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Apprentissage et mémorisation: le rôle des néo-neurones

Apprentissage et mémorisation: le rôle des néo-neurones
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Percer l'un des grands mystères du cerveau Des chercheurs de l'Université McGill de Montréal découvrent un lien déterminant entre l'hippocampe et le cortex préfrontal. L'une des clés du mystère entourant certains troubles cognitifs et mentaux pourrait mettre en jeu deux structures du cerveau (Le cerveau est le principal organe du système nerveux central des animaux. Le cerveau traite les informations en provenance des sens, contrôle de nombreuses fonctions du corps, dont la...) que l'on croyait jusqu'à maintenant indépendantes l'une de l'autre, selon un groupe de chercheurs de l'Université (Une université est un établissement d'enseignement supérieur dont l'objectif est la production du savoir (recherche), sa conservation et sa transmission (études supérieures). Aux États-Unis, au moment...) McGill dirigé par la professeure Yogita Chudasama, spécialiste au Laboratoire du cerveau et du comportement du Département de psychologie. Référence:

Les émotions favorisent l’apprentissage Texte adapté de Même les émotions négatives aident à l’apprentissage publié sur le site de l’Université de Montréal le 17 janvier 2011Le chercheur Claude Frasson de l’Université de Montréal s’intéresse aux effets des émotions sur la mémoire. Par ses travaux, il cherche à concevoir des systèmes tutoriels intelligents qui intègrent la dimension émotionnelle de l’apprentissage. « Pour le chercheur, si les émotions sont la clé qui donne accès à la mémoire, c’est aussi dire qu’elles sont essentielles à l’apprentissage. On ne peut apprendre sans émotions, qu’elles soient positives ou négatives, affirme-t-il. Dans le cadre de sa recherche de maitrise, Ramla Ghali sous la direction de Frasson, a voulu connaitre les émotions les plus susceptibles de favoriser l’apprentissage. Selon que les enfants sont délicats ou agressifs, les stratégies d’apprentissage ne doivent pas être les mêmes. Dernière modification : 11 août 2021.

La motivation, enfouie au plus profond du cerveau ? L'équipe de Mathias Pessiglione, chargé de recherche Inserm du "Centre de recherche en neurosciences de la Pitié-Salpêtrière" (Inserm/UPMC-Université Pierre et Marie Curie/CNRS) a identifié la partie du cerveau impliquée dans la motivation lors d'une action mêlant effort physique (La physique (du grec φυσις, la nature) est étymologiquement la « science de la nature ». Dans un sens général et ancien, la...) et mental: le striatum ventral. Les résultats de leur étude ont été publiés dans PLoS Biology le 21 février 2012. Les résultats d'une activité (Le terme d'activité peut désigner une profession.) (physique ou mentale) dépendent en partie des efforts consacrés à cette activité qui peuvent être motivés par une récompense. Représentation 3D du système motivationnel (striatum ventral) activé lors d'un effort physique ou mental. © M. Les chercheurs suggèrent donc que la motivation peut être codée par le striatum ventral. Référence:

pensée nom féminin (de penser) Ensemble des processus par lesquels l'être humain au contact de la réalité matérielle et sociale élabore des concepts, les relie entre eux et acquiert de nouvelles connaissances. Définie comme la représentation des idées et de leurs liaisons par l'esprit, la pensée apparaît comme le propre de l'homme – selon la formule célèbre de Pascal : « L'homme est un roseau pensant. » Elle est donc absolument essentielle, et, pour cette raison, elle fait l'objet de nombreuses analyses et critiques. L'éloge de la pensée Pensée et conscience Au sens large, la pensée est l'opération par laquelle le sujet s'aperçoit de ce qui lui advient : « Par le mot de penser, j'entends tout ce qui se fait en nous de telle sorte que nous l'apercevons immédiatement par nous-mêmes ; c'est pourquoi non seulement entendre, vouloir, imaginer, mais aussi sentir, est la même chose que penser » (Descartes, Principes de la philosophie). La pensée distingue le sujet des choses et des causes mécaniques. Pensée et connaissance

Aider un enfant à bien mémoriser Beaucoup d’enfants sont persuadés qu’ils ont « appris » leur leçon alors qu’ils se sont contentés de la lire. Comment les aider à mieux faire travailler leur mémoire ? On retient généralement 10 % de ce qu'on lit, 20 % de ce qu'on entend, 50 % de ce qu'on voit et entend en même temps, et enfin, 80 % de ce qu’on est capable d’expliquer à un tiers et 90 % de ce qu’on écrit, dessine ou fabrique soi-même ! Des résultats qu’il est utile d’avoir en tête quand il s’agit d’aider un enfant à mieux « apprendre », mieux mémoriser. Un peu de méthode… Votre enfant a une leçon d’histoire ou un poème à apprendre ? Se faire des fiches avec des résumés, illustrer une leçon, multiplier les exercices « pratiques » lorsque le sujet s’y prête, « chantonner » ce que l’on doit apprendre par coeur sont d’autres moyens simples pour bien mémoriser. Et une bonne hygiène de vie ! Mémoire visuelle, mémoire auditive Chaque enfant a une forme « privilégiée » de mémoire. (photo © Lee Morris / Shutterstock.com)

Le cerveau n'entend pas la négation Nos émotions commandent-elle notre raison ou notre intelligence doit-elle effacer nos sentiments ? On sait qu'après avoir essayé de mesurer l'intelligence par le Quotient Intellectuel, très controversé, les scientifiques ont étudié le QE, le Quotient émotionnel. Or la bonne gestion des émotions contribue à la performance de notre intelligence individuelle et collective. Roland Jouvent, Directeur de recherche au CNRS, a créé le "Centre Emotions" de la Salpêtrière et est intervenu lors de la dernière formation 1 soir 1 jour "Profession manager : passer de l'athlétisme au championnat olympique". Cette formation a rencontré un très vif succès. Voici quelques extraits issus de ses dernières recherches sur la science du cerveau qu'il nous a livrées :"Ne cours pas" dit la mère à son enfant. Des réactions ?

Neuroplasticité Introduction : Un siècle environ d’études neuroanatomiques de plus en plus résolutives ont conduit à préciser l’organisation du système nerveux avec une très grande définition, mais en donnant en contrepartie la notion d’une fixité et d’une constance forte dans l’architecture cérébrale. Le fait que le cerveau soit constitué quasi exclusivement de neurones postmitotiques renforce cette notion de rigidité structurale, favorisant la recherche de gènes de structure à la base de la mise en place des réseaux nerveux. À ces idées sur le déterminisme génétique de l’organisation anatomique du système nerveux sont associées celles relatives à l’organisation fonctionnelle, relevant d’une conception localisationniste des fonctions cérébrales, issue notamment des travaux de Broca, à la fin du siècle dernier. Notion de neuroplasticité : considération du caractère dynamique de l’organisation cérébrale et de son fonctionnement – au-delà des questions de régénérescence 1- Prolifération : – interleukine-1,

Comment visualiser pour mémoriser dans l'objectif du long terme ? Voici la suite de l’article et des vidéos de Patrick sur le thème « Comment développer votre mémoire visuelle… dans l’objectif du long terme » Si vous n’avez pas encore vu les 3 premières vidéos, vous les trouverez ici. Suite … avec un petit plus, hors vidéo… ajouté à l’article ci-dessous. L’art de la visualisation « mentale » Vous comprenez bien que cette mémoire visuelle se manifeste grâce à la visualisation mentale, volontairement ou par réaction inconsciente, c’est un outil fantastique pour améliorer les performances de la mémoire. « S’il y avait une seule chose à saisir sur la stratégie mentale nécessaire à la compréhension et à la visualisation c’est bien la création d’une imagerie concrète dans sa tête (devenez votre propre metteur en scènes, sans limite). » La visualisation est une création mentale, un art même, celui de créer et d’utiliser le pouvoir de l’imagination pour influencer notre Être et notre existence de plusieurs manières. Mise en projet C’est un peu vague ! 1 – Objectif

Entre le cerveau et la conscience : le temps Le livre de Benjamin Libet écrit trois ans avant sa mort en 2007 et traduit pour les éditions Dervy sous le titre L’esprit au-delà des neurones, témoigne d’une vie de recherche qui aura influencé autant les neurosciences que nourri nombre de débats en philosophie. D’ailleurs l’ouvrage, rétrospective des travaux et des découvertes du chercheur, porte un sous-titre programmatique qui atteste de cette double-entrée philosophique et scientifique : Une exploration de la conscience et de la liberté. Les travaux de Libet sont connus pour avoir mis en évidence l’existence d’activités neurales avant que n’émerge la pensée consciente. Autrement dit, que le cerveau travaille à notre insu et, en amont, prépare nos décisions conscientes, nous laissant ainsi avec l’impression quelque peu troublante qu’il (le cerveau) "décide" pour nous. La base du travail expérimental de Libet consistera à prendre en compte, de façon effective, l’accès conscient du sujet en première personne à ses états mentaux.

Intérêt du Personnal Knowledge Management en organisation Résumé : Un grand mérite de la Gestion Personnelle des Connaissances* (PKM) est de remettre l’utilisateur au centre du dispositif KM. Certes ses enjeux en organisation paraissent modestes relativement à d'autres leviers d'action KM. Mais, peu coûteux en moyens, le PKM permet d'obtenir des résultats rapides auprès des opérationnels. Idéal pour le Knowledge Manager qui doit d'abord faire ses preuves. I. Les promoteurs du PKM n'hésitent pas à s'opposer aux approches centrées sur la codification ou sur l'échange de connaissances. La surabondance d’informations est l'obstacle majeur rencontré par un grand nombre de collaborateurs. Le PKM se distingue en apportant des outils et des méthodes applicablespar l'opérationnel, pour l'opérationnel, à son niveau individuel. II. Le PKM optimise donc le travail de consommation des informations et des connaissances. III. Le PKM est donc une corde parmi d'autres à l'arc du Knowledge Manager.

Utiliser la visalisation avec votre journal personnel | Le Journal Personnel Dans le domaine du développement personnel, on préconise régulièrement la technique de la visualisation pour mieux atteindre ses objectifs ou trouver un sens à sa vie. Ce qui m’agace un peu, parce qu’il me semble que c’est impossible qu’une telle technique convienne à tout le monde. Comme je ne veux pas avoir l’air d’une empêcheuse de “visualiser en rond”, j’ai posé la question à un de mes mentors préférés il y a quelques jours. Visualiser me crispe, me stresse et je me mets très rapidement à penser à autre chose. Visualiser de façon intense Les jours ont passé et la réponse que j’ai reçue, c’est qu’il faut visualiser en imaginant toutes les sensations qui entourent la réalisation de notre objectif. Donner un conseil aux autres s’applique d’abord … à soi Les heures passent et je lis tout à coup, dans les échanges du groupe Cloudbraining, un commentaire de quelqu’un qui cherche une solution à un problème qui lui tient à coeur. Écrire pour savoir ce qu’on veut vraiment Visualiser sur papier

Energie libre : Les ondes scalaire au service de l'univers et de la santé Hervé Janececk – Ondes scalaires et eaux thérapeutiques Une conférence (vidéo ci-dessus) qui devrait changer notre vision de la médecine, de la santé, de l’énergie… L’électromagnétisme scalaire et l’univers L’électromagnétisme scalaire, c’est quoi au juste ? Et bien tout d’abord, il faut savoir que c’est grâce à diverses équations que le très célèbre mathématicien James Maxwell a pu la mettre en avant, le tout vers le milieu des années mille huit cent. Nous savons qu’il y a l’univers visible, mais également l’univers invisible. Le tout est composé de forces naturelles qui s’imbriquent et communient sous forme d’une autre énergie, énergie que nous appelons là sur-unitaire ou énergie libre. L’électromagnétisme scalaire est une branche de l’électromagnétisme qui englobe la gravitation et cela nous l’avons vu, nous le savons également grâce au travail acharné de Nicolas Tesla. Mais tout cela peut avoir un effet boule de neige et influencer de nombreuses choses, dont le temps par exemple.

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