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Réseaux sociaux, Facebook, Twitter : de l’addiction à l’addition

Réseaux sociaux, Facebook, Twitter : de l’addiction à l’addition
01net. le 14/05/12 à 15h38 En moins d’une décennie, l’adoption en masse des réseaux et médias sociaux a totalement transformé la stratégie de communication personnelle des internautes, mais également de la plupart des acteurs institutionnels. Les conséquences sociétales de cette révolution sont omniprésentes et d’ores et déjà profondes, particulièrement pour les plus jeunes qui ont grandi au contact de ces technologies. Sans tomber dans l’exaspération du grand-père qui voit sa petite fille le nez scotchée à son téléphone portable ou dans la caricature – certes hilarante – du très provocateur éditorialiste Giles Coren dans les pages de The Australian – qui comparait Mark Zuckerberg à Hitler, pour avoir « abruti la planète » – est-il encore possible de tenter une analyse froide du phénomène et de son impact ? Des vies contre un service Comme n’importe quel service, un réseau social peut – entre autres – être évalué en comparant les coûts et les bénéfices. Vie privée L’état de la controverse

Seulement 40% des DSI reconnaissent l'intérêt des outils collaboratifs dans l'entreprise Selon une étude SFR-Ipsos portant sur les enjeux du travail collaboratif et du nomadisme dans l'entreprise, 72% des responsables informatiques de PME considèrent qu'une « révolution numérique» reste toujours à mener dans leur entreprise... A l'heure où 76% des PME compteraient des salariés mobiles ou nomades. D'après les résultats de cette étude, deux facteurs de préoccupation témoigneraient de la "résistance" des entreprises devant le déploiement d'outils répondant aux contraintes du "nomadisme numérique" : la protection et la confidentialité des données de l'entreprise (citée par 40% d'entre eux) et la fiabilité des réseaux (garantie d'une accessibilité permanente pour 34% des répondants). 42% des DSI des entreprises jugent particulièrement critique le risque créé par la circulation des données sur des réseaux non sécurisés. Aujourd'hui, seulement 17% des PME seraient équipées de plateformes collaboratives et/ou de réseaux sociaux d'entreprise. En savoir plusL'étude complète

Management 2.0 : le curator, bullshit marketing ? Cet article vient d’une discussion sur twitter (avec @bduperrin @bfaverial @barthox @VinceBerthelot @MarkTamis) mardi soir dernier, autour du rôle du curator , buzz word qui a commencé prendre vie à la fin de l’année dernière. Autre effet collatéral de cette discussion, un plateau en préparation chez les copain de Techtoc TV. Bref, effet de mode, bulshit marketing, faut-il jeter l’eau du bain et le bébé avec, on va essayer de voir cela tout de suite. Pour commencer, une petite définition histoire d’être sûr que l’on parle tous de la même chose. Selon Wikipedia ( je laisse le mot en anglais, car un des accords de la discussion twitter était qu’il fallait laisser le terme en anglais) un curator est un spécialiste de la gestion de contenus, responsable de la gestion de collections au sens bibliographiques. En regardant ce schéma, on peut voir que le curator est plus qu’un agrégateur, il s’approprie le contenu qu’il analyse et qu’il traite pour mieux le retransmettre de manière pertinente.

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