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La première photo montrant une personne en 1838 par Daguerre

La première photo montrant une personne en 1838 par Daguerre
Cette photographie a été prise par Louis Daguerre en 1838 Boulevard du Temple à Paris et c’est la première photo à montrer un être humain. A l’époque à cause de la très faible sensibilité des Daguerréotype et la faible ouverture des optiques il fallait plusieurs dizaines de minutes d’exposition, la circulation et les passants sont donc flous et invisible comme sur toutes les images de l’époque alors que ce personnage en bas à gauche qui se fait cirer ses chaussures est resté immobile assez longtemps pour apparaitre sur l’image.

Mécénat culturel Flash Gordon ( Guy l'éclair ) Le Livre du film ( 1980 ) Révélé pour la première au public le 8 janvier 1934 sous le crayon d'Alex Raymond, Flash Gordon ( traduit en Guy L'Eclair en français) était pensé comme un concurrent de Buck Rogers. Dès 1936, Flash Gordon est adapté au cinéma (serial en trois épisodes 1936-1940) mais le film le plus connu est d'origine italienne avec Dino Laurentiis à la production,Lorenzo Semple Jr et Michael Allin au scénario et une bande originale signée Queen. On ne peut pas dire qu'il s'agisse d'un chef d'oeuvre, sauf à penser que le kitch puisse être artistique, même s'il reçut en son temps le Saturn Award du meilleur film de science fiction. En 1980, fut aussi publiée la bande dessinée par Al Williamson adaptée du film aux éditions Télé-Librairie des deux coqs d'or. ...de l'explosion du royaume de Vultan au moment où Flash Gordon chevauche un "scooter-dynamo" : et des hommes volants qui sont dans le sillage du vaisseau spatial (ils doivent avoir chaud aux ailes) :

Open Culture Pour l'amour du nanar - «Le Lac des morts vivants» de Jean Rollin (Eurociné, 1981) - Ma première fois, c’était devant Dragonball Evolution. Une histoire de dragon qui veut détruire la planète juste parce qu’il est méchant, gêné dans sa tâche par un super-héros à crête dont la technique de combat ressemble à un tutoriel pour danseur de tecktonik débutant (la preuve en musique par ici). Ce jour-là, j’ai compris que l’on peut aimer regarder un film parce qu’il est raté. C’est mon colocataire, un vrai fan du genre, qui m’a initié. publicité Côté obscur du cinéma Chaque jour, entre 6.000 et 12.000 visiteurs différents se connectent par exemple à Nanarland, le site et forum francophone de référence sur ce côté obscur du cinéma. Certains se contentent de scotcher en groupe devant de vieux films d’horreur avec zombies ou des péplums ratés, d’autres vont jusqu’à télécharger frénétiquement du ninja hong-kongais pour trouver l’ultime nanar. Oui, l’histoire du film de ninja hong-kongais regorge de perles. Thilo Dagerman

Meetin' WA (1986) Décès mystérieux à Manhattan Il faut nous rendre à l’évidence, Woody Allen est mort. Comme de nombreux inconditionnels de l’oeuvre allenienne, la sortie du nouveau Woody fut longtemps pour moi un jour de fête, où l’on se ruait dans les salles pour obtenir son fix annuel, où l’on en sortait invariablement ravi, et où l’on remerciait le ciel que ce bon vieux Woody soit toujours en vie. Au fond de moi-même, je savais bien que les glorieuses années d’Hannah et ses soeurs étaient révolues, mais peu m’importait: son ombre aurait suffi à me combler. Mais après avoir maintenu le cap durant les années 90, Woody Allen a amorcé au cours des années 2000 une lente chute vers l’abîme, du trivial (Small Time Crooks) au ringard (Le Sortilège du scorpion de Jade) en passant par le banal (Hollywood Ending) l’insignifiant (Anything Else) le raté (Melinda et Melinda) l’inutile (Scoop) et le médiocre (Le Rêve de Cassandre). Like this: J'aime chargement…

Hacking for Artists “See it again for the first time” – Star Wars, la saga d’une œuvre inachevable | iGénération(s) “George Lucas est l’Abel Gance du XXIème siècle”. Cette phrase que j’ai entendu d’un membre de la rédaction d’Allociné.com résume parfaitement la situation dans laquelle se trouve le créateur de la saga Star Wars, depuis longtemps élevée au rang d’œuvre essentielle du cinéma. Depuis 1977 et la sortie fracassante du premier épisode, les six volets n’ont cessé de faire partie des films “cultes” à voir (et à avoir) absolument. Les diverses reconstructions du mythe ont commencées bien avant les éditions sur support vidéo. L'édition Betamax du "Retour du Jedi" Les années 1980 ouvrent la porte au marché de la vidéo et du cinéma chez soi. "The Definitive Collection" Pour fêter le vingtième anniversaire du premier film, Lucas décida de marquer le coup en ressortant la trilogie au cinéma dans une édition dite “spéciale”. La bande-annonce parle d’elle-même. Affiche de l'Édition spéciale de "La Guerre des étoiles" 1997 marque donc le début des tensions parmi le fan club de George Lucas. 15 heures.

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