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Sionisme

Sionisme
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cet article se consacre surtout à l'analyse des courants idéologiques sionistes ainsi qu'aux réactions qu'ils ont suscitées. Pour le détail de son histoire, voir aussi : Histoire du sionisme. Le sionisme est une idéologie politique, décrite comme nationaliste par les uns et comme émancipatrice par les autres, prônant l'existence d'un centre spirituel, territorial ou étatique peuplé par les Juifs en Terre d'Israël (Eretz Israel). À la naissance du mouvement, à la fin du XIXe siècle, ce territoire correspondait à la Palestine ottomane, puis après la Première Guerre mondiale à la Palestine mandataire. Sur un plan idéologique et institutionnel, le sionisme entend œuvrer à redonner aux Juifs un statut perdu depuis l'annexion du Royaume d'Israël à l'Empire romain, à savoir celui d'un peuple disposant d'un territoire. Le sionisme doit son nom au mont Sion, une des collines sur laquelle fut bâtie Jérusalem. Terminologie[modifier | modifier le code] Related:  Palestine et Sionisme

La vision du monde raciste d’Arthur Balfour Par David Cronin, le 18 octobre 2017 Arthur James Balfour sera sans aucun doute porté aux nues par les fervents inconditionnels de l’État d’Israël dans les semaines à venir, pour un bref document qu’il a signé il y a 100 ans. En tant que Secrétaire du Foreign Office britannique en novembre 2017, A. Balfour a déclaré son appui au projet de colonisation sioniste. Avec sa déclaration, la Grande Bretagne devint le sponsor impérial d’un État juif – appelé par euphémisme « un foyer national juif » – qui allait s’établir en Palestine par l’expulsion massive de son peuple autochtone. Dans ce document, la garantie que les droits des Palestiniens seraient protégés s’est avérée nulle et non avenue. En 1919, il affirma que les aspirations sionistes étaient « d’une bien plus grande importance que les désirs et préjugés des 700.000 Arabes qui habitent actuellement cette terre antique ». De 1887 à 1891, Balfour était à la tête de l’administration britannique en Irlande. Des bienfaits de la civilisation ?

Histoire du sionisme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le sionisme est une idéologie politique nationaliste, apparue au XIXe siècle, et qui entend permettre aux Juifs d'avoir un État. Cet article s'intéresse essentiellement à trois problématiques au cœur de l'histoire du sionisme : Les débats et pratiques autour de la construction d'institutions nationales ou prénationales : Organisation sioniste mondiale, partis politiques, Agence juive, groupes armés, puis l'État lui-même.Les débats et pratiques autour de la constitution d'une population juive importante au sein de l'État.Les débats idéologiques entre tendances sionistes, en particulier sur la définition des objectifs. Dans ce domaine, deux questions ont particulièrement divisé (et continuent de diviser) les sionistes : La place de la religion juive dans le sionisme.La question de la localisation de l'État juif, puis de ses frontières. Les faits historiques qui sont cités dans l'article ci-dessous sont donc très incomplets. Moses Hess

Mont Sion Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Sion. Le mont Sion (en arabe : جبل صهيون, en hébreu : הר צִיּוֹן) est une des collines de Jérusalem, située au Sud-Ouest de la vieille ville. Le nom de Sion est souvent pris comme symbole de Jérusalem. Origine du nom[modifier | modifier le code] L'origine du mot Sion vient du mot sioun. « Quel est ce monument que je vois là-bas? — Deuxième livre des Rois 23,17 Lu Sion ce mot désigne le site du sanctuaire de Dieu. Le nom mont Sion apparaît 19 fois dans le Tanakh. « Souviens-toi de ce mont Sion où tu fixas ta résidence ! — Psaume 74 Géographie[modifier | modifier le code] Vue du mont Sion Le mont Sion constitue le prolongement sud de la colline sur laquelle se trouve le quartier juif et le quartier arménien de la vieille ville, s'étendant entre la vallée latérale au nord, la vallée du Hinnom à l'ouest et au sud, ainsi que la vallée du Tyropoeon à l'est. Changement de localisation[modifier | modifier le code]

L'histoire du Sionisme En août 1897, a lieu à Bâle, le premier congrès sioniste, au cours duquel il proclamera : » Dans cinquante ans, un Etat juif naîtra « . Le 29 novembre 1947, les Nations Unies votaient le partage de la Palestine, ouvrant la voie à cet Etat rêvé par Herzl. Dès son apparition, le mouvement sioniste s’inscrit dans la mission civilisationnelle et coloniale de l’Europe : » Pour l’Europe, nous constituerons là-bas, un morceau de rempart contre l’Asie, nous serions le sentinelle avancée de la civilisation contre la barbarie » (Th. Herzl – » l’Etat juif « ) Ainsi, les objectifs sont clairement exprimés : chasser les Palestiniens et encourager l’immigration juive, dans l’esprit du mythe » une terre sans peuple pour un peuple sans terre « . Les Rothschilds ont toujours été la force derrière le mouvement sioniste. Je vous rappel tout de même l’alliance entre Hitler et le sionisme (Accord de transfert).Hitler lui même financé par Wallstreet et rothschild. A l’origine, deux conceptions opposées

Comment les intox sur Rothschild alimentent l’antisémitisme – Agitations Depuis plusieurs semaines nous avons vu le nom de la famille Rothschild sur des pancartes lors de manifestations de Gilets Jaunes. Étant donné tous les agios qu’il nous prennent, il est évident que nous n’aimons pas vraiment les banquiers, mais nous ne souhaitons pas instrumentaliser la haine de la finance à des fins racistes. Historiquement la figure du banquier juif a souvent été utilisée par le discours anticapitaliste du XIXe siècle, et charrie avec elle de nombreux symboles antisémites. Dans le cas de la famille Rothschild, de quoi parle-t-on ? La famille Rothschild est un grand nom de la bourgeoisie d’affaire juive. Originaire du Sainte Empire (l’Allemagne actuelle), la famille se divise en cinq branches (allemande, anglaise, française, autrichienne et italienne) au début du XIXe siècle. Fake news n°1 : « Rothschild a financé Hitler» L’antisémitisme a en effet joué un rôle prépondérant dans la concentration d’une partie du capital financier et industriel occidental.

Pogrom Le mot pogrom (d'origine russe : погром) signifie détruire, piller. Il est utilisé spécifiquement dans plusieurs langues pour décrire les attaques accompagnées de pillages et d'effusion de sang contre les Juifs en Russie, perpétrées par la majorité chrétienne, sans réaction des autorités ou avec leur assentiment, entre 1881 et 1921[1],[2]. Il désigne aussi, de façon générale, des violences et des émeutes sanglantes dirigées par une partie de la population contre des minorités ethniques, religieuses ou d'origine différente de cette population. Concernant les pogroms menés contre les Juifs, des violences similaires, mais d'ampleur plus limitée, surviennent à la même époque en Allemagne, en Autriche, en Roumanie et dans les Balkans[1]. En Europe, l'antisémitisme à l'origine des pogroms peut se nourrir du vieil antijudaïsme chrétien[4], de la séparation religieuse, de l'intolérance. Violences et massacres dans le bassin méditerranéen et en Europe avant 1880[modifier | modifier le code]

Aux origines de la pensée de M. Nétanyahou, par Dominique Vidal (Le Monde diplomatique, novembre 1996) L’intransigeance de M. Benyamin Nétanyahou a surpris certains. De ce premier ministre mal élu, théoriquement ficelé par la signature de ses prédécesseurs au bas des accords d’Oslo et en principe soumis à la volonté de l’Europe comme des Etats-Unis de voir avancer les négociations, ils attendaient un minimum de réalisme. On a présenté son père, Ben-Zion, comme un professeur d’histoire juive, spécialiste de l’Inquisition en Espagne. Vladimir Jabotinsky se fait connaître durant la première guerre mondiale en créant la Légion juive, qui contribuera — tardivement — à la « libération » de la Palestine par les troupes du général Allenby en 1918. En quoi les révisionnistes s’opposent-ils à la majorité des sionistes, au point de quitter, en août 1935, l’Organisation mondiale, au sein de laquelle ils ont rassemblé jusqu’à 21 % des suffrages ? Un « mur d’acier » contre les Arabes Voilà le fameux « mur d’acier ». Idéologique et politique, le rapprochement se matérialise sur le terrain. M.

Le paradoxe:"Je suis Charlie", "je ne suis pas Charlie" Les responsables des grands médias sont convoqués pour évaluer leur couverture médiatique des attentats commis en France ( 17 morts ). Des familles d’otages accusent ni plus ni moins la chaîne BFMTV d’avoir mis en danger la vie des otages en révélant que certains étaient cachés dans une chambre froide. Cela fait effectivement froid dans le dos. Une liberté d'expression à géométrie variable C’est toute l’idée de la liberté d’expression, de la liberté des médias et de la liberté de la presse qui revient sur le tapis. D’un côté, Charlie Hebdo revendique une liberté totale d’expression, et de l’autre, c’est un appel à la prudence et à la responsabilité. La question est enfin posée. il s’agit de vie humaine. Les terroristes islamistes connaissent le fonctionnement de nos médias Les terroristes islamistes ont montré encore une fois leur compréhension du fonctionnement du système médiatique occidental. Comme en septembre 2001, ils connaissent les conséquences de la médiatisation.

Mondialisation Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Carte du monde Origines du terme[modifier | modifier le code] En français le mot apparaît pour la première fois en 1916 dans un ouvrage de Paul Otlet[3]. Le mot désigne alors une appropriation à l'échelle du monde et s'inscrit dans une réflexion sur la réorganisation de la vie internationale après la guerre. Cependant, les occurrences restent rares durant l'entre-deux-guerres. Après la Seconde Guerre mondiale, le mot est employé de façon croissante[6]. Globalisation et mondialisation[modifier | modifier le code] La distinction entre ces deux termes est propre à la langue française. En anglais américain, l'usage premier revient au terme « globalisation », repris d'ailleurs par la plupart des autres langues. En français, malgré la proximité de « globalisation » avec l'anglais, la particularité de « mondialisation » repose sur une divergence sémantique. Définitions[modifier | modifier le code] Caractère inéluctable[modifier | modifier le code]

Michel Warschawski Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Michel Warschawski (Mikado) (né en 1949 à Strasbourg) est un journaliste et militant pacifiste d'extrême gauche israélien, cofondateur et président du Centre d'information alternative de Jérusalem et ancien président de la Ligue Communiste Révolutionnaire Marxiste israélienne. Anti-sioniste, il souhaite le remplacement d'Israël comme État juif par un État binational[1]. Biographie[modifier | modifier le code] Il crée en 1984, le Centre d'information alternative (en) (AIC), qui rassemble plusieurs mouvements pacifistes israéliens et organisations palestiniennes. Michel Warschawski en juillet 2005. Entre septembre 2008 et à la fin du journal. il est chroniqueur dans le journal satirique Siné Hebdo. Il est membre du comité de parrainage du Tribunal Russell sur la Palestine dont les travaux ont commencé le 4 mars 2009. Notes et références[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code] Bibliographie[modifier | modifier le code]

Modèle de propagande Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le modèle de propagande (en anglais « propaganda model ») est une grille d'analyse des médias de masse américains mainstream proposée par Edward Herman et Noam Chomsky en 1988 dans leur livre La Fabrication du consentement[1]. Ce modèle leur sert de base pour montrer que ces médias, bien loin d'être un « quatrième pouvoir », proposent selon eux un traitement biaisé de l'information au service des élites politiques et économiques. Chomsky et Herman analysent – exemples détaillés à l'appui[2] – combien règne une forme particulière de désinformation dans la manière dont ces médias présentent certains événements internationaux. Les cinq déterminants du modèle de propagande[modifier | modifier le code] Le modèle de propagande proposé par Noam Chomsky et Edward Herman se décompose en cinq déterminants essentiels, qui filtrent l'information. Structuration[modifier | modifier le code] Instanciations[modifier | modifier le code]

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