Hannah Arendt
Signature Hannah Arendt, née Johanna Arendt[1] le 14 octobre 1906 à Hanovre et morte le 4 décembre 1975 dans l'Upper West Side (New York), est une politologue, philosophe et journaliste allemande naturalisée américaine, connue pour ses travaux sur l’activité politique, le totalitarisme, la modernité et la philosophie de l'histoire. Elle soulignait toutefois que sa vocation n'était pas la philosophie mais la théorie politique (« Mein Beruf ist politische Theorie »)[2]. Ses ouvrages sur le phénomène totalitaire sont étudiés dans le monde entier et sa pensée politique et philosophique occupe une place importante dans la réflexion contemporaine. Biographie[modifier | modifier le code] Vie et études en Allemagne[modifier | modifier le code] Hannah Arendt naît à Hanovre en 1906. Sa rencontre avec Martin Heidegger en 1925 est un événement majeur de sa vie, tant sur les plans intellectuel que sentimental. Fuite hors d'Allemagne et exil aux États-Unis[modifier | modifier le code] Selon Yakov M.
Jean-Paul Chagnollaud
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Jean-Paul Chagnollaud est professeur des universités de science politique, spécialiste des relations internationales, directeur de l'iReMMO et de la revue Confluences Méditerranée. Formation[modifier | modifier le code] Diplômé de l'Institut d'études politiques de Paris, il a soutenu une thèse de doctorat en science politique intitulée Le Maghreb et le conflit israélo-arabe à l'université Paris 1 en 1975[1]. Celle-ci a été publiée aux éditions Sindbad en 1977 sous le titre Maghreb et Palestine[2]. Carrière universitaire[modifier | modifier le code] Jean-Paul Chagnollaud est professeur des universités de science politique, il a notamment enseigné les relations internationales à l'université de Nancy et à l'université de Cergy-Pontoise. Il a été doyen de la faculté de droit et de sciences économiques de Nancy[3] et de la faculté de droit de l'université de Cergy-Pontoise[4]. Activités éditoriales[modifier | modifier le code]
David Ben Gourion
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. David Ben Gourion (en hébreu : דוד בן-גוריון et en arabe : دافيد بن غوريون), à l'origine David Grün, né le 16 octobre 1886 à Płońsk (actuelle Pologne, à l'époque dans l’Empire russe), mort le 1er décembre 1973 à Sde Boker (Israël), est un homme politique sioniste, fondateur de l'État d'Israël, dont il est Premier ministre de 1948 à 1953 et de 1955 à 1963. Les mots hébreux Ben Gourion signifient « Fils du Lion ». Biographie[modifier | modifier le code] Jeunesse[modifier | modifier le code] À l'époque de sa naissance, Płońsk se trouve dans la partie de la Pologne (Royaume de Pologne ou Royaume du Congrès) relevant de l'Empire russe. Il est issu d'une famille juive sioniste. À 17 ans, durant ses années à l'université de Varsovie, il rejoint l'association Poale sion, qui par la suite devient un parti sioniste d'orientation marxiste. Vie en Palestine ottomane (1906-1915)[modifier | modifier le code] Développement économique du pays.
Jean-Claude Lefort
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Lefort. Biographie[modifier | modifier le code] Membre du bureau national du Mouvement Jeunes Communistes de France et, depuis 1964, du Parti communiste français, il est de 1971 à 1979 le secrétaire particulier de Georges Marchais, secrétaire général du parti. Il devient en 1983 le secrétaire de la Fédération du Val-de-marne du Parti communiste qui compte à l'époque 30 000 adhérents. Il est élu député de la 10e circonscription du Val-de-Marne de 1988 à 2007. Membre de la Commission des Affaires étrangères pendant 3 législatures, il proposa en 1998 la création d'une "Commission d'enquête sur la part des responsabilités françaises dans le génocide perpétré au Rwanda"[1]. Vice-président de ce qui fut finalement la Mission d'information parlementaire sur le Rwanda, il se trouva en désaccord avec les conclusions finales du rapport de la Mission et refusa d'en être coauteur[2]. Mandats[modifier | modifier le code]