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Responsable du site : Audrey Laplante, professeure adjointe École de bibliothéconomie et des sciences de l'information (EBSI), Université de MontréalConception et réalisation originale : Hélène Guertin et al.MBSI, professeure, Collège de Maisonneuve (1974-2002)avec la collaboration de Paulette Bernhard, professeure honoraire, École de bibliothéconomie et des sciences de l'information (EBSI), Université de Montréal. Tous droits réservés © 1996-2011 Hélène Guertin et al. | Documents consultésAvertissement : Les textes sur ce site présentent les idées des auteurs et en aucun cas une position officielle de l'école ou de l'université. L'utilisation du genre masculin a été adoptée afin de faciliter la lecture et n'a aucune intention discriminatoire. Form@net : Scénarios pour développer les compétences informationnelles (Québec / France)
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E-réputation : méthodologie de la veille
E-réputation : méthodologie de la veille (c) ill. : Synthesio Sur les 2,1 milliards de personnes dans le monde qui se sont connectées régulièrement à Internet en 2011, deux tiers ont utilisé les médias sociaux (Facebook, Twitter, Youtube, Weibo, etc.) pour échanger des expériences, partager un avis sur un service ou demander un conseil aux autres internautes. Cette adoption massive des médias sociaux offre de nouvelles opportunités aux marques. Elles peuvent écouter ce que disent leurs clients, leurs partenaires, leurs collaborateurs, là où ils se trouvent. La veille est donc devenue un outil indispensable dans le cadre d’une stratégie digitale pour connaître les attentes et les besoins de ses consommateurs. Les conseils ci-dessous vous aideront à optimiser votre stratégie de veille afin de réussir sur les médias sociaux. Définissez vos objectifs de veille La mise en place d’outils de veille participe d’une stratégie globale de suivi de son E-réputation. Qui parle de mon sujet ? Et après ?
Liaison lycée université
CRDP d'Aix-Marseille Ce dossier a été réalisé par le CDRP d'Aix-Marseille pour Savoirs CDI. Dans un dossier de l'IFE [1] intitulé « Réussir l'entrée dans l'enseignement supérieur » publié en décembre 2010, il est fait état dans l'introduction de l'importance de l'échec et de l'abandon des étudiants entrés dans l'enseignement supérieur en France comme dans d'autres pays d'ailleurs. Dans l'hexagone, un étudiant sur cinq sort de l'enseignement supérieur non diplômé après y avoir passé trois années. A la même époque ou presque, partant du même constat, une étude sur « l'accès et le formation à la documentation du lycée à l'université [2] » a été réalisée conjointement par l'inspection générale des bibliothèques (IGB) et l'inspection générale de l'éducation nationale (IGEN) faisant ressortir une formation des lycéens dans ce domaine insuffisante, voire erratique et proposant des pistes de travail.
5 idées innovantes pour votre prochain Serious Game
Depuis quelques années, un nombre croissant d’entreprises et d’administrations choisissent le Serious Game comme support de formation ou de communication. Mais les technologies évoluent vite, et il y a toujours de nouvelles idées à explorer, de nouveaux concepts pédagogiques à imaginer ! Profitons de la période estivale pour s’ouvrir l’esprit et faire un peu de prospective sur les 5 innovations que vous pourriez intégrer dans votre futur projet de Serious Game : 1- Les tablettes tactiles : Elles commencent à s’installer dans les entreprises, comme les Smartphones l’ont fait quelques années avant elles. Touch3D par Simlinx 2- La reconnaissance gestuelle : Popularisée par Microsoft avec la Kinect, pour Xbox360 dans un premier temps et désormais sur PC Windows, la reconnaissance gestuelle permet d’interagir avec l’ordinateur simplement grâce à nos gestes. Leap Motion 3- La reconnaissance vocale : Siri par Apple 4- Les objets communicants / connectés : La raquette connectée par Babolat
Créer des infographies en ligne : outils et bonnes pratiques
La visualisation des données offre aux professionnels une manière innovante de communiquer des informations. Éditeurs web et journalistes, services de communication d'entreprise, spécialistes du marketing -et plus généralement les professionnels amenés à faire des présentations publiques- recourent aux infographies pour mettre en valeur l'information, la vulgariser et la contextualiser. Si la création d'infographie est avant tout un métier, elle est aujourd'hui également accessible aux non-initiés. Bonnes pratiques Cerner l'objectif d'une infographie : traduire simplement des données complexes, pour comparer ou mettre en valeur des informations, dégager une tendance/évolution, dresser un bilan, etc. Enfin, penser à s'appuyer sur des outils existants : comme Microsoft Excel, qui permet de générer de manière très soignée une grande variété de diagrammes qui pourront ensuite être intégrés à l'infographie. Les grands types de diagrammes Chronologie Camemberts Graphes à barres comparées Tree maps
Les indispensables pour démarrer votre veille
Bonjour et bienvenue sur Veille et Recherche, le blog qui vous aide à trouver. Si cet article vous plait, n'hésitez pas à vous abonner au flux RSS pour recevoir automatiquement tous les articles du blog. Par ailleurs, Veille et Recherche a également une page Facebook, pour nous y retrouver, rendez vous ici Cet article est le numéro 4 (parmi 7) de la série Débuter une veille Google News : être au courant, simplement Pas grand chose à dire sur ce service que tout le monde connait … Google Alerts : débuter une veille tout simplement Google Alerts permet de suivre toute publication d’article qui contiendrait une certaine série de mots-clefs. Vous précisez donc vos mots clefs les plus pertinents, votre adresse email, et la fréquence d’envoi du mail de récapitulation par Google. C’est un excellent moyen de débuter, et mieux encore, de tester l’efficacité de ces mots-clefs. Google Alerte… Vos premiers pas vers la mise en place de votre veille stratégique Les sites et outils de partage de liens
Des bons usages des Univers Netvibes dans les bibliothèques
S’il y a un service en ligne qui est populaire chez les bibliothécaires, c’est bien Netvibes et plus particulièrement les pages publiques, ou univers qu’il propose, au point que même le blog de Netvibes salue la tendance ! Pour s’en convaincre, il suffit de jeter un œil à la page de Bibliopédia qui propose une looongue liste d’univers Netvibes proposés aussi bien par des bibliothèques municipales que par des BU ou des CDI. Il me semble qu’on peut facilement expliquer ce succès : Les bibliothécaires utilisent en majorité Netvibes comme agrégateur personnel et l’Univers public proposé par l’outil est un « livrable » documentaire facilement accessible, hébergé et gratuit pour proposer des sélections de ressources de manière attractive. Autrement dit, si je fais un Univers Netvibes, je dois savoir pourquoi et pour qui. C’est moche! Pourquoi ça me gêne ? C’est vrai : un univers Netvibes est un exercice difficile car il impose des choix difficiles. Par disciplines ? Comment ? 1. 2. 3. 4. 5. 6.