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Langage - Origine - Apparition - Protolangage

Langage - Origine - Apparition - Protolangage
Même si cela nous paraît évident nous pouvons nous poser la question de savoir à quoi le langage nous sert... Bien sûr, c'est avant tout un moyen de communication au sens général. On peut supposer qu'il a donné de vrais avantages aux premiers hommes qui l'ont utilisé : - construction plus rapide en commun d'une hutte ou d'un abri "moi ramasser branches", "toi arracher feuilles" - chasse d'une même proie, à plusieurs, avec stratégie du type "Toi passer ici" et Moi passer derrière" - communication rapide d'un danger immédiat "Fuir serpent ici" ... Tous ces exemples montrent les bénéfices immédiats du langage en terme de rapidité, de facilité ou de survie... Il existe toutefois un courant néodarwiniste qui réfute ce genre d'argument : le langage n'apporterait pas d'avantage évolutif. Il existe également des théories moins simplistes sur l'utilité du langage.

L’incroyable crevette-mante qui fait bouillir l’eau lorsqu’elle frappe Le prédateur de plus agressif des océans n'a pas les mâchoires des Dents de la mer et possède la meilleure vision du règne animal. L’étrange animal peut mesurer jusqu’à 38 cm et, contrairement à ce que son nom anglais (shrimp mantis) suggère, ce n’est ni une crevette, ni une mante. En français, elle s’appelle squille mais la référence aux mantes religieuses fait meilleur état du risque d’amputation digitale que vous encourez si vous tentez d’en faire votre quatre-heures lors d'une ballade dans les eaux tropicales peu profondes de l'Océan Indien ou de l'Océan Pacifique (essentiellement). La crevette-mante paon (en raison des "yeux" au bout de sa queue) par Charlene McBride via Flickr CC Les squilles possèdent, à l’instar des mantes, des pattes ravisseuses. Une vitesse telle qu’elle fait bouillir l’eau autour des pattes ravisseuses et crée une onde de choc susceptible de tuer une proie manquée par la frappe. Squille contre crabe. Pamela Duboc Partagez cet article

The Panda's Thumb Lectures de pensée animale Il y a une dizaine d'années encore, la littérature sur les animaux disponible en langue française se composait essentiellement de titres tels que Jeannot Lapin va à l'école ou Rosalie la tortue qui fait plouf. Les temps changent. De préoccupation puérile, la question animale est passée au rang de sujet de publications intellectuellement respectables. -Marc Hauser,À quoi pensent les animaux ? Marc Hauser est professeur de psychologie et de neuroscience à l'Université Harvard. Le livre comporte trois parties. - Ceux qui permettent de reconnaître les objets et d'en prédire le comportement. - Les outils qui permettent d'évaluer un nombre d'objets ou d'événements, avec une étendue et une précision toutefois très variables selon les espèces. - Les outils qui permettent aux animaux de se repérer dans l'espace au cours de leurs déplacements. La deuxième partie « Les psychologues de la nature » aborde la conscience de soi, l'imitation et l'apprentissage, ainsi que les mensonges comportementaux.

L’animal intentionnel 1L’ami des bêtes trouve parfaitement naturel d’interpréter le comportement des animaux familiers en leur prêtant des désirs et des croyances analogues aux siens propres. Par exemple, le possesseur d’un chien attribue quotidiennement à son animal, et sans la moindre hésitation, la croyance que c’est le moment de la promenade, ou l’envie de mordre le facteur. Il va même jusqu’à supposer que l’animal est capable de former des croyances et des désirs sur ce que les autres pensent ou désirent. Il lui suffit pour cela d’avoir feuilleté la littérature « animalière » où abondent les anecdotes rapportant qu’un animal a rusé avec les attentes de ses congénères, leur a tendu des pièges, a intentionnellement transmis son savoir à ses rejetons, ou a tenté de travestir la réalité pour tromper ses rivaux. C’est évidemment en primatologie que les exemples sont les plus nombreux. 61. 72. 83. 12Cette capacité, les philosophes la nomment « objectivité » (Strawson 1959). 15Revenons encore à l’aplysie.

Evolution, des clés pour comprendre (CNRS / MNHN) - Balados / Rss Le CNRS, en collaboration avec le Muséum national d’Histoire naturelle (MNHN), a produit une collection de podcast vidéo à destination du grand public autour de points clés de la théorie de l’Evolution. A partir d’un animal (baleine, oursin, humain, escargot, méduse, hyène), d’un végétal (petits pois, champignon, peuplier, pollen) ou d’une caractéristique (l’œil, la plume, le canal incisif), des points clés de l’évolution sont explicités et permettent une meilleure compréhension des problématiques et enjeux liés à la biodiversité. Un scientifique est étroitement associé à l’élaboration de chaque film et prête sa voix au commentaire. Chaque épisode est richement illustré utilisant aussi bien la photographie, la vidéo, le dessin naturaliste, la microscopie, l’image de synthèse et l’animation. A partir du 16 février et jusqu’au 20 avril 2010, chaque mardi, un nouveau podcast vidéo est à découvrir et à télécharger sur le site Internet du CNRS.

Fayetteville State University-Van Cantfort & Dar References BBC News (2007, March, 29). Should apes have human rights? La logique du vivant : François Jacob rencontre Claude Lévi Strauss - Vidéo Ina

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