Les 8 types d'intelligences « Pourquoi cherchez-vous si fort à vous intégrer alors que vous êtes destiné à vous démarquer? »- Anonyme Avez-vous l’impression que, dans la société, on considère les gens qui sont doués dans des matières intellectuelles comme étant plus intelligents que les autres? En fait, une croyance véhiculée dans la société veut qu’il n’existe qu’un seul type d’intelligence, soit l’intelligence du raisonnement logique et ce type d’intelligence est mesurable sur l’échelle de QI. Cependant, en 1983, M. L’intelligence logique-mathématique Les personnes qui possèdent l’intelligence logique-mathématique ont la capacité de calculer, mesurer, faire preuve de logique et de résoudre des problèmes. L’intelligence spatiale L’intelligence spatiale permet à la personne d’avoir une visualisation mentale du monde. L’intelligence interpersonnelle L’intelligence interpersonnelle (ou sociale) permet à l’individu d’agir et de réagir avec les autres de façon correcte et adaptée. L’intelligence kinesthésique Sources :
Ces pays d'Europe qui remettent leurs seniors au travail La recette miracle n'existe pas. Au sein de l'Union européenne, chacun y va de ses propres ingrédients pour mettre l'emploi des seniors au goût du jour. En France, "tutorat, aide à l'embauche des plus de 55 ans, point d'étape individuel retraite dès 45 ans" sont les mesures annoncées mercredi par Éric Woerth dans le cadre de la réforme des retraites. Laurent Wauquiez, son secrétaire d'État, a créé, le 8 juin dernier, une journée nationale pour l'emploi des seniors, car, en la matière, la France cherche encore "ce qui marche". Dans ces pays du nord où les entreprises accueillent volontiers les seniors, travailler plus longtemps est d'abord le fruit d'une révolution culturelle. Mais, dans d'autres pays nordiques, il n'y a pas eu besoin d'une révolution de moeurs. La retraite, moins avantageuse que l'emploi D'autres ont dû tirer la sonnette d'alarme, et adopter des mesures fermes, poussés par de nouvelles données démographiques. Cercle vertueux
50 outils de recherche pour l'information scientifique Cette liste est issue de notre veille sur Diigo : Liste Diigo "Moteurs scientifiques (link is external)" Liste d'outils de recherche Moteurs multidisciplinaires En Sciences de l'ingénieur, Informatique, Mathématiques Science Accelerator, Office of Scientific and Technical Information, OSTI, U.S. "Science Accelerator is a gateway to science, including R&D results, project descriptions, accomplishments, and more, via resources from the Office of Scientific and Technical Information (OSTI), U.S. IEEE - The world's largest professional association for the advancement of technology (link is external) (link is external) Portail de l'Institute of Electrical and Electronics Engineers. citebase Search (link is external) (link is external) Citebase Search is a semi-autonomous citation index for the free, online research literature. BioMed Central (link is external) (link is external) Recherche de thèses
Fab lab Un fab lab ou fablab[1] (contraction de l'anglais fabrication laboratory, « laboratoire de fabrication ») est un tiers-lieu de type makerspace[2] cadré par le Massachusetts Institute of Technology (MIT) et la FabFoundation[3] en proposant un inventaire minimal[4] permettant la création des principaux projets fab labs, un ensemble de logiciels et solutions libres et open-sources, les Fab Modules[5], et une charte de gouvernance, la Fab Charter[6]. Pour être identifié en tant que fab lab par la FabFoundation, il faut passer par plusieurs étapes[7] et il est possible de suivre une formation à la Fab Academy[8]. Les fab labs sont réunis en un réseau mondial très actif, d'après son initiateur Neil Gershenfeld[9]. Les couleurs du logo représentent[10] : le vert : modèle commercial et économique ;le bleu : impact social et durabilité ;le rouge : recherche et éducation. Historique[modifier | modifier le code] Principes des fab labs[modifier | modifier le code] Fab City[modifier | modifier le code]
Futurologie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La futurologie a pour ambition d’aborder les différents scénarios possibles de l’avenir. Sous l'influence de l'anglais (futures research), le terme tend à remplacer celui de « prospective ». La futurologie est censée procéder à partir des données technologiques, économiques ou sociales du passé et du présent, et affirme se fonder sur des techniques et des modèles scientifiques. Le terme exclut les prédictions obtenues par des moyens surnaturels, ainsi que celles concernant le court terme (par exemple les estimations sur les fluctuations boursières). La futurologie telle qu’elle se présente elle-même repose sur l’idée que chacun prend des décisions en rapport avec sa vision personnelle du futur, même de manière intuitive ou implicite. Analyse statistique[modifier | modifier le code] Raisonnement empirique sur les données historiques[modifier | modifier le code] Raisonnement prospectif[modifier | modifier le code] Portail de la sociologie
Non, le monde n’est pas régi que par les rapports de force. Etudes à l’appui Dans son livre « l’Âge de l’empathie », Frans de Waal met la coopération au cœur de l’évolution des espèces et ouvre des perspectives passionnantes sur la nécessaire solidarité dans nos sociétés. Il etaye sa théorie avec son expérience sur le terrain, ses recherches en anthropologie, psychologie, comportement animal et neurosciences, ses expériences en laboratoire sur les chimpanzés, les bonobos et les singes capucins – ainsi que sur les dauphins et les éléphants. Expériences que je vous relaterai un peu plus loin. Pour justifier une politique basée sur la loi du plus fort, nos décideurs s’appuient sur de faux principes de biologie. Frans de Waal montre également que de nombreux animaux sont prédisposés à prendre soin les uns des autres, à s’entraider et, dans certains cas, à se mobiliser pour sauver la vie des autres. Cette résonance aux émotions est une réaction automatique sur laquelle nous avons peu de contrôle. L’empathie du point de vue des neurosciences À voir, en complément :
10 techniques de manipulation des masses Malgré le fait que ce texte ait crée une polémique autour de son auteur (en premier lieu attribué à Noam Chomsky) avant de découvrir que l’auteur serait enfaîte Sylvain Timsit, les « techniques de manipulations des masses » dévoilés dans ce texte méritent de s’y attarder. 1/ La stratégie de la distraction Élément primordial du contrôle social, la stratégie de la diversion consiste à détourner l’attention du public des problèmes importants et des mutations décidées par les élites politiques et économiques, grâce à un déluge continuel de distractions et d’informations insignifiantes. La stratégie de la diversion est également indispensable pour empêcher le public de s’intéresser aux connaissances essentielles, dans les domaines de la science, de l’économie, de la psychologie, de la neurobiologie, et de la cybernétique. « Garder l’attention du public distraite, loin des véritables problèmes sociaux, captivée par des sujets sans importance réelle. 3/ La stratégie de la dégradation Source:
Blue Brain Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le projet Blue Brain, littéralement « cerveau bleu », a pour objectif de créer un cerveau synthétique par processus de rétroingénierie. Fondé en mai 2005 à l'École polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL) en Suisse, ce projet étudie l'architecture et les principes fonctionnels du cerveau. Objectifs[modifier | modifier le code] En 2002, Henry Markram s'installe à l'EPFL ; en 2005, il convainc IBM de constituer une équipe internationale de 35 informaticiens, mathématiciens, biologistes et physiciens. Cette reconstitution virtuelle d'une colonne corticale, c'est-à-dire l'unité de base du cortex constituée de milliers de neurones, a permis d'identifier 240 types de neurones[1]. Progrès[modifier | modifier le code] Selon Markram, le premier cerveau virtuel de mammifère serait disponible vers 2018. « Chaque année, il y a 35000 publications en neurosciences. Technologies[modifier | modifier le code] Financements[modifier | modifier le code]
Tout savoir sur les neurosciences Afficher le sommaire Tout savoir sur les neurosciences Dans cette page, j'ai regroupé des sites pour savoir tout (ou presque) sur les neurosciences, l'imagerie médicale, la neuroanatomie, la neurophysiologie, la neurobiologie cellulaire et moléculaire. Système limbique et amygdale La mémoire émotionnelle peut être aussi bien déclarative (consciente) que non-déclarative (inconsciente). On peut avoir peur des serpents. Les recherches récentes ont revisité une voie que l'on nomme circuit de Papez ( infos). Les réactions émotionnelles dépendent de plusieurs structures cérébrales dont l'amygdale, qui fait partie du système limbique ( infos). L'amygdale, région anatomique en forme d'amande (d'oà son nom), est située dans le lobe temporal interne ( infos). Sa lésion provoque une perturbation notable de la mémoire émotionnelle, en préservant les autres mémoires. infos). Les stimuli émotionnels importants sont transmis à l’amygdale par deux voies ( infos) : infos). infos -), plus le souvenir est tenace. infos)
Objectifs du millénaire pour le développement Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir OMD. Les Objectifs du millénaire pour le développement (OMD), Millennium Development Goals en anglais, sont huit objectifs adoptés en 2000 à New York (États-Unis) par 193 États membres de l'ONU, et au moins 23 organisations internationales, qui ont convenu de les atteindre pour 2015. Ces objectifs recouvrent de grands enjeux humanitaires : la réduction de l’extrême pauvreté et de la mortalité infantile, la lutte contre plusieurs épidémies dont le SIDA, l'accès à l’éducation, l’égalité des sexes, et l'application du développement durable. Les 8 objectifs[modifier | modifier le code] 1. Objectif 1 : réduire l'extrême pauvreté et la faim[modifier | modifier le code] Chacun des Objectifs du millénaire pour le développement se décompose en plusieurs cibles. La première cible. Elle consiste à réduire de moitié, entre 1990 et 2015, la part des individus vivant avec moins d'un dollar par jour. La seconde cible Cible 1
sciences Cognitives Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les six disciplines scientifiques constituant les sciences cognitives et leurs liens interdisciplinaires, par l'un des pères fondateurs du domaine, G. A. Miller[1]. Les traits pleins symbolisent les disciplines entre lesquelles existaient déjà des liens scientifiques à la naissance des sciences cognitives ; en pointillés, les disciplines entre lesquelles des interfaces se sont développées depuis lors. En France, où la tradition disciplinaire est forte, la question de leur statut entre en résonance avec des problématiques liées à la structuration de la recherche. à une science fondamentale, dite science de la cognition, dont les spécialistes, parfois appelés cogniticiens[3], sont réunis en sociétés savantes et publient dans des revues scientifiques internationales transdisciplinaires.à un secteur applicatif industriel du domaine de l'ingénierie de la connaissance : la cognitique. Histoire des sciences cognitives[modifier | modifier le code]
Post-humain Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le post-humain ou posthumain est un concept issu notamment des champs de la science-fiction, de l'art contemporain et de la philosophie. L'apparition du concept de post-humain est étroitement lié au développement des nouvelles technologies après la Seconde Guerre mondiale, et des biotechnologies en particulier. Le transhumanisme est un courant de pensée qui appelle de ses vœux l'avènement d'une posthumanité radicale, peut-être appelée à s'installer progressivement, ou à surgir très rapidement et de manière imprévue pour le plus grand nombre par le biais d'une singularité technologique. Le philosophe Peter Sloterdijk, dans ses Règles pour le parc humain, évoque l'idée et la rejette en recommandant à l'homme de « conserver son statut arriéré » dans des limites fixées par lui-même, pour continuer à vivre dans un monde où la technologie étend son pouvoir impersonnel. Liens[modifier | modifier le code] Bibliographie[modifier | modifier le code]
Web des données Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Web des données (Linked Data, en anglais) est une initiative du W3C (Consortium World Wide Web) visant à favoriser la publication de données structurées sur le Web, non pas sous la forme de silos de données isolés les uns des autres, mais en les reliant entre elles pour constituer un réseau global d'informations. Il s'appuie sur les standards du Web, tels que HTTP et URI - mais plutôt qu'utiliser ces standards uniquement pour faciliter la navigation par les êtres humains, le Web des données les étend pour partager l'information également entre machines. Cela permet d'interroger automatiquement les données, quels que soient leurs lieux de stockage, et sans avoir à les dupliquer[1]. Tim Berners-Lee, directeur du W3C, a inventé et défini le terme Linked Data et son synonyme Web of Data au sein d'un ouvrage portant sur l'avenir du Web sémantique[2]. Principes[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code]
Cyborg Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Ne doit pas être confondu avec Androïde. Le terme s'emploie surtout en science-fiction ou en futurologie ; utiliser le terme pour des personnes ayant reçu des prothèses, dans le monde contemporain, peut parfois être perçu comme de mauvais goût par les intéressés[1]. Étymologie et utilisation du terme[modifier | modifier le code] « Cyborg » est un mot d'origine anglaise, contraction de « cybernetic organism » (organisme cybernétique). Le terme « cyborg » a été popularisé par Manfred Clynes (en) et Nathan S. Principe et origine[modifier | modifier le code] La cybernétique étant l'étude exclusive des échanges, un organisme pourrait être qualifié de cybernétique dès lors qu'il effectue un échange efficace pour une tâche donnée, mais le terme cyborg sous-entend en plus qu'il ne s'agit pas (uniquement) d'un organisme naturel. La cybernétique est un principe scientifique formalisé par Norbert Wiener en 1948. Représentation[modifier | modifier le code]