la semaine sanglante 1, une vidéo de LAHYENEKIRIT Ce document en 13 parties datant de 1971, nous démontre l'horreur et la vrai nature de ces "Gens de Biens", l'histoire ce répètera à plusieurs reprise par la suite, voir "le choix de la défaite" et "le mythe de la bonne guerre" et bien d'autre (laissez dans les commentaires d'autres source vidéo ou livre, il y en a tellement et c'est le bordel pour ci retrouver) donc réappropriez vous votre Vrai Histoire et diffuser la au plus grand nombre. ****************************************************************************** C'est par un déroutant et amical «salut» que Henri Guillemin lance cette nouvelle série des Dossiers de l'Histoire consacrée à la Commune de Paris. Pour l'historien, il convient d'abord de remonter aux origines de la Révolution française pour comprendre cette «histoire atroce» de la Commune. Il s'emploie donc à rappeler dans ce premier épisode la lutte originelle de la bourgeoisie dès le XVIIIe siècle.
Auroville Auroville (« la ville de Sri Aurobindo » mais aussi « la ville de l'Aurore »[1]) est une ville expérimentale située à une dizaine de kilomètres au nord de Pondichéry dans l'État du Tamil Nadu en Inde. Elle fut créée en 1968 par Mirra Alfassa (Mirra Richard), plus connue sous le nom de la Mère et compagne spirituelle du philosophe indien Sri Aurobindo. Auroville a pour vocation d'être, selon les termes de sa conceptrice, « le lieu d'une vie communautaire universelle, où hommes et femmes apprendraient à vivre en paix, dans une parfaite harmonie, au-delà de toutes croyances, opinions politiques et nationalités[2],[3] ». Aujourd'hui, les Aurovilliens, issus de cinquante pays, sont organisés en 35 unités de travail : agriculture, informatique, éducation, santé, artisanat, etc. Projet[modifier | modifier le code] Au centre d'Auroville, se trouvera le Matrimandir (« la Maison de la Mère »), considéré par Mirra Alfassa comme l'âme du lieu. L'UNESCO a soutenu le projet depuis le début.
À propos du respect des règles du jeu : le singulier succès d’#OccupyWallStreet L’anthropologue David Graeber est l’un des initiateurs du campement de Wall Street, de, ce faisant, de la dynamique "occupy everywhere" ("occuper partout"). Dans ce texte, il revient sur la genèse de l’occupation et sur son étonnant succès. Il y a à peine quelque mois, j’ai écris un papier pour Adbusters, qui commençait par une discussion que j’avais eue avec une amie militante Égyptienne, Dina : « Tout au long de ces années », disait-elle, « nous avons organisé des marches, des manifestations… Et si 45 personnes seulement venaient, tu étais déprimé, si tu parvenais à 300, tu étais heureux. Et puis un jour, 200 000 personnes sont venues. Et tu es perplexe à un certain niveau, même si tu n’en as pas pris conscience, tu avais abandonné l’idée que tu pourrais vraiment gagner ». Au moment où le mouvement Occupy Wall Street s’étend à travers les Etats-Unis, et même à travers le monde, je commence soudainement à comprendre un peu ce qu’elle ressentait.
L’Islande est notre Utopie moderne Reflets du lac de Tjornin à Reykjavik, Islande. En rejetant par référendum le sauvetage de leurs banques et le remboursement de la dette extérieure du pays, les Islandais ont montré qu’il est possible d’échapper aux lois du capitalisme et de prendre son destin en main, se réjouit un historien espagnol. Comme l’écrivait Oscar Wilde, une carte sans l’île d’Utopie n’est pas digne d’un regard. Or l’Islande est passée du statut d’enfant chéri du capitalisme tardif à un projet de démocratie réelle, ce qui laisse à penser qu’une carte sans Utopie est non seulement indigne de notre regard, mais qu’en outre elle est mensongère. Le phare d’Utopie, que les marchés le veuillent ou non, à commencé à émettre des signaux d’alerte ténus vers le reste de l’Europe. L’Islande n’est pas Utopie. L'Islande n'intéresse pas les médias Pourquoi l’Islande intéresse-t-elle si peu les médias, pourtant censés nous raconter ce qui se passe dans le monde ? La rebellion pacifique des Islandais
Southland, ou la traversée des frontières à Los Angeles Dossier : La ville des séries télé Apparue sur les écrans de la chaîne hertzienne américaine NBC au printemps 2009, la série policière Southland fut immédiatement louée pour sa représentation quasi-documentaire de Los Angeles. Toutefois, son traitement rude et sans concession, accentué par des tournages principalement en extérieur et en lumière « brute », ne séduisit pas un large public, et la série fut reprise à la fin des sept épisodes de sa première saison par la chaîne câblée TNT, qui diffusa les deux saisons suivantes. Elle s’apprête aujourd’hui à en diffuser une quatrième, avec toutefois un budget sensiblement réduit. Los Angeles : du décor au personnage Du côté du cinéma, Southland est sans aucun doute inspirée par Collision de Paul Haggis, Oscar du meilleur film, du meilleur scénario et du meilleur montage en 2005. La représentation de la police de Los Angeles Figure 1 : Générique de la série Southland, saison 1 Figure 2 : Écran d’ouverture de chaque épisode de la série Southland
Le Projet Venus : analyse critique (1/3) Bonjour Morpheus, et merci, merci beaucoup pour cet article aussi intéressant que l’ampleur du flop qu’il semble avoir fait... Ne vous découragez pas, j’espère sincèrement que vous nous pondrez les deux suites très bientôt. Je n’ai pas lu le Venus project mais vu les Zeigetz et addendum (même si c’est un peu loin pour ma mémoire de poisson rouge). Les aspects que vous soulevez sont fondamentaux : vous avez visé juste ! Entrons par là, pourquoi avez-vous visé juste ? Ce point montre, je crois, le biais fondamental de toute « cratie » qui n’est pas la plus multiple possible : elle se prive d’informations fondamentales. La carence d’information est la manifestation, le stigmate, le fait, du monolithisme, ou la déficience de points de vue, d’approches. Beaucoup plus de choses, et beaucoup moins de maîtrise. On peut bien entendu objecter que tout savoir à chaque instant est impossible, et c’est vrai, mais l’idée est de s’interdire d’inhiber des approches en en favorisant d’autres.
Le royaume de la survie Mise à jour : Joe est décédé le 26 mars 2011, à l'âge de soixante quatre ans. Nous ne sommes pas et n'avons jamais été des individus, mais seulement de brefs nageurs dans la rivière de chair appelée humanité. Voici quelques nouvelles de Joe Bageant, et d'abord la mauvaise : Joe est atteint d'une tumeur inopérable. 1. La première bonne nouvelle est que Joe est actuellement sorti de l'hôpital et poursuit son traitement chez lui. La seconde bonne nouvelle est que Joe apparaît dans un film indépendant intitulé The Kingdom of Survival, produit par Slow Boat Films. Je n'aime pas beaucoup les gens de la classe moyenne. Fonctions de plusieurs variables : Page pour l'impression IntroductionDérivations partiellesEntropieEx: EntropieFormulation hamiltonienne du problème de 2 corpsEx: Formulation hamiltonienne du problème de 2 corpsLes variables de DelaunayEx: les variables de DelaunayThéorème d'inversion de LagrangeEx: Théorème d'inversion de LagrangeParamètre de TisserandEx: paramètre de TisserandIntégrales multiplesPhotométrie des surfaces planétairesEx: photométrie des surfaces planétairesThéorème de LiouvilleEx: théorème de Liouville On trouvera dans ce chapitre les exercices suivants : Détermination de l'entropie de l'univers en fonction de sa température (dérivations partielles)Formulation hamiltonienne du problème des deux corps (dérivations partielles)Variables de Delaunay dans le problème des deux corps (dérivations partielles)Théorème d'inversion de Lagrange (dérivations partielles)Paramètre de Tisserand (dérivations partielles)Photométrie planétaire (intégrales multiples)Théorème de Liouville (intégrales multiples) Auteur : Jérôme Thiébaut Entropie , où .
« Votez bien, votez rien » « Votez bien, votez rien » Ce mot d’ordre avait failli provoquer une crise tellement il avait été pratiqué par les simples électeurs et électrices pendant la trop terne campagne électorale fédérale de 1997. Le tout avait été orchestré par une grande campagne de stickers qui, s’inscrivant comme un candidat en soit, rappelait le triplé d’« Aux Armes » de Danton tapissé sur les murs de Paris pendant la révolution française. Mais que voulez-vous, les temps changent. Avec tout ce qu’il peut contenir d’anarcho-terroriste, il faut savoir que «Votez bien, votez rien» ne signifie pas nécessairement qu’on ne vote pas : il peut simplement suggérer d’aller annuler son vote dans un urinoir institutionnel, donc d’exercer son devoir de citoyen tout aussi simplement qu’en ne dessinant qu’une seule croix. Votez rien, c’est souvent un choix fait par une personne suite au constat qu’il n’y a pas de vote stratégique possible dans sa circonscription. {*style:<b> 2e partie : L’élection actuelle </b>*}