Jeux vidéo : un jeune joueur sur dix souffre de 'dépendance' aux Etats-Unis Selon une nouvelle étude, près d’un joueur américain sur dix âgés de 8 à 18 ans peut être considéré comme souffrant d’une « dépendance clinique » (cliniccaly addicted) aux jeux vidéo. Une étude en ligne réalisée en janvier par Harris Interactive a révélé que 23% des jeunes joueurs ressentent une « dépendance aux jeux vidéo ». Celle-ci touche environ un tiers des jeunes garçons interrogés et un peu plus d’une jeune fille sur 10. Selon cette étude réalisée sur un échantillon de 1178 enfants et adolescents américains, 44% des jeunes interrogés pensent également que leurs amis sont dépendants aux jeux vidéo. On estime que près de huit jeunes américains sur dix jouent aux jeux vidéo au moins une fois par mois, soit 94% de tous les garçons interrogés. Le temps consacré aux jeux vidéo varie en fonction de l’âge et du sexe. Ils consacrent également chaque semaine bien davantage de temps au jeu vidéo (24,5 heures en moyenne) et montrent une tendance à souffrir de troubles de l’attention.
L’addiction aux jeux vidéo est un symptôme du malaise de la civilisation – mais pas celui que vous pensez A fur et à mesure que les jeux vidéo sont sortis de leur ghetto culturel, ils ont été l’objet d’inquiétudes de plus en plus vives. Plus les héros des jeux vidéo s’exposaient dans les pages de magazine et sur les écrans de publicité, plus les soupçons se sont accumulés : les jeux vidéo isolent, les jeux vidéo rendent violents, les jeux vidéo sont des paradis artificiels. D’objet de plaisir, les jeux vidéo sont ainsi devenu des substances toxiques. Ce mouvement a été rendu possible par le fait que la notion de dépendance s’est elle même déplacée au cours de ces dernières décennies. Pourtant, l’addiction comporte toujours une part de risque et de transgression qui absente des jeux vidéo. Les craintes des adultes vis à vis des jeux vidéo sont tiennent au fait que la représentation qu’on les adultes des jeux vidéo dans leur grande majorité infondées. La mauvaise réputation faite aux jeux vidéo est symptomatique d’autre chose. Les jeux vidéo doivent faire avec un contexte différent.
L'addiction aux jeux vidéo peut-elle tuer ? À Taïwan, un homme de 18 ans est décédé après avoir joué 40 heures d'affilée au jeu vidéo Diablo 3 dans un cybercafé, affirme le Telegraph ce jeudi 19 juillet. Chuang serait rentré dans le cybercafé le 13 juillet et aurait été trouvé endormi sur son ordinateur le 15 juillet par un employé. Après quelques pas, le jeune homme s'est finalement effondré et ne s'est jamais réveillé. La police enquête toujours sur les causes du décès, mais s'oriente vers un accident cardiovasculaire. Des cas de ce type, s'ils sont extrêmement rares, sont souvent relayés par les médias. Les cas sont extrêmement rares, mais choquent. "Le jeu vidéo ne tue pas" Pour le docteur Laurent Karila, du Centre d'enseignement de recherche et de traitement des addictions de l'hôpital Paul Brousse, interrogé par Le Huff Post, la réponse est clairement non. Les cas évoqués plus haut sont en réalité dus à différents facteurs, qui peuvent être aggravés par le comportement des joueurs. 1. · Musique (Guitar Hero, Rock Band…) (1)
Dépendance aux jeux vidéo : les signes à surveiller Problèmes scolaires, abandon du sport et de la vie familiale sont autant de symptômes caractéristiques d'un joueur pathologique. Enfermé dans sa chambre, votre enfant est accroché à son ordinateur, les yeux rivés sur son écran, hermétique à toutes remarques ou demandes tant son attention est retenue par son jeu vidéo et par les autres jeunes qui «en ligne» évoluent dans le même monde virtuel que lui… Est-ce grave docteur? Les nouvelles addictions : tel était le thème de la séance hebdomadaire de l'Académie de médecine qui s'est tenue mardi avec, notamment, la question de l'addiction des jeunes aux jeux vidéo. Des études contradictoires «Il faut bien sûr regarder le nombre d'heures que l'enfant passe à jouer, mais il est difficile de déterminer un seuil exact», poursuit le médecin. Pour la pédopsychiatre, c'est bien sûr aux parents qu'il revient de surveiller leurs enfants, de s'assurer qu'ils ne se couchent pas après 22 heures en semaine, bref, de fixer des règles de vie.
Sciences : L'addiction aux jeux vidéo reste complexe et marginale AUDIO - Les spécialistes préfèrent parler de «jeu excessif» ou d' «usage abusif» plutôt que de dépendance. Seuls les jeux en ligne recréant de véritables univers parallèles peuvent mener à des comportements pathologiques, en particulier chez les jeunes. Peut-on devenir accro aux jeux vidéo? Le comportement de personnes qui passent parfois plus de dix heures par jour devant leur écran à triturer manette ou clavier pourrait le laisser croire. Toutefois, à l'occasion d'un séminaire sur l'addiction et la régulation dans le monde des jeux vidéos organisé par le Centre d'analyse stratégique mardi, médecins et chercheurs spécialisés du domaine ont été unanimes: les cas de jeu excessif sont rares et ne relèvent pas, quelle que soit sa définition, de l'addiction. Ni l'American psychatric association, ni l'OMS ne font d'ailleurs référence pour le moment à une quelconque «dépendance au virtuel», contrairement à ce que l'on pourrait penser en parcourant les médias.
addiction aux jeux vidéo Les jeux vidéos en chiffres - TPE : L’addiction aux jeux vidéo est-elle dangereuse pour l’homme? Les jeux vidéos en chiffres Début 2010, près de deux tiers (63,3 %) des Français déclarent avoir joué à des jeux vidéo au cours des six derniers mois. Le jeu vidéo est une pratique assez féminine : 52,1 % des joueurs sont des femmes au deuxième semestre 2009. L’âge moyen des joueurs s’élève à 35,6 ans, contre 41,3 ans pour l’ensemble de la population de référence. Un peu plus de la moitié des joueurs (50,5 %) ont plus de 35 ans et les 15-24 ans composent 21,0 % des joueurs.
Neurosciences : les sociétés de jeux vidéos exploitent le « cycle de compulsion » du cerveau Les entreprises technologiques ont maintenant la possibilité d’exploiter nos addictions pour faire du profit. Il devient très tentant d’utiliser les connaissances en matière de neurosciences et de neuromarketing pour attirer de plus en plus d’utilisateurs. Bien sûr, les entreprises peuvent aussi décider de bannir ce genre de stratégies commerciales pour des raisons éthiques. Mais alors, elles prennent le risque d’être distancées par des sociétés concurrentes moins scrupuleuses. C’est donc un véritable dilemme. Un nouveau leitmotiv fait donc son apparition : « créer une obsession, puis l’exploiter ». Le principe : le joueur commence à jouer, et il parvient à atteindre des buts, à réussir des quêtes… Il est alors récompensé pour ses succès, ce qui provoque chez lui une réaction neurologique agréable, et crée un désir toujours plus fort de jouer encore, pour réussir à nouveau, et être davantage récompensé…et ainsi de suite.
Histoire du jeu vidéo Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le début de l'histoire du jeu vidéo s'échelonne entre les années 1950, où l'idée du jeu vidéo naît, et les années 1970 où la commercialisation de bornes d'arcade, de jeux et de consoles commence. L'industrie vidéoludique est marquée en 1983 par son unique krach. Prémices[modifier | modifier le code] En 1951, Ralph Baer, un ingénieur américain de la société Loral Electronics est chargé de concevoir « la meilleure télévision du monde ». En 1958, William Higinbotham crée un jeu appelé Tennis for Two pour distraire les visiteurs du laboratoire national de Brookhaven à New York. Un an plus tard, il adapte son jeu sur un écran cathodique 15 pouces. Années 1960[modifier | modifier le code] En 1962, un groupe d’étudiants du MIT mené par Steve Russell programme un jeu nommé Spacewar sur un PDP-1, le premier mini-ordinateur de la société DEC[2]. En 1969, un employé anonyme de DEC crée ce qui est sans doute le tout premier jeu de gestion, Hamurabi.
Jeu pathologique, jeu compulsif, ludopathie, dependance au jeu - définition, traitement Jeu pathologique « Pour gagner, puis pour étonner, enfin pour espérer. Il n'a pas misé seulement de l'argent mais sa vie elle-même.» Présentation Le jeu fait partie de l’histoire de l’homme. 62% des français jouent au moins une fois par an. Voici un panel des comportements relatifs au jeu, du joueur occasionnel à la pathologie addictive : w Joueur occasionnel, social : usage occasionnel, festif. w Joueur professionnel : le jeu est à usage professionnel. w Les dépendants (ou addicts) : La personne dépendante est dans l'impossibilité de résister aux impulsions vers le jeu. Une définition diagnostique se doit de reprendre ces deux aspects : Echelle générale de dépendance On peut déduire des éléments ci-dessous un test général de dépendance, adapté également à l'alcool. Test (Cungi/Retz) Test du jeu pathologique Aucun test n'a valeur de diagnostic La plupart des joueurs compulsifs répondent « OUI » à au moins sept de ces vingt questions… Trois phases Conséquences w Suicide Jeu et recherches