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Le B A BA de la cosmologie

Le B A BA de la cosmologie
d'après sciences et avenirs Hors série Mars 96 : "Comprendre l'infini" et d'après le site web compteur dernière mise à jour le: 11/19/2011 16:43:24 B A BA de cosmologie aujourd'hui: on part d'une équation mathématique appellée métrique, il s'agit d'une hypothèse de travail . B A BA de topologie En mathématiques une topologie est la donnée d'ensembles ouverts et fermés d'un espace, s'ensuit la notion de voisinages et donc de limite et de continuité 2 espaces ont la même topologie si on peut passer de l'un à l'autre par déformation continue ( autrement dit les familles d'ouverts et de fermés sont les mêmes à une transformation continue près ) par exemple une sphère et un ellipsoide ont la même topologie. un rectangle replié sur lui même et recollé par les bords à la même topologie qu'un tore ( beignet ) si vous êtes à l'intérieur d'un carré mais si vous arrivez sur un côté vous ressortez par le côté opposé Le XVII siècle Héliocentrisme

L’inflation cosmique: d’étranges alternatives? Posted on février 29, 2012 by Ashley Corbion . D’après la théorie de l’inflation, notre Univers aurait connu une phase d’expansion brutale dans les premiers instants suivant sa naissance. Bien que largement acceptée par la communauté scientifique, certains continuent d’explorer des modèles alternatifs. La théorie de l’inflation permet d’expliquer (entre autres) pourquoi l’Univers tel qu’on l’observe aujourd’hui est plat. Les conclusions de la théorie sont notamment en bon accord avec les observations du satellite WMAP qui étudie le fond diffus cosmologique. Malgré son apparente réussite, l’inflation est-elle la seule à pouvoir décrire les premiers instants de l’Univers (on peut même pousser la question plus loin en se demandant si c’est tout simplement le bon modèle)? L’équipe de chercheurs a trouvé que seulement trois théories permettent de décrire les premiers instants de l’Univers tout en étant en accord avec la distribution de matière actuelle dans l’Univers. Référence

DYSON ET SA THEORIE Une sphère de Dyson est une mégastructure hypothétique Une sphère de Dyson est celle d'une enveloppe, rigide et de faible épaisseur, enserrant une étoile. Cette structure s'assimile à un planétoïde. Il s'agit donc d'une coquille uniforme solide autour de l’étoile, composée d'un revêtement intégral situé à une distance de l'étoile adaptée à la résistance du matériau. Décrite en 1960 par le physicien et mathématicien américain Freeman Dyson, dans un court article publié dans la revue Science et intitulé Search for Artificial Stellar Sources of Infrared Radiation (« Recherche sur les sources stellaires artificielles de rayonnements infrarouges »). Le physicien et mathématicien Freeman J. Bien que Dyson ait été le premier à formaliser et populariser le concept de sphère de Dyson, l’idée lui est venue en 1945 après la lecture d'un roman de science-fiction d'Olaf Stapledon intitulée Star Maker (Créateur d'étoiles, 1937). Solution au paradoxe de Fermi L’idée de Dyson Les critiques D’autres idées

Petite randonnée intellectuelle en compagnie de Jack Bizlall Cher M. Bizlall, Je n’ai pas eu le plaisir de vous connaître personnellement mais je suis ravi de votre vibrante initiative « Dialogue avec Abed Peerally – Infini cosmique / Big Bang : question de s’entendre ! » (Forum – Le Mauricien, 29/06/11, 30/06/11, 01/07/11). J’aimerais continuer à faire ce petit voyage vu que vos idées et les miennes sont séparées par l’étendue d’un système solaire – ce qui indique que nous avons beaucoup de connaissances à échanger. Mon prochain article dans la page « Forum » fera le point sur mes idées au plan cosmologique. Vos réflexions suivent les tendances philosophiques de ces deux millénaires. Vos remarques sur mes articles, dans votre contribution à la page Forum, sont prématurées puisque mes intentions ultimes consistent à finaliser mes idées scientifiques dans deux livres. Hawking, Brian Greene, Martin Rees… Le scientifique professionnel se met à l’ouvrage quand il a une bonne idée afin de ne pas écrire n’importe quoi.

Univers holographique » En roulant dans la campagne au sud de Hanovre, il serait facile de manquer le centre d’expérimentation GEO600 . De l’extérieur, il n’y ressemble pas beaucoup: dans le coin d’un champ on découvre un assortiment de bâtiments carrés et temporaires, d’où deux longues tranchées émergent, à angle droit l’une aux de l’autre, couvertes de tôle ondulée. Sous les feuilles de métal, cependant, se trouve un détecteur qui s’étire sur 600 mètres. Au cours des sept dernières années, cette installation allemande a recherché les ondes gravitationnelles – des ondulations dans l’espace-temps provoquées par des objets astronomiques très denses comme les étoiles à neutrons et les trous noirs. GEO600 n’a détecté aucunes ondes gravitationnelles jusqu’à présent, mais il pourrait, par inadvertance, avoir fait la découverte la plus importante en physique depuis un demi-siècle. Le «principe holographique» remet en question nos sensibilités. En Juin il a envoyé sa prévision à l’équipe GEO600. </b>*} Suggestion:

Confirmation de l'existence et du rôle de l'énergie sombre, selon les chercheurs Confirmation de l'existence et du rôle de l'énergie sombre, selon les chercheurs Des astronomes ont trouvé des preuves additionnelles de l'existence et des propriétés de l'énergie sombre, en examinant de nouvelles données issues d'un recensement de 240 000 galaxies. L'équipe internationale composée de 26 scientifiques a utilisé deux types d'observations pour effectuer une confirmation indépendante de l'existence de l'énergie sombre, à l'aide de données sur une portion de l'univers permettant de remonter de 7 milliards d'années dans le temps, à la moitié de l'âge actuel de l'univers. L'énergie sombre est une forme d'énergie dont la nature reste mystérieuse et qui remplirait 74 % de l'univers. Elle se comporte comme une force gravitationnelle répulsive qui expliquerait pourquoi l'expansion de l'univers va en s'accélérant. Elles viennent contredire une théorie adverse, selon laquelle la force et l'intensité de l'énergie sombre auraient varié en fonction de l'âge de l'univers. Origines

Un nouveau problème pour la matière noire? Des astronomes ont découvert une vaste structure entourant notre galaxie, la Voie Lactée. Cette structure, qui s’étend sur un million d’années-lumière, pourrait jeter le doute sur l’existence de la mystérieuse matière noire. La Voie Lactée est composée de quelques centaines de milliards d’étoiles (entre 200 et 400 milliards), de gaz et de poussières contenus dans une spirale plane en rotation autour d’une barre centrale. Avec un diamètre d’à peu près 100000 années-lumières, il faut donc environ 100000 ans à la lumière pour voyager d’une extrémité à l’autre de la galaxie. Le modèle communément admis par les scientifiques suppose l’existence d’une forme transparente de matière de nature inconnue, détectable uniquement grâce à son influence gravitationnelle, la matière noire. Des astronomes de l’Université de Bonn, en Allemagne, ont étudié la périphérie de notre galaxie afin de mieux comprendre ce qui l’entoure. C’est justement là qu’il y a un problème avec le modèle et la matière noire.

Matière noire… ou pas? Posted on avril 24, 2012 by Ashley Corbion . D’après la théorie, la matière noire – détectable uniquement grâce à son influence gravitationnelle – devrait littéralement entourer notre système solaire. Seulement, de nouvelles mesures par une équipe d’astronomes du Chili ne vont pas dans le sens du modèle: d’après leurs résultats, il n’y aurait tout simplement pas la moindre trace de matière noire dans le voisinage de notre système solaire! Pour parvenir à cette conclusion, les astronomes ont utilisé le télescope MPG/ESO de l’observatoire de La Silla ainsi que quelques autres, afin d’étudier les mouvements de plus de 400 étoiles dans un rayon de 13000 années-lumière. A l’aide de ces données, ils ont calculé la masse de matière dans le voisinage du Soleil, dans un volume quatre fois plus grand que ce qui avait été étudié jusque là. La matière noire, totalement transparente, n’est détectable qu’à travers son attraction gravitationnelle. © ESO/L. Cela veut-il dire que la mati!

L’espace est-il vraiment en expansion? Posted on février 21, 2012 by Ashley Corbion . L’expansion de l’Univers est aujourd’hui largement acceptée par la communauté scientifique, de nombreuses observations supportant ce phénomène (et son apparente accélération). A l’expansion de l’Univers, on associe souvent l’expansion de l’espace lui-même. Et s’il en était autrement? Le redshift cosmologique pourrait-il être dû uniquement à des effets cinématiques et gravitationnels, et non à l’expansion de l’espace? Le redshift cosmologique, témoin de l’expansion de l’Univers, rend compte du décalage vers le rouge (l’allongement de la longueur d’onde) du spectre des galaxies lointaines: celles si s’éloignent de nous, d’autant plus vite qu’elles sont distantes. Fulvio Melia, du département de physique de l’Université d’Arizona aux Etats-Unis, a réétudié cette interprétation de l’espace en expansion. Au centre de la question posée par Melia se trouve le choix de coordonnées utilisées.

Pas de neutrinos supraluminiques, finalement? Posted on février 23, 2012 by Ashley Corbion . La polémique était née il y a quelques mois: des scientifiques affirmaient avoir observé des neutrinos voyageant à des vitesses supérieures à celle de la lumière. Ce résultat avait alors été vivement commenté, puisqu’il viole apparemment la relativité restreinte d’Einstein, d’après laquelle rien ne peut se déplacer plus vite que la lumière. Du côté de ceux qui contestaient les résultats de ces observations (c’est à dire à peu près tout le monde…), on envisageait un problème de GPS. Il semblerait en effet qu’il y ait un problème avec ce dernier… D’après le site ScienceInsider, le responsable serait un câble défectueux reliant le système GPS à un ordinateur. Un peu plus tard dans la même journée (hier), James Gillies, porte-parole du CERN, nous apprenait qu’il y avait effectivement des doutes quant à la fiabilité des résultats. Afin de confirmer la possible (très très probable) erreur, de nouvelles mesures devront être effectuées.

LE RÉGLAGE FIN DE L'UNIVERS paru dans le numéro spécial hors-série de Ciel et Espace (2006) « L'Univers a-t-il besoin de Dieu » Depuis quelques années, la cosmologie annonce des résultats à sensation : l’Univers serait infini dans le temps et dans l’espace et la plus grande partie de son contenu, encore non détectée, serait de nature mystérieuse. Il subirait une expansion accélérée, se délitant ainsi de plus en plus rapidement à un rythme qui nous a été précisément fourni. Hasard magnifique, comme le clament beaucoup de cosmologistes ? Pour appuyer ce raisonnement, commençons par examiner le fonctionnement de la science. À la lumière de cette exigence, examinons les résultats de la cosmologie moderne : possède-t-on aujourd’hui ce cadre théorique requis ? Alors de quel arsenal théorique dispose la cosmologie ? Que signifie réellement ce résultat ? Pour ma part, je pense déjà qu’il y a erreur de la part de cette cosmologie officielle sur le choix du paramètre considéré comme « libre », à savoir la densité.

UN MODELE PROBABILISTE DE L'UNIVERS Le hasard constructeur de l'univers "Il est incompréhensible que l'univers soit compréhensible (Einstein)" Chapitre I Introduction Qu'est-ce que comprendre l'univers ? Version anglaise Selon les critères scientifiques, comprendre l'univers c'est trouver des lois de plus en plus générales qui régissent les phénomènes de l'univers, phénomènes physiques (avec leur expression mathématique), phénomènes biologiques ( structures, origine et évolution de la vie ). a) Comprendre dans les sciences physiques ( physique, chimie, astrophysique, gravitation, cosmologie, etc… ), c'est réunir dans des théories, selon des lois et des modèles le plus souvent mathématiques, des concepts et des phénomènes. Mais a-t-on ainsi compris l'univers ? Ces différents modèles, validés ou pas, nous rendent-ils l'univers compréhensible ? b) Comprendre, dans les sciences biologiques, c'est comprendre les structures, le fonctionnement, l'origine et l'évolution du vivant. Suivant : II Un modèle probabiliste de l’univers

La cosmologie, des théories aux faits Alain RIAZUELO, Institut d'astrophysique de Paris (cnrs umr 7095) La cosmologie est une discipline jeune, une des plus jeunes de toute l’astrophysique. En effet, ce n’est que depuis très récemment que l’on dispose des instruments d’observation et des outils suffisants pour prétendre discuter de l’histoire, de la structure et de l’évolution de l’Univers. Cependant, l’absence de cadre théorique et observationnel n’avait pas empêché les réflexions sur l’Univers dans son ensemble. La situation change au tournant du xxe siècle. Faire-part de naissance Les choses évoluent encore avec une observation cruciale et fortuite.

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