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La recherche passe à l’ère sémantique (et sociale) (et pas visuelle)

La recherche passe à l’ère sémantique (et sociale) (et pas visuelle)
La semaine dernière, la frénésie autour de l’IPO de Facebook était a son apogée et qui a fait passé presque inaperçu un changement majeur pour le web : l’évolution du fonctionnement de la recherche de Google (Introducing the Knowledge Graph: things, not strings). Google à l’assaut du web sémantique avec son Knowledge Graph La raison majeure de cette évolution est la prise en compte de données sémantiques dans les résultats de recherche. Le Knowledge Graph est donc l’arme ultime de Google pour faire progresser la recherche. L’air de rien, cette colonne de droite est la plus grosse évolution de l’interface de Google depuis plus d’une décennie ! De plus, la structuration des connaissances va permettre d’afficher des listes de résultats plus courtes, mais plus riches, ce qui est parfait pour les terminaux mobiles : The Knowledge Graph for mobile and tablet search. Présenté de cette façon, ça à l’air très bien. Microsoft à l’assaut du web social avec Bing Yahoo!

Knoema. Moteur de recherche d’infographies Knoema est un outil unique pour trouver des representations graphiques, de données brutes, des cartes et des datas sur une foule de sujets. Une sorte d’encyclopédie enrichie par ses usagers qui fait la part belle au data, nouvelle tendance forte de l’information sur le Web. Knoema fonctionne à la manière d’un moteur de recherche. Vous pouvez parcourir les données présentes soit par catégories, soit par mots clés, soit en faisant une recherche par mots. Knoema offre aussi une serie d’options qui vont vous permettre de personnaliser votre utilisation de ce portail dédié aux données. Vous pouvez tester Knoema ici sur le Web. Like this: Like Loading...

Web sémantique, Web de données : présentation On désigne généralement par le terme de Web sémantique un ensemble de technologies développé par le W3C (l'un des principaux organismes de normalisation du Web) visant à faciliter l'exploitation des données structurées, notamment en permettant leur interprétation par des machines. Le Web de données (Linked Data en anglais) combine les technologies du Web sémantique avec les principes fondamentaux du Web (protocole HTTP, identifiants URI), avec pour objectif la construction d'un réseau d'informations structurées, disponibles en ligne et facilement réutilisables dans de nombreux contextes. Le Web sémantique Le terme de Web sémantique a été proposé par Tim Berners Lee en 2001 (« The Semantic Web », Scientific American Magazine , May 17, 2001) pour désigner une évolution du Web qui permettrait aux données disponibles (contenus, liens) d’être plus facilement utilisables et interprétables automatiquement, par des agents logiciels . Le Web de données Autres ressources majeures :

Freebase, la machine à “créer les synapses du cerveau global” Par Hubert Guillaud le 22/03/07 | 5 commentaires | 12,156 lectures | Impression “Créer les synapses du cerveau global” : c’est ainsi que Tim O’Reilly, appelé à réagir pour le New York Times, salue la création de Freebase. Cette première réalisation de Metaweb, la nouvelle société du spécialiste des “machines intelligentes” Danny Hillis et de Robert Cook, se fixe en effet pour mission, selon ses propres termes, de créer “une base de connaissances communes, une base de données structurée, interrogeable, constituée et modifiée par une communauté de contributeurs“, ou encore “un espace public des données” (data commons). Mais le web sémantique, qui repose sur l’ajout organisé de “métadonnées” chargées de décrire chaque document ou élément d’information (“cette vidéo dure X mn Y secondes, elle parle des sujets A et B, son réalisateur se nomme C, M. Comment fonctionne Freebase ? Comment Freebase compte-t-il s’en sortir ? Les enjeux de freebase Esther Dyson encore : Y parviendra-t-il ?

Panda : un filtre manichéen, et une punition pas forcément définitive - Journal du Net Solutions Comment se déclenche la pénalité de Google Panda, et surtout comment s'en prémunir ? Un expert a conduit divers tests. Certaines conclusions sont surprenantes. Un expert en référencement naturel, Peter van der Graaf, vient de livrer les conclusions d'une expérience qu'il a pu mener pour comprendre comment fonctionnait précisément Google Panda, neuf mois après son déploiement outre-Atlantique. Il a ainsi pu étudier en détails 50 sites impactés par le filtre de Google. Le manichéisme du Panda Première conclusion, Panda est assez manichéen : les pages sont pénalisées ou non, il n'y pas d'entre-deux ou divers degrés de pénalité. L'expert a également remarqué que les pages avec du contenu de bonne qualité peuvent néanmoins être pénalisées lorsqu'elles se retrouvent dans la même rubrique ou dans la même section que d'autres contenus de faible qualité. Un seuil de mauvaise qualité déclenchant le filtre Panda ? Avoir de "bons backlinks" aiderait à se protéger de Panda.

Proving social media success is all about analytics The elusive social ROI. Executives demand it, marketers search for it. But it’s actually not so elusive, especially for those marketers who’ve embraced the latest social technologies. Perhaps, however, marketers should not be thinking old-school marketing metrics for today’s social web. Measurement is the number one priority There’s no denying the importance of social for marketers, as Facebook closes in on 1bn consumers and Twitter tops 200m, not to mention emerging platforms like Google+, Instagram and Pinterest. And as smartphone proliferation continues to rise, literally hundreds of millions of mobile consumers will make social networks their on-the-go portal. By now, every major brand has a social presence. Return on engagment (ROE) Executives are asking for analytics to prove social ROI, but social is a completely different medium that requires a different way of looking. An engaged consumer can be much more powerful than a few sales, they can be a walking brand ambassador.

Hubbi. Moteur de recherche d’informations a partir d’une carte Hubii est une heureuse surprise dans l’avalanche de d’outils de recherche et de fils de news et d’autres agrégateurs rss. Hubii, je ne vous le cache pas est un petit coup de coeur personnel. Hubii est un puissant moteur de recherche de news essentiellement issues des sites web des journaux en ligne. Sur Hubii vous pouvez lire les nouvelles depuis des centaines de sources à travers le monde, simplement en choisissant un lieu sur une carte type Google Maps. Ce journal, Hubii l’appelle un Mapazine. Hubii permet par ailleurs une utilisation sous la forme d’un moteur de recherche classique à partir d’un ou de plusieurs mots clés. Hubii est un outil de veille simple qui nous a réellement séduits. Like Loading...

Pronétaire Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pronétaire est un néologisme créé par Joël de Rosnay en 2005 à partir du grec pro, (« devant », « avant », mais aussi « favorable à ») et de l’anglais net (« réseau »), qui a conduit à l’appellation familière en français d’Internet (le « Net »). Le mot « pronétaire » s'emploie comme nom commun et est un clin d'œil au mot « prolétaire ». L'adjectif est « pronétarien ». Définitions[modifier | modifier le code] Pour de Rosnay, les pronétaires sont : Depuis quelques années, nous assisterions donc, sur un théâtre virtuel, au développement d'une nouvelle lutte des classes entre les « infocapitalistes », qui détiennent les contenus et les réseaux de distribution de masse, et les « pronétaires ». Voir aussi[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code] Portail d’Internet

Google OneBox Results On top of the organic results (and sometimes at the bottom), Google shows OneBox results for queries that can be answered instantly or when a direct link can be offered. There are several kinds of OneBox results: 1. Music search. Enter the name of an artist or band, and you'll get information, albums and reviews. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10. 11. 12. 13. 14. 15. 16. 17. 18. 19. 20. 21. 22. Related:Google OneBox for enterpriseGoogle Calculator

Rethinking Facebook’s role in ‘f-commerce’ 8thBridge helped coin the term “f-commerce” by being the first to open a store on Facebook in 2009 for 1-800-Flowers. But after helping build dozens of other branded stores on Facebook for companies, the sales never really materialized, something 8thBridge CEO Wade Gerten acknowledged earlier this year when he said f-commerce deserved an F. But Gerten believes there is a future in using Facebook as a sales channel, though it means rethinking the role Facebook plays in it. On Tuesday, his company unveiled a new social commerce platform called 8thBridge Graphite that doesn’t rely on steering shoppers to Facebook stores. Instead, it integrates with existing e-commerce sites and uses Facebook as a place to communicate consumer interest in products, letting them shop and gain information before buying on a traditional retail site. Gimme some Love Facebook commerce hasn’t taken off because very few people know about stores on Facebook, Gerten said. Use Facebook for shopping, not transacting

Savez-vous utiliser Google ? Une infographie publiée sur le blog américain PPCBlog rend compte du fonctionnement du célèbre moteur de recherche. Il décrit les différentes étapes qui jalonnent l'existence d'un contenu produit en ligne ou de sa mise à jour : sont ainsi décrits la manière dont le robot parcourt le web et indexe les pages, l'application de filtres, le principe des mots-clés publicitaires, l'importance du cache... Infographic by the Pay Per Click Blog La "colonne d'outils" de Google Lancée en mai 2010, l'interface du moteur de recherche que nous connaissons bien se nomme Google Jazz. La partie centrale présente la liste des résultats épurée des éléments "en cache" et "pages similaires". Parmi toutes ces options souvent méconnues ou négligées par les internautes, on retiendra en particulier la possibilité d'affiner la liste des résultats en fonction de leur date de publication. Sources PPCBlog : Learn how Google works BFR Consultants :

Ken McKenzie Wark, Un manifeste hacker 1L’ouvrage atypique de Ken McKenzie Wark, initialement publié aux éditions Harvard University Press en 2004, s’investit dans une réflexion profonde sur la notion d’inventivité au travers du terme générique « hacker ». Il réunit 389 pensées sous la forme d’aphorismes en 16 chapitres, eux-mêmes dénommés individuellement par d’uniques mots clés : abstraction, classes, éducation, hacking, histoire, information, nature, production, propriété, représentation, révolte, état, sujet, surplus, vecteur. 2Pour l’auteur, l’emploi du terme hacker est à envisager comme un concept générique et transversal désignant la production d’idées nouvelles dans des domaines variés. Pourtant absente du volume, la définition originelle octroyée par le Massachussets Institute of Technology (MIT) aux prémices de l’informatique, donne quelques précieux éléments de compréhension.

Comment fonctionne l'algorithme de Google Par Aurélien Bardon : Comment fonctionne l'algorithme de Google Le 3 juin fut publié un article de Saul Hansell dans le célèbre News York Times traitant du fonctionnement de l'algorithme de Google permettant de classer les sites. Il est également abordé le process des mises à jour de l'algorithme ainsi que leurs méthodes de travail pour préserver et améliorer la qualité des résultats. Cet article me semble intéressant pour 5 principales raisons : Il confirme de nombreuses hypothèses émises depuis longtempsIl s'agit d'un article traitant de l'algorithme de classementLes informations proviennent de GoogleDe nouveau éléments de réflexion sont proposésIl permet de mieux comprendre comment fonctionne l'algorithme Voici donc une traduction intégrale (non officielle) réalisée par la talentueuse Shannon Delorme en exclusivité pour votre blog préféré. Ces jours-ci, Google semble tout faire, partout. Mais Google demeure avant tout un moteur de recherche. M. Google attache tant d'importance à M. M.

Study: Blogging in decline as social media takes over - Blogs & Content Back in 2010, half of companies had a corporate blog. In 2011 that figure declined significantly to just 37%. Among Fortune 500 companies, growth in blogging has leveled off with 23% continuing to blog in 2011, the same as in 2010, compared to 91% who use social media. Why is blogging on the decline? Rather than a long blog post once or twice a week, social channels can be maintained by quick and more regular injections of information such as photos, a one-liner or a poll question - just enough to say "we're still here". Social use is overtaking not only blogging, but also message boards, video blogging, podcasting and MySpace. "The fact that blogging had leveled off among the world's largest and most profitable companies raised questions about the use of this mature tool," states the accompanying press release. "This study indicates that there is now support for the proposition that the use of blogging may have peaked as a primary social media tool in the US business world. inShare

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