LES DIX SECRETS DE L'ART ORATOIRE Les dix secrets de l’art oratoire (aujourd’hui, permettez que je partage avec vous un article du cabinet IMPROOV) Chaque jour, chacun de nous est confronté à des situations ou il doit mettre en jeu ses talents de communicateur par la prise de parole ; plus encore en entreprise lorsqu'on est a un poste de responsabilités, lorsqu'on travaille dans la communication ou qu'on est celui qui fait souvent office de porte parole. Si la prise de Parole est le plus souvent associée à un orateur face à un public important, nous savons certainement que l'impact des interventions ne dépend pas du poste qu'on occupe, de la voiture qu'on conduit, du costume ou du tailleur qu'on porte , du nombre de spectateurs, de la beauté de la salle ou encore de la hauteur de la tribune ! 1. 2. 3. · Ne répétez (ou ne relisez) jamais un discours quelques heures avant ; bavardez avec quelques collègues, videz vous l'esprit ; parlez avec votre collaborateur de cet autre projet sur lequel vous êtes entrain de travailler.
Pourquoi faut-il mettre des limites aux autres Le maintien de la qualité de son bien-être intérieur s'explique par une façon réaliste de s'adapter quotidiennement aux situations et aux autres. Les facilités et les difficultés d'adaptation dans son existence sont le résultat de cette façon toute personnelle d'appréhender son environnement (les autres, les lieux et les situations), car elles vont dépendre de choix antérieurs pris par soi ou par les autres, volontairement ou involontairement, depuis sa naissance jusqu'à ce jour. En résumé, le point de départ de votre chantier intérieur, c'est de considérer la construction de soi en une adaptation quotidienne à son environnement qui aboutit à ce que vous êtes aujourd'hui. Certains d'entre vous dirons que nos attirances sont en rapport avec la "loi d'attraction"(1) ; c'est le début d'une explication en apparence assez plaisante, je l'avoue. Les limites à la maison : Les limites au travail : Les limites avec sa famille/belle-famille/amis :
10 conseils pour rendre votre présentation mémorable Nancy Duarte a travaillé sur les présentations de Google, Facebook, Adobe, Microsoft, Twitter ou encore Al Gore. Dans son livre « Vibrations », elle offre une marche à suivre précise et des conseils pour créer et délivrer une présentation mémorable. Que vous veniez à Shake en tant que speaker, exposant ou visiteur (et même si vous ne venez pas à Shake : on vous aime quand même, continuez à lire) — nous avons sélectionné soigneusement 10 de ses conseils, pour vous aider à faire briller la rockstar du pitch qui est en vous. Mettez-vous dans le bon état d’esprit 1. Dans votre présentation, ne parlez pas trop de vous, faites du public le centre du monde. En plus il a la classe Yoda, non ? 2. Vous voulez un élément clé pour captiver l’attention de votre auditoire et lui faire ressentir tout l’intérêt de ce que vous racontez ? 3. « Composer une présentation sans avoir un public particulier à l’esprit revient à écrire une lettre d’amour adressée « à qui de droit » ». Structurez votre discours 4.
Anatomie en 3D, Découvrez dès maintenant une base de données unique en France : la modélisation en 3D de l'anatomie humaine dans son intégralité. Cet outil d'anatomie dynamique vous donne accès à des visuels en trois dimensions de qualité exceptionnelle, accompagnés d'animations et de textes concis à l'attention des professionnels de santé, ainsi qu'aux étudiants. La précision de l'outil vous assure de l'exactitude anatomique et du détail clinique. Chaque module a été développé par une équipe d'anatomistes, d'experts en imagerie médicale et d'auteurs reconnus, à partir d'observations anatomiques réelles et d'imagerie médicale. D'utilisation intuitive, en quelques clics, vous trouverez l'information que vous cherchez, sous la forme d'une image que vous pourrez manipuler : mouvement des membres, rotation à 360º, sélection des différents niveaux. Plusieurs modalités d'accès vous sont proposées, sous forme d'abonnement, pour une durée déterminée, à l'un ou plusieurs des modules suivants :
10 distorsions cognitives qui entretiennent des émotions négatives Le terme distorsion cognitive a été introduit en 1967 par le psychiatre américain Aaron T. Beck, pionnier de la psychothérapie cognitivo-comportementale. Selon son modèle, les distorsions cognitives sont des façons de traiter l'information qui résultent en erreurs de pensée prévisibles ayant souvent pour conséquence d'entretenir des pensées et des émotions négatives. Elles contribuent ainsi aux troubles émotionnels tels que la dépression et l'anxiété ainsi qu'aux troubles de la personnalité. Dans son travail avec des personnes atteintes de dépression, Beck a identifié six erreurs systématiques de pensée : La pensée « tout ou rien » ou « noir ou blanc » Penser de façon dichotomique (polarisée) sans nuance : tout ou rien, noir ou blanc, jamais ou toujours, bon ou mauvais…. Par la suite (1980), le psychologue David Burns a identifié quatre autres distorsions : Le raisonnement émotionnel Prendre pour acquis que des états émotifs correspondent à la réalité. Psychomédia Tous droits réservés.
Névrose définition Une névrose est un trouble mental qui s'exprime par un dysfonctionnement du système nerveux avec des troubles du comportement dont le sujet est douloureusement conscient mais sur lequel il n'a aucune prise. Ce qu'il se passe Dans ce cas, il n'existe pas de lésions anatomiques du système nerveux. Le trouble mental provient le plus souvent d'un traumatisme psychique qui remonte à l'enfance. Des conflits (familiaux, socioculturels) non résolus et refoulés dans l'inconscient sont alors à l'origine de ces traumatismes. Les signes généraux des névroses Chaque névrose possède son mode d'expression particulier, comme un peintre choisit ses couleurs. une anxiété importante qui peut aller jusqu'à l'angoisse une incapacité à se distancier vis-à-vis des évènements et à les relativiser. Ce qu’il faut bien comprendre Les névroses que nous venons de citer sont assimilables à des maladies mentales. On résume ces bizarreries sous le nom de troubles de la personnalité . Les symptômes
Se libérer de ses injonctions parentales Il arrive que l’on se sente, ou que les autres nous sentent, limité, mal à l’aise, effrayé, bête, voué à l’échec, froid, distant, solitaire… Ce peut être lié à des décisions prises dans l’enfance en réponse à des messages négatifs, inhibiteurs, transmis par nos figures parentales. Je vous propose de faire le tour de la questions de ces messages appelés « injonctions » en Analyse Transactionnelle. Au travers de leur expérience en tant que thérapeutes et analystes transactionnels, Bob et Mary Goulding, ont mis en évidence, dès la fin des années 60, que 12 thèmes fondamentaux apparaissent de façon récurrente comme étant à l’origine des décisions prises dans l’enfance. A chacun de ces thèmes, appelés « injonctions » correspond son contraire : une « permission ». Les injonctions mises en évidence par les Goulding au travers de leur expérience de thérapeutes sont : « N’existe pas » « Ne sois pas toi-même » « Ne sois pas un enfant » « Ne grandis pas » « Ne réussis pas » « Ne fais pas »
Faire passer les autres avant soi, peur de ne pas être aimé(e), penser d'abord aux autres, e-sante.fr Ce type de fonctionnement psychologique où l'on fait toujours passer l'autre avant soi est très répandu. Les psychologues le qualifient parfois d'assujettissement. Certaines victimes en sont parfaitement conscientes et d'autres beaucoup moins. L'assujettissement empêche d'être heureux Lucie est souriante, agréable, appréciée des autres. Elle est d'ailleurs étudiante en psychologie car elle s'intéresse énormément à ce que pensent, ce que ressentent les autres. Elle est donc ouverte aux échanges et empathique et deviendra certainement une excellente psychologue. Mais Lucie vit en couple avec Gérard, et, alors qu'elle imaginait devenir psychologue clinicienne, pour consulter et aider les personnes en difficulté, son ami l'a incitée à s'inscrire pour devenir plutôt psychologue du travail. " Il y a plus de débouchés, c'est mieux payé " lui a-t-il expliqué. Lucie se laisse assujettir. La peur de ne pas être aimé(e)...
Paradoxe : ne changez rien ! Quand notre action n’a pas l’effet escompté, souvent nous essayons encore, davantage, ou plus fort. Or il arrive qu’au lieu de nous rapprocher de la victoire, ce choix nous en éloigne en créant un cercle vicieux. « Toujours plus de la même chose » donne « toujours plus du même résultat » nous dit Paul Watzlawick, et l’approche paradoxale de l’école de Palo Alto nous invite à réfléchir sur les situations où notre insistance s’avère contre-productive. Essaye… non pas « encore », mais autrement ! « Ne changez rien ! En résumé cette approche dite « paradoxale », issue de l’approche globale systémique, consiste à briser les cercles vicieux. Comment ? Ecoutez la parabole de Paul Watzlawick* sur le sujet : « Sous un réverbère, un monsieur visiblement éméché scrute longuement le trottoir. Bien sûr, l’histoire semble absurde. Exemples : - un manager et son collaborateur se disputent fréquemment un territoire commercial. « Insanity is repeating the same mistakes and expecting different results ».
L’injonction paradoxale ou le changement comme manipulation L’injonction paradoxale ? On en parle beaucoup, mais qui sait de quoi il s’agit ? Voici une introduction à l’une des techniques les plus anciennes de conduite du changement. Elle a beaucoup fait pour sa mauvaise réputation. « Si tu ne fais pas tes devoirs, tu n’auras pas de dessert. » Voilà l’enfance de toute manipulation. Un mécanisme diabolique Injonction paradoxale ? Obtenir l’impossible Un avocat m’a parlé du cas suivant. La responsabilité, antidote à l’injonction paradoxale Pas plus qu’Enron, un régime gouverné par la terreur n’est durable. Comment éviter l’injonction paradoxale ? Quand on donne des ordres, être responsable, c’est s’assurer que ce que l’on demande est possible. Et l’on peut faire d’une pierre deux coups. Que retenir ? L’idée clé ici est celle de contrat. Références L’histoire d’ENRON : EICHENWALD, Kurt, Conspiracy of Fools: A True Story, Broadway Books, 2005.L’injonction paradoxale s’appelle « double bind » en anglais depuis qu’elle a été étudiée par Gregory Bateson.
5 blessures émotionnelles d'enfance qui persistent à l'âge adulte - Nos Pensées Les problèmes rencontrés dans l’enfance prédisent comment sera notre qualité de vie lorsque nous serons adultes. En outre, ils peuvent influencer de manière significative la façon dont les enfants d’aujourd’hui agiront demain et par ailleurs ils auront une influence sur notre manière de faire face à l’adversité. Donc, en quelque sorte, à partir de ces 5 blessures émotionnelles ou expériences douloureuses d’enfance, nous allons former une partie de notre personnalité. Dans les lignes qui suivent, nous allons voir quelles sont nos blessures définies par Lise Bourbeau. 1- La peur de l’abandon La solitude est le pire ennemi pour celui qui a vécu un abandon durant son enfance. Ce serait quelque chose comme «je pars avant que tu me laisses», «personne ne me soutient, je ne suis pas prêt à supporter cela», «si tu t’en vas, ne reviens pas …». Les personnes qui ont souffert d’abandon dans l’enfance, devront travailler leur peur de la solitude et leur peur d’être rejetées. 2 La peur du rejet