Femmes solidaires EFIGIES LES NOUVELLES news Olympe et le plafond de verre - blogueuse féministe La honte doit changer de camp ! | Viol : la honte doit changer de camp ! Lutte contre les violences : la semaine en photos-légendes novembre 28, 2010 § Voila, ma semaine se termine… Pour montrer la multitude, et la variété des initiatives, voici donc un petit diaporama légendé de tout ce à quoi j’ai pu assister… pour montrer que tous les modes d’expression, du politique à l’artistique, du militant à l’amical, sont importants pour contribuer à faire changer les choses ! Dimanche soir, Lille. Projection « Sin by Silence », et « Une fille comme moi » Lundi, Paris. Mardi matin. Mardi soir, au Conseil Régional d’Ile-de-France : projection d’ »Encore elles » de Josiane Szymanski et Constance Ryder, organisée par le Centre Hubertine Auclert Mercredi soir : les « Swinging Poule » clôturent, au FIAP, deux mois d’événements pour les 40 ans du mouvement Au FIAP pendant 2 mois, de magnifiques photos historiques et internationales ont été exposées Jeudi soir à la mairie du 3ème, les résidentes du FIT parlent de l’expérience de la réalisation du documentaire : « Une fille comme moi » La salle était comble Un slogan controversé…j’adhère…
C’est quoi une personnalité culturelle ? Aujourd’hui, l’association La Barbe a prévu un rassemblement devant la maison de la radio à 19h, pour célébrer le résultat du magnifique concours relayé sur les ondes de Radio France "l’élection de la personnalité culturelle de l’année". Une élection qui fait couler beaucoup d’encre, et pour cause : sur les 8 sélectionnés pour le prix, pas une femme (et aussi, que des blancs, minimum quadras, vus et revus, toujours les mêmes…). Cherchez la femme.... (©Sandrine Goldschmidt) Sur le site de France Inter, les commentaires sont passionnants à lire. Mais bon. Mais dans un cas, il y avait un "coup de coeur de la rédaction", pour un blog, donc un contenu, fort justement attribué à Olympe en l’occurence. Là, on "élit une personnalité". on est dans le people, le régalien. Je crois que c’est le style de la "démocratie" dans laquelle on vit : depuis 1962, on a décidé qu’on faisait voter pour la "personnalité" qui nous gouverne en devenant Président (je mettrai un E le jour où…). C’est très fort.
Ségolène Royal : «Pas de guerre froide avec Aubry» Une nouvelle trêve entre Aubry et Royal ? Après une semaine d'affrontement à distance entre les deux ténors du PS, Ségolène Royal, candidate déclarée aux primaires socialistes, est venue donner des signes d'apaisement, samedi en début d'après-midi, devant la Convention Egalité réelle, réunie à Paris. Cette étape est la dernière d'une série de quatre conventions - rénovation, nouveau modèle de développement, international - dans la perspective du projet socialiste pour 2012. «Il n'y a ni guerre froide, ni guerre chaude !» Dans la perspective d'une victoire de la gauche en 2012, la première secrétaire a promis que les socialistes mèneraient une politique «juste et ambitieuse». En vue de 2012, le PS se montre uni autour du projet sur "l'égalité réelle" "Il faut que les idées précèdent les ambitions". Dans un discours offensif tenu samedi 11 décembre lors de la convention du Parti socialiste sur l'""égalité réelle", Martine Aubry a voulu donner l'image d'un parti apaisé et concentré sur le travail de fond. C'est autour de "l'égalité réelle" – texte sur l'éducation, le logement, la santé qui avait révélé en novembre de sérieuses divisions en interne – que les socialistes ont fait assaut de courtoisie et de politesse, saluant les uns après les autres le "travail" accompli. Cette convention a également permis à la dirigeante la patronne du PS de réaffirmer son statut de "leader de la gauche", selon l'un de ses proches. "Dans 500 jours aura lieu l'élection présidentielle où nous solliciterons la confiance des Français pour engager le changement", a lancé Mme Aubry devant quelque 700 délégués et militants rassemblés à Paris.
Royal : ''rien ne nous divisera'' Ségolène Royal, candidate aux primaires du PS, arrivant cet après-midi à la Convention Egalité réelle à Paris, a lancé "rien ne nous divisera" avant d'aller s'asseoir au côté de Martine Aubry, première secrétaire. Cette démonstration de cordialité intervient trois jours après des déplacements simultanés en banlieue des deux femmes, largement interprété comme un nouvel épisode de leur rivalité. Pressée de questions sur une "guerre froide" qui l'opposerait à Mme Aubry, Mme Royal a répliqué en riant: "Il n'y a ni guerre froide, ni guerre chaude!" "Sachez bien que nous serons unies et que rien ne nous divisera", a-t-elle affirmé devant une forêt de caméras et micros à l'extérieur de la halle Freyssinet où se tient la Convention. "L'union est en marche et ceux qui comptent sur la division des socialistes en seront pour leurs frais", a-t-elle promis, toujours souriante.