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Figures de style

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Brevet des collèges Télécharger cette fiche (format RTF) Une figure de style, c’est une façon pour l’auteur d’exprimer une idée ou un sentiment grâce à une façon d’utiliser les mots en leur donnant une force particulière. Il peut jouer sur le lexique ou sur la syntaxe des phrases. Les figures de la ressemblance : La comparaison : deux éléments sont rapprochés à cause d’un point commun. La métaphore : il s’agit d’une comparaison sans mot-outil entre deux éléments qui n’ont d’habitude pas de point commun évident. La métonymie : il s'agit d'une catégorie particulière de métaphore où l'on nomme une partie de quelque chose pour désigner en fait cette chose. La personnification : c’est la représentation d’une chose ou d’un animal sous une forme humaine. L’allégorie : on utilise un être vivant ou une chose pour représenter une idée. Les figures de l’opposition : L’antithèse : deux mots ou expressions s’opposent. L’oxymore : C’est le rapprochement de deux termes normalement antithétiques, opposés.

Des exercices et des exemples sur la poésie - Le français en 4ème 1. Observez le texte suivant. À quels indices reconnaissez-vous que ce n'est pas un texte en prose ? Le ciel est, par-dessus le toit, Si bleu, si calme! Un arbre, par-dessus le toit, Berce sa palme. La cloche, dans le ciel qu'on voit, Doucement tinte. Un oiseau, sur l'arbre Qu'on voit, Chante sa plainte. Mon Dieu, mon Dieu, la vie est là, Simple et tranquille. Cette paisible rumeur-là Vient de la ville. - Qu'as-tu fait, ô toi que voilà Pleurant sans cesse, Dis, Qu'as-tu fait, toi que voilà De ta jeunesse? P. 2. Les rimes Pour que deux mots riment, il faut que la dernière voyelle se prononce de la même manière ; si des consonnes suivent cette voyelle, elles doivent aussi se prononcer de la même manière. Par exemple, peu et bleu riment, de même que luge et refuge. 3. 4. plein/vin - lune/nuit - loup/vous - bu/repu - sourd/louche - étendard/guitare - fou/bouche - sable/nuisible - levant/plante - blême/aime La disposition des rimes 5. b. L’alexandrin 7. Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant P. Le sonnet 1.

Analyser un récit : structure - rythme - points de vue Vous êtes au lycée et vous menez des "lectures analytiques", dans le cadre de commentaires de textes ou d'explication de textes. Dans tous les cas, lorsqu'on étudie un récit, il faut être particulièrement attentif à sa structure, à son rythme et au choix du point de vue adopté. Ces notions sont vues dès le collège et particulièrement en 3e. Toutefois, au lycée, il n'est pas inutile de les revoir... bien au contraire ! L'auteur d'une oeuvre est celui qui l'a créée et qui la signe. Début du récit Le début d'un récit se nomme un incipit. Ordre du récit L'écrivain choisit l'ordre dans lequel il présente les événements de son récit. Ordre chronologique La plupart du temps, un récit suit un ordre chronologique. Le lecteur découvre au fur et à mesure les événements tels qu'ils se sont déroulés ou tels qu'ils se déroulent. Bouleversement de la chronologie : retour en arrière, anticipation, in medias res Retour en arrière Anticipation In medias res Petites remarques générales sur la structure du récit

Figures de style 1. Voltaire, Candide - 2 Virgile, Enéide – 3. Corneille, Le Cid - 4. 9. retour FICHE BREVET : Synthese sur la poesie Fiche de révision pour l'épreuve de français du brevet : Synthèse sur la poésie I. Les vers 1. Règle générale : Pour compter le nombre de syllabes dans un vers, il faut observer certaines règles : - le –e suivi d’une voyelle ou placé en fin de vers ne compte pas. - le –e suivi d’une consonne compte. Ex : Sur la nappe frugal(e) et les rideaux de serg(e). (« Je n’ai pas oublié… », Baudelaire). Cas particulier : le poète peut faire prononcer en deux sons ce qu’habituellement on ne prononce qu’en un seul, c’est une diérèse. 2. On nomme les vers selon le nombre de syllabes qui les composent, les plus fréquents sont : - 6 syllabes → hexamètre ou hexasyllabe. - 10 syllabes → décasyllabe. - 7 syllabes → heptasyllabe. - 12 syllabes → alexandrin. - 8 syllabes → octosyllabe. II. Les groupes de vers qui composent un poème s’appellent des strophes. III. 1. 2. On juge la richesse des rimes au nombre de sons qui sont repris. IV. V. On divise un vers en deux parties appelées hémistiches. VI.

Le classicisme - Synthèse Le classicisme est un mouvement littéraire qui se développe en France, et plus largement en Europe, à la frontière entre le XVIIe siècle et le XVIIIe siècle, de 1660 à 1715. Il se définit par un ensemble de valeurs et de critères qui dessinent un idéal s'incarnant dans l’« honnête homme » et qui développent une esthétique fondée sur une recherche de la perfection. NB : Le classicisme concerne la littérature du XVIIe siècle, en particulier le théâtre mais aussi d'autres arts comme la musique, la peinture ou l'architecture. Epoque : deuxième moitié du XVIIe sièclePrincipaux représentants : Jean Racine, Molière, La Bruyère, Corneille, La Fontaine, Boileau Trucs et Astuces Astuce mémo technique : « Perchée sur uneracine debruyère lacorneilleboit l’eau dela fontaineMolière. » Sources d’inspiration des auteurs classiques : civilisation antique grec, latine et la civilisation chrétienne.Thèmes abordés : la religion, la morale, le pouvoir politiqueCaractéristiques esthétiques du classicisme :

Les figures de style Rhétorique et style ► vous êtes ici Rhétorique et style Introduction La rhétorique est à la fois la science (au sens d’étude structurée) et l’art (au sens de pratique reposant sur un savoir éprouvé) qui se rapporte à l’action du discours sur les esprits. Par principe, la rhétorique s’occupe de l’oral, mais il est évident qu’elle s’est très tôt intéressée aussi au discours écrit, dans la mesure où celui-ci est, de manière plus ou moins étroite, une transcription ou une mimésis de l’oral. Bref, dans une acception générale la rhétorique est l’art de bien parler. Les figures de rhétorique sont des procédés spécifiques utilisés pour convaincre, séduire, impressionner, transmettre une vision du monde. Les figures de l’analogie La comparaison Elle établit un rapprochement entre deux termes (le comparé et le comparant), à partir d’un élément qui leur est commun. Exemple : La lampe brille comme une étoile. La comparaison a une double valeur : La métaphore L’allégorie La personnification La métonymie

Mathématique du secondaire - Sommaire - X.Hubaut ULB Voici l'ensemble des sujets abordés dans ce cours. Destiné aux futurs enseignants de mathématique, il est toutefois accessible aux élèves des dernières années du secondaire. Il va de soi qu'une répartition en chapitres est très subjective et fort arbitraire; en effet, bien des articles pourraient être répertoriés dans plusieurs rubriques. En glissant la souris sur le titre des différents chapitres, vous ferez apparaître les titres des articles qu'il contient. Nous vous conseillons de lire l'introduction afin de mieux en comprendre l'esprit et les objectifs. Enfin, nous ajouterons occasionnellement des documents qui pourront également être téléchargés en version pdf. Vous trouverez également une liste de liens (toujours à vérifier !) Lors de la conversion récente du site (5 février 2015), des erreurs ont pu se produire.

Charles Baudelaire - Sa vie, son oeuvre : Le poète maudit - Litteratura.com Accueil Trigonométrie - Cours maths 1ère - Tout savoir sur la trigonométrie Propriété Pour tout nombre réel t et tout nombre entier relatif k on a On dit que les fonctions cosinus et sinus sont périodiques de période Remarque Les mesures d’un angle orienté ont toutes le même cosinus et le même sinus. Définition Soit t un nombre réel. Si où k un nombre entier relatif, la tangente de t est le nombre réel Valeurs particulières Les valeurs particulières suivantes doivent être connues : Important Lignes trigonométriques des angles associés Pour tout nombre réel t, on a les égalités suivantes : Angles associés et Formules d’addition Point cléf Pour tous nombres réels a et b on a cos (a+b) = cos a cos b – sin a sin b cos (a-b) = cos a cos b + sin a sin b sin (a+b) = sin a cos b + cos a sin b sin (a-b) = sin a cos b – cos a sin b Formules d’addition : démonstration Le plan est rapporté à un repère orthonormé Soient a et b deux nombres réels . Le point t A a pour coordonnées (cos a , sin a) Le point C a pour coordonnées On a donc Dans le repère orthonormé D’où Par ailleurs , dans le repère d’où

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