Alya Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour l’article homophone, voir Aaliyah. Alya, Alyah, Aliya ou Aliyah est un mot hébreu (עליה ou עלייה, pluriel alyoth) signifiant littéralement « ascension » ou « élévation spirituelle ». Ce terme désigne l'acte d'immigration en Terre sainte (Eretz Israël, en hébreu) par un Juif. Les immigrants juifs sont ainsi appelés Olim. L'alya religieuse[modifier | modifier le code] Au fil des siècles, il y a eu ponctuellement de petites alyoth, individuelles ou par petits groupes. En 1882, l'alya des Amants de Sion marque le début de l'alya sioniste, à visée politique. L'alya laïque[modifier | modifier le code] À compter de 1881, on voit apparaître une nouvelle immigration : celle de Juifs laïques nationalistes (le terme « sioniste » apparaîtra dans la seconde moitié des années 1880), dont le but est de créer à terme un État pour le peuple juif en Palestine. Les alyas laïques ont plusieurs caractéristiques qui les distinguent des alyas religieuses :
La vision du monde raciste d’Arthur Balfour Par David Cronin, le 18 octobre 2017 Arthur James Balfour sera sans aucun doute porté aux nues par les fervents inconditionnels de l’État d’Israël dans les semaines à venir, pour un bref document qu’il a signé il y a 100 ans. En tant que Secrétaire du Foreign Office britannique en novembre 2017, A. Balfour a déclaré son appui au projet de colonisation sioniste. Avec sa déclaration, la Grande Bretagne devint le sponsor impérial d’un État juif – appelé par euphémisme « un foyer national juif » – qui allait s’établir en Palestine par l’expulsion massive de son peuple autochtone. Dans ce document, la garantie que les droits des Palestiniens seraient protégés s’est avérée nulle et non avenue. En 1919, il affirma que les aspirations sionistes étaient « d’une bien plus grande importance que les désirs et préjugés des 700.000 Arabes qui habitent actuellement cette terre antique ». De 1887 à 1891, Balfour était à la tête de l’administration britannique en Irlande. Des bienfaits de la civilisation ?
Antisionisme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'antisionisme (ou anti-sionisme) désigne historiquement l'opposition au projet sioniste[1] d'établissement d'un foyer national juif en Palestine. À l'époque contemporaine, il couvre plusieurs concepts et peut désigner l'opposition à certaines positions ou politiques de l'État d'Israël ainsi qu'à son extension ; dans sa forme la plus extrême, il peut marquer l'hostilité à son existence-même[2],[3],[4]. Il se manifeste à son origine auprès des populations arabes, particulièrement en Palestine mandataire; au sein de certaines communautés juives ultra-orthodoxes qui rejettent le sionisme socialiste et laïc du Yishouv ; parmi l'administration britannique, particulièrement après la Grande Révolte arabe de 1936-1939. Histoire Avant la création de l'État d'Israël Antisionisme des ultra-orthodoxes juifs Les nouvelles institutions juives essentiellement socialistes et laïques sont alors mal perçues par les Juifs orthodoxes de Palestine. En Europe
L'histoire du Sionisme En août 1897, a lieu à Bâle, le premier congrès sioniste, au cours duquel il proclamera : » Dans cinquante ans, un Etat juif naîtra « . Le 29 novembre 1947, les Nations Unies votaient le partage de la Palestine, ouvrant la voie à cet Etat rêvé par Herzl. Dès son apparition, le mouvement sioniste s’inscrit dans la mission civilisationnelle et coloniale de l’Europe : » Pour l’Europe, nous constituerons là-bas, un morceau de rempart contre l’Asie, nous serions le sentinelle avancée de la civilisation contre la barbarie » (Th. Herzl – » l’Etat juif « ) Ainsi, les objectifs sont clairement exprimés : chasser les Palestiniens et encourager l’immigration juive, dans l’esprit du mythe » une terre sans peuple pour un peuple sans terre « . Les Rothschilds ont toujours été la force derrière le mouvement sioniste. Je vous rappel tout de même l’alliance entre Hitler et le sionisme (Accord de transfert).Hitler lui même financé par Wallstreet et rothschild. A l’origine, deux conceptions opposées
Al-Qaïda Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Al-Qaïda (arabe : القاعدة al-Qā'ida, « la Base ») est un mouvement islamiste fondé par le cheikh Abdullah Yusuf Azzam et son élève Oussama ben Laden en 1987. D'inspiration sunnite fondamentaliste, il prend ses racines dans l'idéologie de Sayyid Qutb et celle de l'activiste kharidjite Abdel Salam Faraj, et considère que les gouvernements « croisés » (occidentaux), avec à leur tête celui des États-Unis, interfèrent dans les affaires intérieures des nations islamiques et ce dans l'intérêt unique des sociétés occidentales. Il recourt au terrorisme pour faire entendre ses revendications. Les actions revendiquées au nom d'Al-Qaïda sont considérées comme des actes terroristes par l'essentiel des États et des observateurs. La plus retentissante opération menée par Al-Qaïda est celle conduite sur le sol américain le 11 septembre 2001. Histoire[modifier | modifier le code] Pour l'ensemble de la communauté internationale, Al-Qaïda existe.
Aux origines de la pensée de M. Nétanyahou, par Dominique Vidal (Le Monde diplomatique, novembre 1996) L’intransigeance de M. Benyamin Nétanyahou a surpris certains. De ce premier ministre mal élu, théoriquement ficelé par la signature de ses prédécesseurs au bas des accords d’Oslo et en principe soumis à la volonté de l’Europe comme des Etats-Unis de voir avancer les négociations, ils attendaient un minimum de réalisme. On a présenté son père, Ben-Zion, comme un professeur d’histoire juive, spécialiste de l’Inquisition en Espagne. Vladimir Jabotinsky se fait connaître durant la première guerre mondiale en créant la Légion juive, qui contribuera — tardivement — à la « libération » de la Palestine par les troupes du général Allenby en 1918. En quoi les révisionnistes s’opposent-ils à la majorité des sionistes, au point de quitter, en août 1935, l’Organisation mondiale, au sein de laquelle ils ont rassemblé jusqu’à 21 % des suffrages ? Un « mur d’acier » contre les Arabes Voilà le fameux « mur d’acier ». Idéologique et politique, le rapprochement se matérialise sur le terrain. M.
Boycott d'Israël Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le boycott d'Israël est une action d'opposition à l'État d'Israël qui consiste à ne pas participer à l'économie ou à la culture soutenant ce dernier. Il est né contre le sionisme avant la création d'Israël, formellement instauré en décembre 1945 par la Ligue arabe, et a pris depuis diverses formes. Histoire[modifier | modifier le code] Le boycott d'Israël commença par le boycott du sionisme, avant même la création de l'État israélien[réf. souhaitée]. Le boycott par la Ligue arabe[modifier | modifier le code] Dès la fin du XIXe siècle, des leaders arabes appelèrent à l'interdiction de la vente de terre aux immigrants juifs et au boycott des biens produits par eux[1]. Mise en œuvre[modifier | modifier le code] En février 1946, la Ligue crée un comité permanent chargé du boycott et installe un bureau central du boycott au Caire. Jusqu'à la fin des années 1970, le boycott fut appliqué et respecté par tous les membres de la Ligue[4].
Michel Warschawski Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Michel Warschawski (Mikado) (né en 1949 à Strasbourg) est un journaliste et militant pacifiste d'extrême gauche israélien, cofondateur et président du Centre d'information alternative de Jérusalem et ancien président de la Ligue Communiste Révolutionnaire Marxiste israélienne. Anti-sioniste, il souhaite le remplacement d'Israël comme État juif par un État binational[1]. Biographie[modifier | modifier le code] Il crée en 1984, le Centre d'information alternative (en) (AIC), qui rassemble plusieurs mouvements pacifistes israéliens et organisations palestiniennes. Michel Warschawski en juillet 2005. Entre septembre 2008 et à la fin du journal. il est chroniqueur dans le journal satirique Siné Hebdo. Il est membre du comité de parrainage du Tribunal Russell sur la Palestine dont les travaux ont commencé le 4 mars 2009. Notes et références[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code] Bibliographie[modifier | modifier le code]
Hamas Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Hamas Logo officiel Le Hamas (en arabe : حماس, « ferveur »), acronyme partiel de harakat al-muqâwama al-'islâmiya (arabe : حركة المقاومة الإسلامية, « Mouvement de résistance islamique »), est un mouvement islamiste constitué d'une branche politique et d'une branche armée, principalement actif à Gaza. Dans le cadre du conflit israélo-palestinien, le Hamas se définit lui-même comme un mouvement trouvant ses principes dans le Coran et se battant au nom de l'islam. Le Hamas est sur la liste officielle des organisations terroristes du Canada[4], des États-Unis d'Amérique[5] et de l'Union européenne[6]. Histoire[modifier | modifier le code] Selon la biographie semi-officielle du Hamas, Truth and existence[15],[16], l'histoire du mouvement s'articule autour de quatre grandes étapes ou périodes : L'abréviation Hamas apparaît pourtant pour la première fois en 1987 dans un document accusant les services secrets israéliens.
UN council: Israel intentionally shot children and journalists in Gaza The investigative commission of the United Nations Human Rights Council that examined the most recent round of violence on the Israel-Gaza border presented its findings on Thursday, saying it found "reasonable grounds" that Israeli security forces violated international law. The commission determined that the majority of Gaza protesters who were killed by Israeli forces --154 out of 183 people -- had been unarmed. The panel also recommended that UN members consider imposing individual sanctions, such as a travel ban or an assets freeze, on those identified as responsible by the commission. The findings were rejected by several Israeli officials, including Prime Minister Benjamin Netanyahu, who said that Israel outright rejects the report: "The council has set new records of hypocrisy and lies out of an obsessive hatred for Israel." Netanyahu added that Israel will continue to "fiercely defend its sovereignty and citizens against Hamas attacks and Iran-backed terror organizations." Oops.
Hezbollah Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Hezbollah (arabe : حزب الله ḥizbu-llāh, « Parti de Dieu »), fondé en juin 1982, mais révélé publiquement en février 1985, est un mouvement politique chiite libanais possédant une branche armée (Al-Muqawama al-Islamiyya, Résistance islamique) qui est à son origine. Il fut créé en réaction à l'invasion israélienne du Liban en 1982, en s'appuyant sur un financement iranien. Parti politique officiel au Liban, le Hezbollah est diversement perçu par la communauté internationale, les États-Unis, le Canada, l'Australie, le Royaume-Uni, les Pays-Bas et Bahreïn, l'ayant placé sur leur liste des organisations terroristes. Le 22 juillet 2013, l'Union européenne a aussi classé la branche militaire du Hezbollah sur sa liste des organisations terroristes. Description[modifier | modifier le code] Emblème[modifier | modifier le code] L'emblème du Hezbollah est vert, couleur de l'islam, sur fond jaune. Charte[modifier | modifier le code]