ScienceOpen Pourquoi tweeter quand on est chercheur? Dans un article du journal Le Monde paru en 2014 intitulé “Twitter et les chercheurs, l’exception française ?”, Sylvain Deville s’étonnait de la faible place qu’occupe l’oiseau bleu chez les chercheurs français par rapport à nos collègues anglo-saxons. Notre rapport à la communication en général serait lacunaire, pour des raisons tant culturelles qu’institutionnelles. Aujourd’hui, grâce à En Direct Du Labo, nous vous proposons de participer à changer cet état de fait en constituant la première communauté de chercheurs francophones ouverts à la communication scientifique sur Twitter! Pourquoi utiliser Twitter lorsqu’on est un(e) chercheur(se) ? Cliquer sur la photo pour agrandir Peu d’efforts d’engagement La recherche scientifique est une activité chronophage qui laisse peu de temps à la communication. Un public large et varié Avec plus de 284 millions d’utilisateurs actifs mensuels en 2015 (Source), Twitter est aujourd’hui l’un des réseaux sociaux les plus utilisés au monde. Références :
Pour une utilisation critique des réseaux sociaux académiques 14 février 2014 L’information n’a pas encore reçu beaucoup d’échos en France : et pourtant cela fait plusieurs mois maintenant qu’Elsevier demande régulièrement le retrait d’articles déposés par leurs auteurs sur le réseau social Academia. Si on le regarde sous l’angle de l’open access, cet exemple souligne incontestablement l’« injustice fondamentale de l’actuel écosystème de la communication académique » (John Dupuis). Mais il met également en lumière l’arrivée à maturité des réseaux sociaux académiques : à l’heure où Elsevier peine à se créer une place sur les outils 2.0 (échec de 2collab en 2011, rachat de Mendeley en 2013), il n’est pas étonnant que celui-ci attaque les nouveaux challengers qui se développent auprès des communautés académiques, après avoir laissé faire. Réseaux sociaux académiques ? Ces réseaux se développent progressivement dans le paysage académique français. Parmi tous ces réseaux, trois sortent plus particulièrement du lot : De quelques enjeux de ces réseaux
“Les médias sociaux à l’heure des identités numériques : quels enjeux pour la recherche scientifique ?” Le lundi 4 mars 2013, l’équipe du séminaire « les Aspects Concrets de la Thèse » invitait les sociologues Antonio Casilli et Karim Hammou à venir discuter de la place qu’occupent actuellement les médias sociaux dans le métier de chercheur, des possibilités qu’ouvrent ces nouveaux outils mais aussi des pièges qu’ils peuvent receler. La séance donna lieu à un état des lieux des pratiques, à un partage d’expérience et à une réflexion théorique sur les enjeux des médias sociaux pour la recherche. Vous pouvez écouter le podcast de la séance ci-dessous (si rien ne s’affiche, rafraîchissez la page en appuyant sur F5 ou cliquez ICI) Médias sociaux : de quoi parle-t-on ? Avant de discuter de la place, de l’utilisation et des enjeux des médias sociaux, il convenait d’abord de préciser le type d’objets que l’expression désigne. De la construction de l’identité numérique au contrôle des données personnelles Quel statut pour le blogging scientifique ? Les enjeux politiques des médias sociaux A. M. P.
Participer à Wikipédia en tant que chercheur : enjeux et mode d’emploi Wikipédia est devenu un des sites les plus fréquentés au monde tout en atteignant dans la plupart des cas une certaine fiabilité en termes d’exhaustivité comme de qualité du contenu. L’encyclopédie n’en est pas moins un vaste chantier auquel il peut être utile de collaborer. Ce qui pourrait sembler être un don inconsidéré de temps peut tout à fait avoir des retombées positives sur des chercheurs et/ou un champ de recherche donné. Enjeux Tout d’abord, on peut dire qu’un doctorant (ou chercheur) atteint au cours de sa thèse (ou carrière) un certain niveau de spécialisation dans un domaine ou sous-domaine parfois mal connu. Ce n’est peut-être donc pas un hasard si l’encyclopédie compte déjà un nombre non-négligeable de contributeurs qui déclarent être doctorants ou docteurs. En occupant le terrain, on peut aussi présenter ce que l’on connaît de sa discipline. Retombées Si votre sujet de recherche est mieux documenté, le grand public en saura plus sur ce que vous faites. Comment faire ?
Le Top 20 des réseaux sociaux scientifiques Pourquoi s’arrêter en – six – bon chemin, quand le succès est au rendez-vous ? Le Grand Mix organise le 6e apéro Sciences & Web au Polly Maggoo ce jeudi 16 juin. Rencontres, bonne humeur et échanges féconds : pas de changement de ce côté-là, mais une nouvelle thématique qui ravira les amateurs de sciences 2.0 : les réseaux scientifiques. L’occasion de présenter un petit top 20 de ces réseaux de passionnés. 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10. 11. 12. 13. 14. 15. 16. 17. 18. 19. 20. Et bienvenue aux petits nouveaux (made in France) à qui l’on prédit de jolis succès : Chimie 2.0 : un espace d’échanges entre les scientifiques et le public, lancé par le CNRSMyScienceWork : le réseau social de la recherche scientifique multidisciplinaire (lancement sous peu) N’hésitez pas à apporter des précisions sur ces différents réseaux ou à nous en conseiller d’autres. >> Illustration : david.orban (Flickr, licence CC) EthicShare : discussion autour de l’éthique Discipline : éthique Membres : 1500 Langue : anglais
Réseaux sociaux scientifiques More than just a pretty picture? How sociologists (and other social scientists) can use Pinterest Between Facebook, Twitter and LinkedIn, academics can be forgiven for struggling to keep up with the social media boom. Deborah Lupton investigates the latest popular platform, Pinterest, and finds it can be more than just a pretty picture. In fact, it has potential to be of great value to sociologists and social scientists. I have recently discovered Pinterest, a social media platform which has recently become very popular. One important feature of the site is that each pinned image has a commentary box below it which allows the user to provide details of the image or comment on it. When I first investigated Pinterest it seemed that it was simply a forum for people to collect and post images of cute children or animals, fashion outfits, holiday options, objects they would like to buy, home décor, wedding ideas, recipes and so on. It seems that few academics are using Pinterest at the moment, or have even heard of it. Some ideas for university teaching include:
SocialNetworkingForScientists - home Can ResearchGate really be the Facebook of science? Ijad Madisch, the CEO and co-founder of Berlin startup ResearchGate, likes to work with hard evidence. Perhaps it’s no surprise for the Harvard-trained virologist, who traded in a promising medical research career to launch the social network for scientists. But still, in a world where the impact of social networks is usually measured by how many news headlines they can generate, he prefers success stories that have a more direct impact. Take the example of Rafael Luque, a chemistry professor at the University of Cordoba in Spain. The technology is still in development, but it’s evidence of real impact for the site — and a hint at the substantial change that’s happening in the way scientists can work online. “When we started, people told me you have to get all of the big professors on board,” says Madisch, as we sit in the company’s Berlin headquarters. His answer was precisely the opposite. “No,” he says. So what’s next? “The next big thing,” says Madisch, “is reputation.”
The Handbook Download the Handbook in PDF format About this Handbook There are few academics who are interested in doing research that simply has no influence on anyone else in academia or outside. Some perhaps will be content to produce ‘shelf-bending’ work that goes into a library (included in a published journal or book), and then over the next decades ever-so-slightly bends the shelf it sits on. But we believe that they are in a small minority. The whole point of social science research is to achieve academic impact by advancing your discipline, and (where possible) by having some positive influence also on external audiences – in business, government, the media or civil society. For the past year a team of academics based at the London School of Economics, the University of Leeds and Imperial College have been working on a ‘Research Impacts’ project aimed at developing precise methods for measuring and evaluating the impact of research in the public sphere.
Elgg pour bâtir un réseau social de chercheurs : pourquoi ? comment ? | Deuxième labo L’extension du domaine de la recherche, c’est utiliser les réseaux sociaux pour favoriser les fertilisations croisées à l’intérieur et à l’extérieur du laboratoire. Les réseaux sociaux de chercheurs font beaucoup parler d’eux, et à raison. Le succès remporté par l’atelier que nous avons proposé à ce sujet lors du THATCamp 2012, animé par Nicolas de Lavergne et Olivier Le Deuff[1], le prouve. Les ResearchGate, Academia.edu, Mendeley et autres MyScienceWork sont dans l’air du temps d’une science ultra-connectée, rapide, et mettant en œuvre tous les moyens à sa disposition pour améliorer sa visibilité et sa diffusion. Il faudrait également citer Facebook, dont les chercheurs font un usage professionnel et qui constitue pour certaines universités un moyen quasi-exclusif de mise en relation, à l’instar de l’université Lumière Lyon 2 (comme raconté ici). Mais ces services en ligne (privés) ne sont que la partie émergée de l’iceberg. Un réseau à la fois interne et externe En guise de conclusion