Innovation Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. 1984. Les premières souris d'ordinateur. Une invention : le vélo en libre service. 1980. 1986. 2007. Sur les autres projets Wikimedia : innovation, sur le Wiktionnaire L'innovation est le processus consistant à innover, c'est-à-dire à chercher à améliorer constamment l'existant de façon radicale. Une innovation est une amélioration radicale d'un produit, d'un service, d'un procédé ou d'une de leur composantes et qui remporte un succès commercial rapide. Étymologie et particularités sémantiques des mots de l'innovation[modifier | modifier le code] " L’innovation vient du mot latin “innovare” qui signifie revenir à, renouveler. Pour Philippe Schoen, « Innover, c’est le fait de rentrer dans quelque chose de “nouveau”. Histoire du mot innovation[modifier | modifier le code] L’étymologie du mot innovation nous apprend trois choses sur l’innovation : « Innovation »[modifier | modifier le code] « Innover »[modifier | modifier le code] — p. 54
Engagement (psychologie sociale) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. En psychologie sociale, l'engagement désigne l'ensemble des conséquences d'un acte sur le comportement et les attitudes. La notion d'engagement est notamment associée aux travaux de Kiesler dans les années 1960, et ceux de Joule et Beauvois dans les années 2000. L'engagement peut être considéré comme une forme radicale de dissonance cognitive. Dans tous les cas, c'est la situation qui détermine le comportement et non pas les attitudes ou la personnalité des participants à l'expérience. La théorie de l'engagement est à la base des techniques de soumission librement consentie. Joule et Beauvois ont forgé l'expression de soumission librement consentie « pour traduire cette forme de soumission particulièrement engageante, qu'elle nous conduise à agir à l'encontre de nos attitudes, de nos goûts, ou qu'elle nous conduise à réaliser des actes d'un coût tel que nous ne les aurions pas réalisés spontanément. (en) C.A.
L'engagement Ces notions se retrouvent en français dans J.L. Beauvois et R.V. Joule (1987). La base de la théorie de l'engagement c'est que : «Seuls les actes nous engagent. La théorie de L'engagement est supportée par plusieurs expériences. Les gens qui ont déjà donné quelque chose sont engagés. Ainsi, prendre une décision est difficile et c'est une forme d'engagement. Cet engagement dans des décisions est à la base d'une technique de vente qu'on appelle localement le "bait and switch". Pour justifier d'investir encore, les gens qui ont déjà investi vont rationaliser cet acte: «...l'individu rationalise ses comportements en adoptant après coup des idées susceptibles de les justifier. » Voici un autre cas fictif. Pour d'autres, les calvinistes ont fait la promotion de l'éducation et de l'autonomie intellectuelle des fidèles en les invitant à lire la bible et à l'interpréter eux-mêmes.
Théorie de l'engagement et de la dissonance Pour expliquer les conduites des personnes; deux courants de pensée se démarquent : La conception mentaliste: (présente dès le début de la psychologie) Elle consiste à expliquer les comportements par les cognitions (les pensées). Elle pourrait rapidement se résumer par « Je fais ce que je pense ». La conception matérialiste: Elle est plus récente et consiste à expliquer les cognitions (pensées) par les comportements ou pratiques. Ce qui revient à « je pense ce que je fais ». « On ne chante pas parce qu'on est heureux, mais on est heureux parce qu'on chante.» Il considère l’engagement comme « le lien qui existe entre un individu et ses actes. » On a l'idée que seuls nos actes nous engagent. Les diverses expériences sur ce thème montrent comment les auteurs manipulent cette variable (l’engagement). En effet il existe 5 facteurs permettant de moduler la force du lien qui existe entre la personne et ce qu'elle fait. Pour engager un sujet, les auteurs utilisent différentes techniques :
IBM: An unbeatable model of innovation through the Ages - Innovation and Business Strategy's blog "If innovation doesn't lead a company to challenge the test of time,at least it must help to adapt to a changing business environment." Moss M.Jacques Best article on IBM 100th anniversary: USA TODAY: IBM joins elite group of 100-year-old companies By Matt Krantz and Jon Swartz A hundred years ago the company made punch cards, scales and clocks. The company is IBM. Don't make the mistake of thinking IBM is a corporate old-timer that just watched technology evolve. Perhaps the most quantifiable hallmark is the value investors put on the company: $197 billion. MORE: Public companies 100 years old or more (pdf) IBM's entrance to the club of U.S. companies to see their 100th birthdays is a milestone in business history. The numbers reveal just how rare it is. Many of the best-known companies that have lived for 100 years or longer include the stalwarts of American business, including ExxonMobil, General Electric and Chevron. By Seth Wenig, AP Tech’s speed of change •A strong sense of purpose.
VIPER Industry Blog | Thoughts, Trends, and Technology for the Meetings and Events Industry 13 Meetings Technology Predictions for 2013 - Corbin Ball Associates More specifically, Jim Spellos and I, with the assistance of QuickMobile, have developed TechSpec, a free technology site inspection app designed to help meeting planners and hoteliers assess and compare hotel technology capabilities. 5. Tiered free Wi-Fi will become available in many convention centers and hotels. The explosive use of mobile devices for attendees, meetings planners and exhibitors is making access to Wi-Fi at events a necessity, not an option. Wi-Fi has become the lifeblood of event communications! More than 60% of Twitter and Facebook postings are mobile. Fortunately, many facilities are beginning to recognize the basic internet for attendee is becoming as an expected utility as water or lights. Faced with the growing demand for bandwidth mentioned previously, my opinion is that a basic, throttled level of Wi-Fi (512kb/sec) should be provided throughout a meeting facility. This demand for Wi-Fi at events is growing by high double-digit numbers each year.
Service innovation The concept of Service Innovation was first discussed in Miles (1993) [1] and has been developed in the past 2 decades. It is used to refer to many things. These include but not limited to: One disagreement with this definition is that there are many cases of innovations whose benefit to the customer is somewhat dubious (e.g. overseas call centers). A comprehensive definition of service innovation was proposed by Van Ark et al. (2003) [4]: Service Innovation can be defined as "a new or considerably changed service concept, client interaction channel, service delivery system or technological concept that individually, but most likely in combination, leads to one or more (re)new(ed) service functions that are new to the firm and do change the service/good offered on the market and do require structurally new technological, human or organizational capabilities of the service organization." Service Innovation Research[edit] Areas of innovation – den Hertog's model[edit] Notes[edit]
Innovation in science, technology and industry This report summarizes work on innovation in services that was conducted as part of the OECD’s horizontal project “Enhancing the Performance of the Service Sector”. The main conclusions of this report were synthesised, along with those of other modules of the project, into a short brochure Growth in Services: Fostering Employment, Productivity and Innovation (pdf, 300Kb) that was prepared for Ministers at the Meeting of the OECD Council at Ministerial Level, 2005. It was also included in a compendium of papers prepared as part of the project, Enhancing the Performance of the Services Sector. As the report illustrates, the service sector is of growing importance in OECD economies. Policies for enhancing service sector innovation must reflect differences in the innovation processes in services and manufacturing: To date, innovation policy measures in most OECD countries have not been attuned to the service sector. Related Documents Enhancing the Performance of the Services Sector