Etienne Chouard. — Partie III. — Conférence de Lyon, mars 2012.
LOI DE 1973 : les aveux de Rocard et deux nouvelles pistes pour comprendre l'effet véritable de la loi
LOI DE 1973 : • les aveux de Rocard • et deux nouvelles pistes pour comprendre l'effet véritable de la loi Rocard explique enfin lui-même, en 2 minutes, L'IMPORTANCE CRUCIALE DE LA LOI DE 1973 dans la non nécessaire, ruineuse et antisociale DETTE PUBLIQUE de la République Réprivée Française Merci à Raymond Zaharia qui a déniché (et mis en valeur) cette nouvelle perle. Nota : Monsieur Rocard est assez âgé (82 ans) et il se mélange un peu les crayons : quand il parle de "la loi bancaire de 1974", on se demande (une seconde) s'il parle de la loi de 1973 ou de la loi bancaire de 1984... Ce n'est pas une crise, c'est un coup d'État. Il faut absolument que je rédige un nouveau billet pour faire le point (détaille, ordonné et documenté) sur cette loi de 1973 : ceux qui disent un peu partout que je me suis trompé sur la portée de cette loi se trompent encore davantage, je pense. Cette controverse a permis de comprendre ensuite qu'il y avait (avant 1973 !) 3. Étienne. Ça y est ! Martine AUBRY ?
Le besoin de création monétaire : toujours plus?
J’ai indirectement évoqué cette question compliquée dans un billet antérieur « Les états doivent-ils s’endetter ? » (26 septembre). L’occasion d’y revenir m’est fournie par un billet récent de Jean-Marie Harribey sur son blog (« De la création monétaire… »). Mon analyse portera sur un seul des « principes monétaires » mis en avant comme « préliminaires » par Jean-Marie (je n’ai pas de problème avec le reste, mais il est vrai que le principe en question joue un rôle important dans son texte). Il est énoncé ainsi (point 3 de la partie I) : « Au niveau macroéconomique, l’accumulation du capital et, de manière générale, TOUT DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE, EXIGENT OBLIGATOIREMENT UNE CREATION MONETAIRE qui anticipe le surplus social qui sera produit. » J’ai sur ce principe (qui a des conséquences ailleurs) des réserves. PREMIER POINT. DEUXIEME POINT. a) Une approche macroéconomique purement quantitative b) Un modèle en partie dépassé PS.
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