Les internautes recherchent les promos sur Facebook et dans les newsletters des marques 49 % des consommateurs français déclarent " toujours " ouvrir les e-mails provenant de leurs entreprises préférées. 71 % des utilisateurs Facebook actifs ont attribué une mention "J'aime" à une société sur Facebook. 21 % d'entre eux parce qu'ils achètent déjà régulièrement les produits de la marque. 53 % des internautes actifs sur Twitter y suivent une entreprise et autant déclarent toujours lire les publications de leurs entreprises préférées. 46 % des suiveurs se disent plus enclins à acheter après avoir suivi une marque et 43 % sont plus susceptibles de recommander une société à des amis ou à des proches après l'avoir suivie sur Twitter. Tels sont les résultats mis en exergue dans la série " Abonnés, fans et suiveurs " d'ExactTarget, spécialiste américain des services d'e-mailing et de marketing relationnel cross canal qui vient d'ouvrir un bureau à Paris. 90% des consommateurs français en ligne interrogés sont abonnés (1), 43% sont fans (2), 4% sont suiveurs (3). premiere-journee
Réseaux sociaux scientifiques Améliorer la visibilité de vos prises de paroles sur les réseaux sociaux Les réseaux sociaux sont une formidable opportunité de communiquer pour les entreprises. Posts, statuts, tweets, etc. : ce sont des milliers de messages qui sont potentiellement vus par vos clients et prospects. Cependant, les informations publiées peuvent facilement être noyées dans le flux important d'informations disponibles pour tous les internautes. Les réseaux sociaux ont donc décidé de mettre en place des solutions pour les entreprises afin d'améliorer la visibilité de leurs prises de paroles sur les réseaux sociaux. Découvrez les solutions proposées par les réseaux sociaux les plus couramment utilisés en France : Facebook, Twitter, LinkedIn et Viadéo. Facebook : promouvoir son statut Depuis juin 2012, Facebook permet aux entreprises de promouvoir leur statut publié initialement sur la page entreprise. Tout type de contenu peut être promu : statuts avec ou sans lien, vidéos, photos mais également les évènements. Comment promouvoir un statut Facebook ? Restez maitre de votre budget
Le Top 20 des réseaux sociaux scientifiques Pourquoi s’arrêter en – six – bon chemin, quand le succès est au rendez-vous ? Le Grand Mix organise le 6e apéro Sciences & Web au Polly Maggoo ce jeudi 16 juin. Rencontres, bonne humeur et échanges féconds : pas de changement de ce côté-là, mais une nouvelle thématique qui ravira les amateurs de sciences 2.0 : les réseaux scientifiques. L’occasion de présenter un petit top 20 de ces réseaux de passionnés. 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10. 11. 12. 13. 14. 15. 16. 17. 18. 19. 20. Et bienvenue aux petits nouveaux (made in France) à qui l’on prédit de jolis succès : Chimie 2.0 : un espace d’échanges entre les scientifiques et le public, lancé par le CNRSMyScienceWork : le réseau social de la recherche scientifique multidisciplinaire (lancement sous peu) N’hésitez pas à apporter des précisions sur ces différents réseaux ou à nous en conseiller d’autres. >> Illustration : david.orban (Flickr, licence CC) EthicShare : discussion autour de l’éthique Discipline : éthique Membres : 1500 Langue : anglais
Pratiques des réseaux sociaux chez les jeunes : dossier d’analyses L’Institut Français de l’Education consacre son dossier d’actualité Veille et Analyses pour le mois de février 2012 (n°71) à une thématique contemporaine : Jeunesses 2.0 : les pratiques relationnelles au cœur des médias sociaux (en pdf, 24 pages). 5 articles de fond offrent un éclairage diversifié avec un décryptage du Web 2.0 et des réseaux sociaux, un recul critique qui porte un regard différent de l’engouement médiatique habituel sur l’Internet de notre temps. Question centrale en filigrane de ce dossier : Les connaissances acquises par le biais d’internet sont-elles aussi importantes que celles apprises à l’école ? Jeunes et réseaux sociaux : analyses « En 10 ans, les pratiques d’internet ont considérablement évolué. Dans quelle mesure ces nouvelles pratiques médiatiques concurrencent-elles les loisirs plus traditionnels et impactent-elles les sociabilités ? Chaque article indique des références bibliographiques et liens vers des contenus de référence. Introduction avec références
Plagiarism Checker - Free Online Software For Plagiarism Detection Pourquoi sommes-nous si impudiques ? Les enquêtes sur les usages d’Internet font systématiquement apparaître deux résultats absolument contradictoires. Les usagers se montrent de plus en plus soucieux des risques de contrôle, de détournement et d’exploitation commerciale des données personnelles qu’ils laissent sur Internet. Mais par ailleurs, ils – et ce sont pourtant souvent les mêmes – se révèlent de plus en plus impudiques dans leurs pratiques d’exposition de soi, notamment sur les sites de réseaux sociaux et les blogs. Public par défaut Dans le débat sur le respect de la vie privée, il devient de plus en plus utile de distinguer clairement l’agent dont on craint la surveillance. La réussite des plateformes relationnelles du web 2.0 doit en effet beaucoup au fait que les personnes prennent des risques avec leur identité en rendant publiques des informations sur elles-mêmes. Le risque de la visibilité : méconnaissance ou opportunité Et si l’identité numérique était un signe relationnel plus qu’une information ?
50 outils de recherche/info scientifique Cette liste est issue de notre veille sur Diigo : Liste Diigo "Moteurs scientifiques (link is external)" Liste d'outils de recherche Moteurs multidisciplinaires En Sciences de l'ingénieur, Informatique, Mathématiques Science Accelerator, Office of Scientific and Technical Information, OSTI, U.S. "Science Accelerator is a gateway to science, including R&D results, project descriptions, accomplishments, and more, via resources from the Office of Scientific and Technical Information (OSTI), U.S. IEEE - The world's largest professional association for the advancement of technology (link is external) (link is external) Portail de l'Institute of Electrical and Electronics Engineers. citebase Search (link is external) (link is external) Citebase Search is a semi-autonomous citation index for the free, online research literature. BioMed Central (link is external) (link is external) Recherche de thèses
Réseaux sociaux de l'Internet Nicole Ellison et danah boyd définissent les sites de réseaux sociaux comme « des services Web qui permettent aux individus de construire un profil public ou semi-public dans le cadre d’un système délimité, d’articuler une liste d’autres utilisateurs avec lesquels ils partagent des relations ainsi que de voir et de croiser leurs listes de relations et celles faites par d’autres à travers la plateforme [2][2] d. boyd et N. Ellison, «?Social Network Sites?: Definition,... ». La nouveauté apportée par les réseaux sociaux de l’Internet tient donc à la mise en place progressive de la liste d’amis comme principal outil de navigation. En effet, la réussite des plates-formes relationnelles du Web 2.0 doit beaucoup au fait que les personnes y exposent différents traits de leur identité. Dans la zone en clair-obscur de l’Internet, la conversation emprunte beaucoup plus aux formes dialogiques de l’échange interpersonnel entre interlocuteurs ratifiés qu’à la prise de parole publique distanciée.
alternatives à Google/info scientifique Créé en 1991, le RNDH – Réseau national des documentalistes hospitaliers – organisait les 17 et 18 octobre derniers ses 26èmes "Journées", sur le thème "Documentation numérique : outils de recherche et actualité juridique au service de la documentation hospitalière". Organisées tous les ans, ces journées sont un moment fort de rencontre entre les membres du réseau, qui ont l'occasion d'assister à plusieurs conférences et ateliers, et de découvrir les actualités proposées sur les stands de quelques sponsors. Comme l'an passé, j'ai eu le grand plaisir d'intervenir lors d'une conférence, qui avait cette fois-ci pour thème "Recherche éveillée sur Internet : quelles alternatives à Google dans le domaine scientifique". Il existe sur le Web de très nombreux outils de recherche dédiés à l'information scientifique. J'ai donc présenté, devant un aréopage de professionnels de l'information scientifique, un certain nombre d'alternatives à Google Search, classées dans différentes familles d'outils.
Le design de la visibilité Notes Ce texte a bénéficié des travaux entrepris dans AUTOGRAPH (ANR) et dans le groupe de recherche sur le web 2.0 d’Orange Labs. Les multiples discussions du mercredi matin avec N. Dans le numéro 153, Réseaux proposera un ensemble d’études de cas portant sur Flickr, Wikipedia, MySpace, les blogs politiques, Second Life et les wikis d’entreprise. GROSS et ACQUISTI, 2005. La notion de subjectivation fait l’objet d’acceptions très différentes dans les sciences sociales. ALLARD et VANDENBERGHE, 2003. DONATH et BOYD, 2004 ; BOYD et ELLISON, 2007. HENNION, MAISONNEUVE et GOMART, 2000. On sait toute l’ambiguïté qu’il y a à définir la personne comme « réelle » et à marquer ainsi la séparation entre « vie réelle » et « vie numérique ». McKENNA, GREEN et GLEASON, 2002. A cet égard, on ne peut que se fier aux manuels de conseils destinés à aider les pratiquants des sites de rencontre : ne trichez pas ! EVANS, GOSLING et CAROLL, 2008. FIORE et DONATH, 2005. WHITTY et CAR, 2006. HONNETH, 2007, p. 119-120.
10 propriétés de la force des coopérations faible Dominique Cardon, Maxime Crepel, Bertil Hatt, Nicolas Pissard, Christophe Prieur du laboratoire Sense d’Orange Labs ont synthétisé les 10 principes de fonctionnement des plateformes relationnelles. Ces caractéristiques génériques, que l’on retrouve dans la plupart des plateformes à succès du web 2.0, ne mettent pas en valeur un esprit communautaire, comme on le croit souvent, mais exploitent « la force des coopérations faibles », c’est-à-dire favorisent une dynamique de bien commun à partir de logiques d’intérêt personnel. Un schéma pour comprendre les modes de coopérations et le web d’aujourd’hui. Les nouveaux usages des plateformes relationnelles du web 2.0 (blogs, Flickr, Wikipedia, MySpace, Facebook, Twitter, etc.) font apparaître des modes de collaboration inédits entre utilisateurs. 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10. Ces 10 propriétés commandent une forme particulière d’organisation des systèmes relationnels que nous appelons la force des coopérations faibles. ________________ 1.