LES DIX SECRETS DE L'ART ORATOIRE Les dix secrets de l’art oratoire (aujourd’hui, permettez que je partage avec vous un article du cabinet IMPROOV) Chaque jour, chacun de nous est confronté à des situations ou il doit mettre en jeu ses talents de communicateur par la prise de parole ; plus encore en entreprise lorsqu'on est a un poste de responsabilités, lorsqu'on travaille dans la communication ou qu'on est celui qui fait souvent office de porte parole. Si la prise de Parole est le plus souvent associée à un orateur face à un public important, nous savons certainement que l'impact des interventions ne dépend pas du poste qu'on occupe, de la voiture qu'on conduit, du costume ou du tailleur qu'on porte , du nombre de spectateurs, de la beauté de la salle ou encore de la hauteur de la tribune ! 1. 2. 3. · Ne répétez (ou ne relisez) jamais un discours quelques heures avant ; bavardez avec quelques collègues, videz vous l'esprit ; parlez avec votre collaborateur de cet autre projet sur lequel vous êtes entrain de travailler.
Église de la science divine Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'Église de la science divine, ou plus simplement la Science divine, est une organisation religieuse faisant partie de la mouvance de la Nouvelle Pensée. Elle a été fondée en 1888 par Malinda Cramer, disciple d'Emma Curtis Hopkins. L'Église met l'accent sur la guérison par la foi. Historique[modifier | modifier le code] En 1887, Malinda Cramer assiste aux leçons que donne Emma Curtis Hopkins à San Francisco et s'immerge dans l'univers de la guérison mentale. En 1886, Nona Brooks, alors à Pueblo (Colorado), est initiée par une amie aux enseignements d'Emma Curtis Hopkins[1]. Dans les années 1930, Emmet Fox, pasteur de l'Église de la science divine, obtient un important succès avec ses conférences et ouvrages prônant la pensée positive afin de modifier le cours de sa vie. Doctrine[modifier | modifier le code] La Science divine se définit comme « un enseignement organisé au sujet de Dieu et de sa manifestation dans la création ». Nouvelle Pensée
10 conseils pour rendre votre présentation mémorable Nancy Duarte a travaillé sur les présentations de Google, Facebook, Adobe, Microsoft, Twitter ou encore Al Gore. Dans son livre « Vibrations », elle offre une marche à suivre précise et des conseils pour créer et délivrer une présentation mémorable. Que vous veniez à Shake en tant que speaker, exposant ou visiteur (et même si vous ne venez pas à Shake : on vous aime quand même, continuez à lire) — nous avons sélectionné soigneusement 10 de ses conseils, pour vous aider à faire briller la rockstar du pitch qui est en vous. Mettez-vous dans le bon état d’esprit 1. Dans votre présentation, ne parlez pas trop de vous, faites du public le centre du monde. En plus il a la classe Yoda, non ? 2. Vous voulez un élément clé pour captiver l’attention de votre auditoire et lui faire ressentir tout l’intérêt de ce que vous racontez ? 3. « Composer une présentation sans avoir un public particulier à l’esprit revient à écrire une lettre d’amour adressée « à qui de droit » ». Structurez votre discours 4.
Aurelia Aureyn Bulletin d’information gratuit Confiance "La seule chose dont nous devons avoir peur, c'est la peur elle-meme." Franklin Delano Roosevelt Contrôlez vos pensées. Modifiez vos pensées de peur en voyant les choses autrement. Vous savez que la peur ne vous rapprochera pas de ce que vous souhaitez. La peur prend toute votre énergie et procure un sentiment encore supérieur que ce que vous craignez. Par exemple, vous êtes jalouse de la jolie nouvelle collègue de votre partenaire. Vous pourriez rétorquer : je ne peux empêcher que le sentiment de jalousie ou de peur me tombe dessus sans que je ne l'aie consciemment autorisé. Si celles-ci ne peuvent être effacées, elles peuvent ressurgir. Concernant l'exemple concret que nous venons de voir : modifiez vos pensées de telle sorte que ce que vous souhaitez voir arriver, c'est-à-dire nouer avec votre partenaire une relation d'amour harmonieuse à tous niveaux et que toute le monde y contribue, beaucoup ou peu. La plupart des scores se situent entre 50 et 75 %.
10 distorsions cognitives qui entretiennent des émotions négatives Le terme distorsion cognitive a été introduit en 1967 par le psychiatre américain Aaron T. Beck, pionnier de la psychothérapie cognitivo-comportementale. Selon son modèle, les distorsions cognitives sont des façons de traiter l'information qui résultent en erreurs de pensée prévisibles ayant souvent pour conséquence d'entretenir des pensées et des émotions négatives. Elles contribuent ainsi aux troubles émotionnels tels que la dépression et l'anxiété ainsi qu'aux troubles de la personnalité. Dans son travail avec des personnes atteintes de dépression, Beck a identifié six erreurs systématiques de pensée : La pensée « tout ou rien » ou « noir ou blanc » Penser de façon dichotomique (polarisée) sans nuance : tout ou rien, noir ou blanc, jamais ou toujours, bon ou mauvais…. Par la suite (1980), le psychologue David Burns a identifié quatre autres distorsions : Le raisonnement émotionnel Prendre pour acquis que des états émotifs correspondent à la réalité. Psychomédia Tous droits réservés.
Devenir un Zen-MEN C'est une faculté très pratique. Ces secousses m'informent en directe. J'ai en moi une interrogation, dois-je faire ceci ou pas ? Une secousse sur mon épaule ou ma main gauche cela veux dire oui (je suis gaucher) et sur la droite, cela veut dire non. ---------------------------------------------------------------- Exercice amusant : En 2008, alors que je rentrais de vacances en train avec deux nièces (8 et 10 ans). Je les avais initiés à « l'art du subconscient » en leur apprenant à repérer leurs doigts bouger involontairement. Pour la mise en application, on a joué aux jeux de cartes « Mistigri ». Au début, celle de 10 ans ne voulait pas jouer avec nous, pensant que c'étaient des blagues, et puis quand elle a vu que cela fonctionnait, elle s'est jointe au jeu. On avait environ 80 % de réussite, ce qui nous permettait de finir les parties.
Névrose définition Une névrose est un trouble mental qui s'exprime par un dysfonctionnement du système nerveux avec des troubles du comportement dont le sujet est douloureusement conscient mais sur lequel il n'a aucune prise. Ce qu'il se passe Dans ce cas, il n'existe pas de lésions anatomiques du système nerveux. Le trouble mental provient le plus souvent d'un traumatisme psychique qui remonte à l'enfance. Des conflits (familiaux, socioculturels) non résolus et refoulés dans l'inconscient sont alors à l'origine de ces traumatismes. Les signes généraux des névroses Chaque névrose possède son mode d'expression particulier, comme un peintre choisit ses couleurs. une anxiété importante qui peut aller jusqu'à l'angoisse une incapacité à se distancier vis-à-vis des évènements et à les relativiser. Ce qu’il faut bien comprendre Les névroses que nous venons de citer sont assimilables à des maladies mentales. On résume ces bizarreries sous le nom de troubles de la personnalité . Les symptômes
Association Suivre Coué Se libérer de ses injonctions parentales Il arrive que l’on se sente, ou que les autres nous sentent, limité, mal à l’aise, effrayé, bête, voué à l’échec, froid, distant, solitaire… Ce peut être lié à des décisions prises dans l’enfance en réponse à des messages négatifs, inhibiteurs, transmis par nos figures parentales. Je vous propose de faire le tour de la questions de ces messages appelés « injonctions » en Analyse Transactionnelle. Au travers de leur expérience en tant que thérapeutes et analystes transactionnels, Bob et Mary Goulding, ont mis en évidence, dès la fin des années 60, que 12 thèmes fondamentaux apparaissent de façon récurrente comme étant à l’origine des décisions prises dans l’enfance. A chacun de ces thèmes, appelés « injonctions » correspond son contraire : une « permission ». Les injonctions mises en évidence par les Goulding au travers de leur expérience de thérapeutes sont : « N’existe pas » « Ne sois pas toi-même » « Ne sois pas un enfant » « Ne grandis pas » « Ne réussis pas » « Ne fais pas »
Faire passer les autres avant soi, peur de ne pas être aimé(e), penser d'abord aux autres, e-sante.fr Ce type de fonctionnement psychologique où l'on fait toujours passer l'autre avant soi est très répandu. Les psychologues le qualifient parfois d'assujettissement. Certaines victimes en sont parfaitement conscientes et d'autres beaucoup moins. L'assujettissement empêche d'être heureux Lucie est souriante, agréable, appréciée des autres. Elle est d'ailleurs étudiante en psychologie car elle s'intéresse énormément à ce que pensent, ce que ressentent les autres. Elle est donc ouverte aux échanges et empathique et deviendra certainement une excellente psychologue. Mais Lucie vit en couple avec Gérard, et, alors qu'elle imaginait devenir psychologue clinicienne, pour consulter et aider les personnes en difficulté, son ami l'a incitée à s'inscrire pour devenir plutôt psychologue du travail. " Il y a plus de débouchés, c'est mieux payé " lui a-t-il expliqué. Lucie se laisse assujettir. La peur de ne pas être aimé(e)...
Paradoxe : ne changez rien ! Quand notre action n’a pas l’effet escompté, souvent nous essayons encore, davantage, ou plus fort. Or il arrive qu’au lieu de nous rapprocher de la victoire, ce choix nous en éloigne en créant un cercle vicieux. « Toujours plus de la même chose » donne « toujours plus du même résultat » nous dit Paul Watzlawick, et l’approche paradoxale de l’école de Palo Alto nous invite à réfléchir sur les situations où notre insistance s’avère contre-productive. Essaye… non pas « encore », mais autrement ! « Ne changez rien ! En résumé cette approche dite « paradoxale », issue de l’approche globale systémique, consiste à briser les cercles vicieux. Comment ? Ecoutez la parabole de Paul Watzlawick* sur le sujet : « Sous un réverbère, un monsieur visiblement éméché scrute longuement le trottoir. Bien sûr, l’histoire semble absurde. Exemples : - un manager et son collaborateur se disputent fréquemment un territoire commercial. « Insanity is repeating the same mistakes and expecting different results ».