Einfrieren ohne Plastik - 4 Alternativen zu Gefrierbeutel & Co. Toll sehen sie ja aus, diese bunten, unkaputtbaren Plastikdosen für die Aufbewahrung von Lebensmitteln. Leicht, mit dem passenden Deckel verschließbar und für Spülmaschinen, Mikrowelle und sogar Tiefkühlschrank geeignet. Leider sind Aufbewahrungsdosen aus Plastik alles andere als gesund. Die weit verbreiteten Gefrierbeutel sind zwar ebenfalls praktisch, halten jedoch nicht länger als ein paar Anwendungen, verursachen unnötigen Abfall und enthalten Weichmacher. Mikroplastik und Weichmacher verteilen sich über die Jahre in Wohnraum und der Nahrung, wodurch unser Körper belastet wird. Mit ein paar Tricks klappt auch das Tiefkühlen von Kuchen, Soßen, Obst und Beeren, sowie Brot, Käse, Pizza und Fleisch ganz ohne Kunststoff. 1. Die einfachste und preiswerteste Alternative zu Tupperdosen ist das Einfrieren im Glas. Auch selbstgemachtes Speiseeis, kleine Aufläufe oder Kuchen im Glas können beim Einhalten der maximalen Füllhöhe in Sturzgläsern eingefroren werden. 2. 3. 4.
Le Jardinier Maraîcher Installation ■ Suppression des critères restrictifs d’accès aux aides de l’Etat pour l’installation : le critère de surface minimum d’installation (SMI*) doit être supprimé pour être remplacé par celui de la viabilité économique, sociale et environnementale. La limite d’âge de 40 ans doit être modifiée pour prendre en compte l’évolution de la société (reconversions professionnelles...). Les aides doivent être plafonnées. ■ Mise en place d’une « dotation de carrière » pour éviter l’endettement : remise d’un capital non payant au nouvel installé qui devra le restituer à la fin de sa carrière. ■ Accès aux droits à produire (DPU*) gratuits pour tout nouvel installé et pour tous ceux qui n’atteignent pas l’unité de référence de leur département ; gel des DPU* pour tout paysan accédant aux droits à la retraite. ■ Favoriser la transmission : – il faut anticiper la transmission en accompagnant les cédants et en favorisant les rencontres avec les futurs paysans.
Micro-agriculture biointensive Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Historique[modifier | modifier le code] Il s'agit d'une méthode développée au XXe siècle par l'horticulteur anglais Alan Chadwick; elle s'inspire en partie de l'agriculture biodynamique et de la méthode de maraîchage dite intensive française[réf. nécessaire]. De la méthode intensive française elle reprend le travail sur buttes préparées par double-bêchage et la minimisation de l'espacement des plantes. Les apports propres d'Alan Chadwick concernent d'une part l'usage de variétés-populations ou variétés anciennes (pas d'hybrides F1 ni de variétés issues de la "révolution verte") et les proportions de surfaces consacrées aux trois grands types de plantes qui y sont cultivées (voir plus bas). Les grands principes[modifier | modifier le code] 2. 3. 5. Ces proportions ont été pensées en fonction des besoins en biomasse pour la production d'humus, ainsi que des besoins alimentaires humains. 6. 7. Avantages[modifier | modifier le code]
90 Pounds of Tomatoes from 5 Plants At the lumberyard, I bought 7 feet of heavy wire fencing about 6 feet high. I had the clerk cut a 3-foot length of small-mesh hardware cloth that stood about 30 inches high. I lapped the hardware cloth into a circle about 11 inches wide and secured it by threading wire over the edges. Then I set this circular basket in the middle of my fertilized plot and filled it to the brim with compost. The larger, 27-inch circle of heavy wire was placed around this center and firmly anchored with soil heaped a few inches around the base. Next, I planted five tomato seedlings around the outside of the heavy wire circle. How To Save Tomato Seeds About 90 days after setting out the seedlings, I gathered 2 pounds of sun-ripened tomatoes. So, try growing tomatoes in an organic double ring if space is limited.
La micro-agriculture 15 janvier 2013 par Michel Peut-on bien vivre de la terre avec seulement 1 hectare ou moins du superficie cultivable? La majorité des gens en douterait, agriculteurs compris. Comment espérer rentabiliser un si petit espace en considérant les coûts de la machinerie, la main-d’oeuvre et l’hypothèque, l’achat des semences, les engrais, l’essence, la rénovation, le fonctionnement et l’entretien des bâtiments et j’en passe ? Pourtant, la micro-agriculture tend tranquillement à faire mentir les plus septiques si on s’y prend de la bonne manière. En effet, la ferme la Grelinette de Saint-Armand située en Estrie, a su faire des ventes de 100 000$ dès la 4e année d’exploitation. Qui plus est, un acre coûte moins cher en terme d’investissement s’il est loué; leur résidence étant elle aussi sise sur ce dernier. Jean-Marc Fournier (source: lejardiniermaraicher.com) Pour qui le sujet intéresse, on nous suggère LA ressource malheureusement en anglais: Growing for market, une revue américaine. Like this:
Je m'installe paysan - 1 million de paysans ! Bio et hyperproductive : la ferme magique d'un agriculteur québécois Jardinier-maraîcher ? Fermier de familles ? Jean-Martin Fortier lui même a du mal à qualifier son métier. Ce canadien de 35 ans exploite depuis 2005 la ferme des Jardins de la Grelinette, à Saint-Armand, à quelques kilomètres de Montréal, au Québec. Avec sa compagne, ils appliquent des techniques découvertes en voyageant et travaillant dans des fermes notamment au Nouveau-Mexique et à Cuba. Terra eco : Pourquoi avez-vous souhaité travailler sur une très petite surface, ce que personne n’avait jamais fait au Québec ? Jean-Martin Fortier : Nous souhaitions démarrer notre production, mais nous n’avions pas les moyens d’investir beaucoup. Pouvez-vous résumer votre méthode de production, que vous appelez bio-intensive ? Puisque nous travaillons sur une petite surface, il nous a fallu intensifier au maximum notre production. Ce modèle est-il rentable économiquement ? Tout à fait. La différence majeure, c’est que la permaculture est peu intensive et vise la productivité sans effort.
High and Mighty: Raised Beds Four double doors mean easy access to bring in compost and soil and to take out the harvest and garden debris at season’s end. “The system is tailor-made for seniors or people with disabilities—easy access with no bending—but it is great for everyone,” says Finkelstein. “I made it that way so no matter how old I get, I can still garden.” Related: 7 Ways To Grow Potatoes Jeremiah Brophy, who built the beds for Finkelstein, explains how they are made: 1. Download The Plans For The High + Mighty Raised Beds 2. 3. 4.
Evènements - Samedi 2 mars :… - Des jardins pour tous...Tous aux jardins carte des jardins Présentation de l'AMIEU Le Projet Envies de jardins... Le Cabanon du jardin Balades urbaines Evènements Présentation Catégories Recherche Liens Album photos Voir tous les albums jardinspourtous Créer un blog gratuit sur over-blog.com - Contact - C.G.U. - Rémunération en droits d'auteur - Signaler un abus devenir paysan, c'est plaisant Das Experiment 2015: Ein Feld. Ein Mensch. Ein Jahr | 2000m² Der kleine Weltacker an der Havel von oben Gut sieben Milliarden ErdenbürgerInnen teilen sich rund 1,4 Milliarden Hektar Ackerfläche auf diesem Planeten. Das macht pro Kopf etwa 2000 Quadratmeter. Auf 40 mal 50 Meter also muss alles wachsen, was ein Mensch an Ackerfrüchten verbraucht – von unserem täglichen Brot und Müsli über Obst und Gemüse und dem Futter für Eier- und Fleischlieferanten bis hin zu Zigaretten, Jeans und sogenanntem Biosprit. Mit jedem Einkauf erteilen Verbraucher_innen einen Auftrag an die Landwirtschaft, sind also auch Koproduzenten. Im Frühjahr 2014 haben wir den ersten „Kleinen Weltacker“ an der Havel wurde angelegt. Ein Feld. Dabei tauchte immer wieder die Frage auf: Wie viel Land verbrauche ich eigentlich für meine eigene Ernährung? Denn für 2000 m² Verantwortung zu übernehmen ist machbar – das ganze Elend dieser Welt auf seine Schultern zu laden, nicht.