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Château de Vaux-le-Vicomte - Château de Vaux-le-Vicomte

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Honduras. La Cité du dieu singe, fascinant vestige protégé par la lèpre blanche Une expédition conduite au Honduras en 2015 a permis de mettre au jour les vestiges d’une civilisation précolombienne, la Cité perdue du dieu singe. Mais la jungle qui la protège depuis 600 ans a affecté les explorateurs d’une infection rare, un souvenir bien dissuasif. A l’instar du héros de James Gray dans son film The Lost City of Z, qui retrace le destin d’un explorateur à la recherche d’une cité perdue dans la jungle, l’écrivain américain Douglas Preston a succombé, en 2015, à la fascination de l’aventure ultime. Celle de vaincre une nature hostile, en l’occurrence la jungle du Honduras, pour en extirper les vestiges inviolés depuis 600 ans d’une civilisation précolombienne. Pourtant, la leçon à tirer de cette expérience pourrait bien être celle du renoncement, rapporte le Daily Mail qui a recueilli le témoignage de Douglas Preston. Trésors mythiques Plusieurs expéditions se sont succédé pendant des décennies pour la retrouver, sans succès. Une maladie invalidante, voire mortelle

L'Histoire à la carte : Le voyage de Magellan 1519-1522 Cette carte fait partie d’un ensemble de 17 cartes animées portant sur Les Grandes Découvertes L’expédition commandée par Magellan a pour objectif de rallier l’archipel des Moluques par l’ouest en contournant le continent américain. Elle est financée par l’Espagne qui pourrait ainsi avoir accès à ces îles aux épices sans traverser l’océan Indien qui est sous contrôle portugais. Magellan connaît l’existence d’un océan entre le nouveau monde et l’Asie et il dispose d’informations sur la côte de l’Amérique du Sud jusqu’à la hauteur du Rio de la Plata. La présence de cette profonde baie, approximativement à la même latitude que la pointe sud de l’Afrique, laisse espérer à Magellan l’existence d’un passage à travers le nouveau continent. La flotte de cinq navires quitte l’Espagne le 20 septembre 1519. Au mois de décembre, elle fait une première escale de quelques jours dans la baie de l’actuel Rio de Janeiro. À la mi-janvier, les navires atteignent le Rio de la Plata. La flotte repart en août.

Les migrations internationales De plus en plus importants, les mouvements internationaux de population ne se résument pas à des transferts des pays pauvres vers les pays riches. Les trajectoires, les motifs et les effets de ces migrations sont complexes et multiples. Des trajectoires variées A l’heure de la mondialisation, les migrations internationales ne sauraient se résumer à des mouvements de populations fuyant une vie difficile dans des pays pauvres pour rejoindre des contrées occidentales riches de bienfaits économiques. D’une part, toutes les régions du monde sont aujourd’hui concernées par ces flux, comme zone de départ, d’accueil ou de transit, parfois l’une et l’autre à la fois. Les migrations concernent aujourd’hui près de 200 millions de personnes (75 millions en 1965), l’essentiel de ces déplacements se faisant au sein des deux hémisphères Nord et Sud. Un essor des mouvements Sud-Sud Plusieurs facteurs ont récemment contribué à augmenter les mouvements de population au sein de l’hémisphère Sud.

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