Pourquoi je n’utiliserai plus Facebook
Jusqu’à présent, Facebook était un « réseau social » qui permettait à ses utilisateurs de se relier entre eux en « devenant amis » pour ainsi partager et publier des informations, des liens et des contenus. Certes, si on publiait sa vie privée sur facebook, on pouvait ensuite s’en mordre les doigts et commencer à se poser des questions : « ma vie privée est-elle menacée par facebook ? », « faut-il instaurer un droit à l’oubli pour protéger les jeunes de leur utilisation de facebook ? J’ai déjà décrit ce que j’en pensais. J’ai trouvé jusque là qu’il n’y avait pas grand mal à être inscrit sur facebook. En somme, le calcul des avantages moins les inconvénients était positif, surtout si, comme moi, on est soucieux de garder le contrôle de ses publications et que donc on n’a ni souscrit à n’importe quoi, ni publié quoique ce soit qui n’ait été un minimum réfléchi. Mais voilà, cette semaine, facebook a annoncé ses plans et les changements qu’ils venaient de mettre en place. Que faire ?
Facebook instaure de nouveaux paramètres de confidentialité - Le
Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Laurent Checola Sur le site de socialisation Facebook, un message, apparu mercredi 9 décembre, invite les internautes à mettre à jour les options de confidentialité de leur profil. Censé simplifier la gestion de la vie privée des 350 millions d'usagers en ligne dans le monde, le système permet de paramétrer, pour chaque nouvel élément publié, qui en sera le destinataire : les amis, la famille, ou bien tout le monde. Plusieurs associations de protection de la vie privée américaines ont toutefois souligné les limites de ces changements, déjà annoncés au mois de juillet. "Cet outil est clairement conçu pour que l'information soit partagée par tous ; une évolution qui va avoir des effets sur le degré de vie privée des utilisateurs, que ce soit intentionnellement, ou inconsciemment", souligne l'Electronic Frontier Foundation. L'American Civil Liberties Union (ACLU) insiste pour sa part sur la problématique des applications tierces.
An inch closer to the end of privacy (thanks Facebook!) — Scoble
If the end of privacy is so evil, so awful, so unthinkable, then why am I liking the new Pandora so much? See, in the past three days since Facebook announced major new changes to its social contract with all of us, I’ve been able to study my friends’ personal musical tastes in a way I couldn’t just four days ago. Here, come on over to the new Pandora on my screen. I see that Aaron Roe Fulkerson, MindTouch’s Inc founder and CEO, listened to Toad the Wet Sprocket. I see that Adrian Otto, chief of research at the Rackspace Cloud (where I work at), listens to Kenny G. I see that Alan Cooper, father of Visual Basic, and head of a famous software design studio that bears his name, listens to the Barenaked Ladies. Should I keep going? To me this is freaking awesome. Oh, yeah, and you can see my own account and see how my musical tastes are changing thanks to this new feature. But, on the other hand, this new feature has heralded a new age where we move closer to the end of privacy. So, now what?
Pour la 12e fois de l'année, Facebook vient de tuer Twitter
Facebook s'inspire à nouveau de Twitter. Sous peu, il sera possible de "taguer" ses amis dans les statuts. Traduction pour les non-initiés : en écrivant le nom d'un de ses contacts dans ses messages, ces derniers sauront que vous les avez cités, comme c'est déjà le cas pour les "tags" de photos. Comme c'est aussi le cas sur Twitter. Immédiatement, Mashable a publié un billet listant tout ce que cela change : les conversations seront plus nombreuses, puisque vous saurez quand votre nom apparaîtra. Bref, ce coup semble bien dirigé contre Twitter, dont Facebook va jusqu'à reprendre la syntaxe @pseudo pour formuler les citations. Voici la liste de tous les changements observés ces derniers mois : Facebook Lite. Rien ne permet cependant de dire, dans le même temps, que cette "twitterification" a tué ou est en passe de tuer Twitter.
10 Reasons To Delete Your Facebook Account
Réaction à Facebook sur Envoyé spécial
Réflexion sur la vie Privée avec FaceBook | bertrandkeller
Allez, l’identitée numérique, la vie privée c’est à la mode en ce moment, on peut se permettre de remonter quelques articles sur le sujet. Tout d’abord rappelons que si d’un côté FaceBook a l’ambition de collecter les informations personnelles de la totalité du monde (occidental), même s’il se mettaient à promettre « juré/craché » qu’ils ne vendront les données à aucun organisme commercial, et bien, ils ne seraient pas à l’abri d’un quelconque piratage de ces mêmes données. Par exemple hier fut remontée, une faille importante dans les données privées sur Facebook, le mois dernier on parlait d’1,5 millions d’identités Facebook volées en vente, les failles font parties courantes de l’informatique, il n’est pas possible de garantir la sécurisation de vos profils. Voilà un peu de grain à moudre pour les personnalités ou groupes de personnes cherchant à vous convaincre d’abandonner le réseau social : Top Ten Reasons You Should Quit Facebook.
Facebook : un danger public
Facebook, t’es sur Facebook, T’as un profil Facebook, J’ai un groupe sur Facebook, Viens sur Facebook…Voilà quelques expressions qu’on entend un peu partout maintenant, de plus en plus autour de nous, dans le métro, dans la rue, sur le net, dans la presse et depuis hier dans Envoyé Spécial sur France 2. La question qui se pose est Facebook constitue-t-il un danger ? Quels sont les risques (sociaux, d’image, techniques…) liés à l’usage d’une tel service dit « social ». La réponse, à mon avis, doit être modérée. C’est un outil parmi tant d’autres, il s’agit de bien comprendre son fonctionnement et sa logique, ses portées et limites, et donc d’optimiser son usage dans un cadre privé ou professionnel. Je ne vais pas revenir sur la définition de ce service, qu’est ce qu’on peut faire avec, ou pas…Mais j’ai sélectionné un certain nombre de ressources qui vous permettront d’avoir une meilleure idée et usage de cet outil.