours dans lesquels ils peuvent développer leur propre projet.
5 solutions en ligne gratuites de tableaux de bord virtuels collaboratifs Outil en ligne libre (sous licence GNU-GPL), Scrumblr est un service Web gratuit qui permet de créer un tableau de bord collaboratif sous la forme d’autocollants à annoter de différentes couleurs. Scrumblr est immédiatement utilisable, sans inscription avec une facilité d’utilisation qui peut recouvrir des prises de note, de la gestion de projet, du remue-méninges (brainstorming), des dispositifs pédagogiques… Les avancées du développement du projet logiciel Scrumblr peuvent être consultées à cette adresse. Comment utiliser Scrumblr Pour créer un tableau collaboratif Scrumblr, il suffit de se rendre à l’adresse de donner nom original à son tableau (par exemple « nomdutableau ») puis de se rendre à l’URL comportant ce nom (par exemple « »). La page collaborative est alors générée automatiquement. La liste des collaborateurs pour un Scrumblr s’affiche en bas de page. Licence : Creative Commons by-nc-saGéographie : International
ateliers_tice Synthèse de cours Donner des réponses à une question Rapports Agendas Compte-rendu de devoirs Répondre aux questions baliser échelonner le travail Quels usages des documents collaboratifs peux-t-on envisager avec les élèves Création en commun Envoyer les données collectées pour une mise en commun Brainstorming
Jeux sérieux gratuits Vous voici devant la plus récente version de notre célèbre Répertoire des Jeux sérieux gratuits. Principales nouveautés : Octobre 2014 : 27 jeux nouveaux ! Les nouveautés se situent dans les catégories suivantes: Pour les tout-petits (+2), Administration - Finances – Marketing (+1), Arts visuels (+2), Biologie – Nature (+2), Entraide - Bénévolat – Citoyenneté (+2), Environnement - Développement durable (+1), Génie – Ingénierie (+2), Histoire - Archéologie -Anthropologie (+3), Informatique – Internet (+3), Musique (+1), Orientation professionnelle (+1), Physique (+2), Politique-Affaires publiques (+2), Psyché (+1), Santé - Hygiène – Prévention (+2). Pour vous éviter de parcourir une très longue liste, nous vous proposons de cliquer ci-dessous sur les sujets qui vous intéressent. Sommaire du répertoire N’hésitez pas à explorer les catégories que vous ne connaissez pas, vous y découvrirez certainement des merveilles ! Bonne découverte, et bons jeux ! Pour les tout-petits (2 nouveautés)
départ Facebook : le message pour protéger ses droits d'auteur ne sert (toujours) à rien Depuis quelques semaines, Facebook avertit ses 1,3 milliard d'utilisateurs : au 1er janvier prochain, le réseau social va faire évoluer ses Conditions générales d'utilisation. Désormais, le géant américain entend collecter les données de paiement de ses utilisateurs en cas d'achat en ligne. Une évolution qui permettrait également de faire du ciblage publicitaire. En réaction, certains utilisateurs postent ce type message : En raison du fait que Facebook a choisi d’impliquer un logiciel qui permet l’usage de mes renseignements personnels, je déclare ce qui suit : en réponse aux nouvelles lignes directrices de Facebook et en vertu des articles L.111, 112 et 113 du code de la propriété intellectuelle, je déclare que mes droits sont attachés à toutes mes données personnelles, dessins, peintures, photos, textes écrits, vidéos, musiques, etc. publiées sur mon profil.
La protection des œuvres | Touche pas à mon art. La protection des œuvres Les œuvres appelées également œuvres de l’esprit sont le résultat d’un travail fait à partir de réflexions aboutissant à une action fonctionnelle ou non tel que la musique, les textes, les photographies, les schémas ou bien encore les programmes informatiques, etc… Mais nous allons ici nous intéresser plus particulièrement aux œuvres musicales et cinématographiques. Exemple d’œuvres : Stromae – Papaoutai Cedric Klapisch – Casse-tête Chinois En France, ces œuvres sont protégées par le droit d’auteur. Le droit d’auteur fait référence à tous les droits et les revenus financiers dont les auteurs peuvent bénéficier sur des œuvres de l’esprit originales. Le droit d’auteur se compose du droit moral et des droits patrimoniaux. Droit moral : Le droit moral reconnait la paternité de l’auteur et protège l’intégrité de l’œuvre. Droits patrimoniaux: Les droits patrimoniaux permettent à l’auteur (ou à ses héritiers) d’être rémunérés financièrement pour chaque utilisation de l’œuvre.
Diffuser des contenus réutilisables par d’autres | Internet responsable Page mise à jour le 01 septembre 2011 Divulguer des créations sur Internet qui peuvent être facilement réutilisées par les internautes. Être informé sur les différentes licences, leur mise en place et les enjeux de la mise à disposition ouverte des œuvres. Présentation Une licence fixe un cadre légal à l’utilisation d’une production, d’un contenu. Grâce à elle, l’auteur peut définir précisément les conditions d’utilisation de son œuvre. Parmi les licences citées, certaines sont mieux adaptées à certains types d’œuvres ou de supports. Elles présentent, par ailleurs, l’avantage d’une certaine souplesse dans les droits concédés, alliée à une grande simplicité de mise en œuvre. Témoignage Julie, 31 ans : « Je suis professeur dans un établissement du secondaire et j’ai mené un travail de création de livre numérique avec mes classes. Conseils Une licence permet de donner un cadre légal à l’utilisation d’une œuvre. En droit français, la paternité est un droit d’ordre public.
Les CNIL européennes souhaitent que le droit à l'oubli s'applique sur Google.com Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Morgane Tual Le droit à l'oubli ne doit plus seulement concerner les déclinaisons nationales de Google, a estimé le groupe de travail « Article 29 », qui regroupe les différentes autorités européennes chargées de la protection des données, comme la CNIL. Chargé d'établir un document précisant la façon dont les moteurs de recherche doivent appliquer le droit à l'oubli, le groupe s'est réuni mercredi 26 novembre à Bruxelles. A l'issue de cette réunion, il a adopté une nouvelle ligne directrice, donnant une interprétation plus large à cette règle. « Article 29 » explique ainsi sa décision : « Limiter le retrait de ces liens aux domaines européens, en partant du principe que les utilisateurs tendent à utiliser les moteurs de recherche sur leurs domaines nationaux ne peut pas être considéré comme un moyen suffisant de garantir de façon satisfaisante les droits relatifs aux données individuelles. » Hostilité grandissante de Bruxelles
LA PROTECTION DES DONNEES MEDICALES L''avènement du web dit 3.0 laisse place à un constat évident : la quasi-totalité des objets dispose aujourd''hui d''une connexion à l''Internet. Dans cette ère du tout connecté où les flux sont incessants, une catégorie de données reste cependant sujette à une attention particulière : les données dites personnelles, regroupant en leur sein les données médicales. Avant toute chose, il apparait plus aisé de définir plus précisément ce que l''on entend par une donnée médicale. Dans un premier temps, cette dernière n''est pas nécessairement informatique : une donnée peut en effet être archivée sous la forme d''un écrit. Il en va ainsi des certificats médicaux ou des ordonnances. Or l''évolution fulgurante des technologies informatiques peut constituer un danger pour la protection des données de santé. La France est pionnière en la matière puisqu''elle dispose de ce fait d''un régime juridique protégeant l''ensemble des données personnelles. I. A. B. II. A. B. Sources :
HADOPI impose aux FAI d'offrir une copie des enregistrements TV Comment bénéficier en pratique de l'exception pour copie privée permise par le code de la propriété intellectuelle, lorsque les fournisseurs d'accès à internet ou les distributeurs de TV par satellite enferment les enregistrements TV dans les magnétoscopes numériques qu'ils intègrent à leurs box ? La question est ancienne, mais il aura fallu attendre que le législateur crée l'Hadopi et lui confie des pouvoirs de régulation des DRM pour avoir enfin une réponse. La Haute Autorité a en effet publié ce mercredi un avis du 11 septembre 2014 (.pdf), très clairement argumenté, qui répond aux saisines de deux téléspectateurs qui se plaignaient de ne pas pouvoir bénéficier pleinement de l'exception pour copie privée, en raison des DRM propriétaires imposés sur les fichiers des enregistrements vidéo, et/ou du fait que les fichiers n'étaient pas importables vers d'autres appareils. Fournir des copies n'assurant pas l'interopérabilité, mais presque