Conseils : 13 Conseils dont il faut se souvenir dans les moments difficiles Nous avons tous traversé des moments difficiles. Et nous arrivons tous à les surmonter. Cependant, certains arrivent à mieux les surmonter que d’autres. Alors quel est leur secret? La plupart du temps c’est dû à l’approche. Voici 13 Conseils dont il faut se souvenir dans les moments difficiles: 1 Ce qui est, est simplement ce qui est. Un célèbre dicton de Bouddha nous dit que : «C’est la résistance « qui » provoque la souffrance. » Pensez-y une minute. 2 C’est un problème uniquement si vous croyez que s’en est un. La plupart du temps nous sommes notre pire ennemi. 3 Si vous voulez que les choses changent, vous devez commencer par vous changer vous-même. Votre monde extérieur est le reflet de votre monde intérieur. 4. Vous devez juste essayer d’effacer le mot «échec» de votre vocabulaire. 5. C’est parfois difficile à croire, je sais. 6. Et il y a toujours quelque chose de précieux à chaque instant. 7. La plupart des gens vivent avec « l’esprit emprisonné. » Qu’est-ce que cela signifie? 8.
SOMA, PSYCHE et NOOS : corps, psychique, intellect Je suis fidèle à une conception tripartite de l'humain, que je trouve chez les Grecs, mais aussi chez les Chinois, considérant que le dualisme, (notamment cartésien) qui oppose violemment le corps et l'âme est une hérésie, et une catastrophe pour la pensée, pire encore pour la thérapie. Les Grecs nous apprennent à distinguer trois pôles : le Sôma, la Psychè et le Noûs (j'écris plus haut NOOS, orthographe plus ancienne du terme, pour écarter toute ambigité). Le sôma c'est le corps réel : physiologie, anatomie, peau, sang, muscles, organes, viscères, fonctions, besoins etc. Rien à voir avec l'image du corps, qui est une construction psychique. Le sôma c'est le réel organique, dans son opacité, son énergie, sa puissance et sa fragilité. Psychè désigne d'abord le souffle. Sôma et Psychè constituent un ensemble à la fois harmonique et conflictuel. C'est là le noeud de la question thérapeutique. L'autre jour j'ai eu la bonne surprise de voir le triangle fondatif de la médecine chinoise.
Les émotions: causes internes des maladies | Médecine chinoise Parmi les causes de la maladie nous avons vu qu’il y avait les causes externes: Les six énergies perverses. Nous allons voir maintenant les causes internes: les émotions. Bien qu’une énergie perverse externe ayant pénétré profondément dans le corps peut devenir interne, la médecine chinoise considère les émotions comme les principales causes internes (nèi yīn; 内因). L’activité émotionnelle est normale et est une réponse psychologique et physique à un stimulus venant d’un environnement extérieur. Mais, comme toujours dans la médecine chinoise, lorsqu’un équilibre est rompu cela laisse la porte ouverte à la maladie. Nous allons voir dans un premier temps comment sont habituellement présentées les émotions dans la médecine chinoise en occident, leur relation avec les organes et la théorie des 5 éléments. 1) Les émotions telles qu’elles sont présentées habituellement A) Les 7 émotions Les classiques de la médecine chinoise présentent sept émotions qui sont habituellement: Oui et non! Loading ...
Peck Scott, Le chemin le moins fréquenté : apprendre à vivre avec la vie, J’ai lu 1990 apprendre à vivre avec la vie (J’ai lu, 1990) (Analyse par le Dr Patrice Eon) L'ouvrage de Scott Peck a été écrit en 1978, l'auteur est un psychiatre américain à orientation analytique qui ne fait aucune distinction entre le spirituel et le mental donc aucune distinction entre évoluer spirituellement et évoluer mentalement, pour lui c'est la même chose. Il pense que l'évolution personnelle implique un travail complexe et ardu qui dure toute la vie et considère que la psychothérapie peut être une aide substantielle mais qu'elle n'est pas fondamentale. Il se situe hors tout courant dogmatique, ne se déclare ni Freudien, ni Jungien, ni Adlérien et défend la pluralité des voix vers l'évolution spirituelle. La première partie de son ouvrage est consacrée à la discipline. Il considère celle-ci comme un outil de base dont nous disposons pour apprendre à affronter les problèmes et à les résoudre avec succès pour s'enrichir et évoluer. L'équilibre est la quatrième technique de discipline.
Faire la différence entre le surmenage et la dépression Rien ne va plus au travail: déprime, manque de concentration, fatigue… Est-ce du surmenage? Fait-on une dépression? Camillo Zacchia, psychologue et conseiller principal au Bureau d’éducation en santé mentale de l’Institut Douglas à Montréal, nous aide à faire la différence. Faire un burnout, qu’est-ce que cela signifie? Le surmenage, qu’on appelle communément le burnout, fait référence à une incapacité de fonctionner au travail. S’agit-il d’une forme de dépression? Les deux notions sont donc liées ? Comment définiriez-vous une dépression? Comment réagir face au surmenage? «Qu’on soit brûlé ou déprimé, il faut arriver à identifier les causes de son mal-être et, si nécessaire, ne pas hésiter à se faire aider.» – Camillo Zacchia, psychologue et conseiller principal au Bureau d’éducation en santé mentale de l’Institut Douglas à Montréal Quels sont les signes d’un épuisement professionnel?
Psyché et Soma: onde ou particule? J’ai envie de reprendre ici un débat, vieux comme le monde, celui qui concerne le psychologique et le somatique et les rapports réciproques qu’ils entretiennent. Depuis la séparation cartésienne entre l’âme et le corps en tant que substances indépendantes, moment qui marque la séparation entre science et philosophie, on a tendance à considérer l’esprit comme le lieu de la rationnalité pure et le corps comme le receptacle de l’irrationnel (il est vu comme le lieu du désir, de la pulsion, du charnel, de l’animal). Même s’ils constituent un tout, ils sont conçus comme deux entités aux propriétés distinctes. Sans citer d’autres écoles, les études sur la psychosomatique ont pu révéler l’interdépendance fondamentale entre psychique et organique, les maladies de l’esprit influant sur les maladies du corps. L’esprit est bien obligé de siéger dans le corps, il ne le transcende pas, et le corps ne peut se délivrer de l’influence de l’esprit. La psychanalyse va aussi venir s’incrire dans ce débat.
L'écoute active L'écoute active Comment pratiquer l’écoute active? Pour simplifier, considérons qu’il s’agit de savoir écouter et de savoir activer l’expression de l’interlocuteur. bien écouter, c’est d’abord être en EMPATHIE, ce qui revient à isoler soigneusement ce qu’exprime votre interlocuteur de ce que nous ressentons nous-mêmes en l’écoutant (en particulier sympathie ou antipathie). Il ne faut pas pour autant chercher à effacer ses sentiments (apathie). bien écouter, c’est aussi manifester une ATTITUDE COMPREHENSIVE au sens des attitudes de PORTER. C’est d’abord se taire lorsque votre interlocuteur parle ou lorsqu’il cherche la suite de ses idées: la première technique d’écoute active est donc LE SILENCE. Ainsi votre interlocuteur reconnaîtra comme dans un miroir l’image de ce qu’il a dit ; cette image l’aidera à clarifier son point de vue et à l’approfondir (la reformulation a un effet de “rebond”) : ainsi, il se sentira compris et encouragé à s’exprimer. Source:www.inh.fr
UN NOUVEAU REGARD SUR LES RELATIONS PSYCHE/SOMA Un nouveau regard sur les rapports psyché/soma Pour une conception généalogique des rapports psyché/soma L'homéopathie est riche de contributions possibles à la connaissance biologique et humaine. Cette dimension est, cependant, totalement négligée, empêtrés que nous sommes dans des débats homéopathico-homéopathiques, et peu curieux de nous confronter aux autres disciplines médicales et biologiques. Et pourtant, l'homéopathie, bien comprise, permet de dépasser la conception traditionnelle des rapports soma/psyché et, notamment, son aspect exagérément dualiste. Du fait de sa dimension phénoménologique, l'homéopathie, j’y ai insisté de nombreuses fois, ne distingue pas radicalement signes physiques et psychiques. Il y a donc à s’interroger sur les enjeux scientifiques, en termes de connaissance, au plan épistémologique, également, sur ce tissage homéopathique du physique et du psychique. Le tissage vital de l’être humain ou le couplage fonctionnel structurant des pôles psychique et physique
LÂCHER-PRISE ET LE DÉTACHEMENT © Par Richard Thibodeau, auteur du livre « Votre vie… reflet de vos croyances » Éditions Quebecor et du livre « Au-delà des croyances » du même éditeur. Un grand nombre de gens se sentent coupables s'ils ne font pas quelque chose pour régler leurs problèmes. Ils sont incapables de lâcher-prise ou de vivre du détachement. Parce qu’ils n’ont pas de solutions immédiates, ils s’inquiètent, tournent en rond, doutent d'eux-mêmes. Malheureusement, la plupart du temps le problème reste sans solution parce que les méthodes utilisées pour le solutionner ne fonctionnent pas. Souvent ce que l’on croit être le problème est un symptôme. Pensez à quelques-uns des problèmes que vous avez et posez-vous la question : depuis combien de temps est-ce que j'entretiens ces problèmes en appliquant des solutions qui ne fonctionnent pas?... C'est quoi lâcher-prise et vivre du détachement pour vous?... Bien sûr qu'il y a des situations où c'est nécessaire de vivre du détachement et du lâcher prise.
La formation du couple homme-femme et sa transmutation en couple androgyne La formation du couple homme-femme et sa transmutation en couple androgyne La formation du couple homme-femme se décline en multiples possibilités dont il n’est pas question de faire ici l’exégèse. Toutefois et parmi ces possibilités une attention particulière peut être accordée à celle qui, en se référant aux conceptions pythagoricienne et jungienne de l’âme humaine, conduit au couple dans lequel arrive à s’inscrire l’androgynie et qui, à ce titre, s’identifie au couple idéal ou parfait. Pour les Pythagoriciens la structure humaine est une structure ternaire dans laquelle s’inscrivent le Noûs (l’Esprit en l’homme), la Psyché (l’Ame) et le Soma (le Corps). Le Noûs est l’étincelle divine ou la parcelle d’Esprit dont tout homme est dépositaire.
Dialectique du moi et de l'inconscient (CG Jung). Dialectique du moi et de l'inconscient La confrontation avec l'inconscient passe par l'étude des rêves et des fantasmes. Ceux-ci nous renseignent sur l'attitude de notre "moi" mais également sur la dynamique de l'inconscient. Jung distingue l'inconscient personnel (matériaux refoulés, éléments qui appartiennent à la vie du sujet mais qui sont passés provisoirement en dessous du seuil de la conscience) et l'inconscient collectif, commun à l'ensemble des hommes. Les archétypes qui sous tendent l'inconscient collectif ne sont pas des représentations héritées, mais des structures préformées de notre psychisme capables d'animer les matériaux qui composent la vie d'un individu. Jung rappelle que «la vie psychique, dans son processus évolutif - comme tout processus d'ailleurs -, n'est pas simplement un déroulement conditionné de façon causale ; elle est aussi une démarche orientée vers une certaine fin, à laquelle elle tend ; la vie est aussi finalité».
De la souffrance à être à la souffrance à exister-Enfance De la souffrance à être à la souffrance à exister Article paru dans les numéros 22 et 23 (été 2011) de la Revue Santé Intégrative Tout être humain aspire à être ce qu’il est au sens fort du terme. Nous avons beau exister, nous sentons bien que cela n’est pas suffisant. Nous ressentons le besoin d’être ce que nous sommes et pas simplement d’être au sens d’exister. Aussi nous mettons nous en chemin afin de « devenir ce que nous sommes, selon la belle formule de Saint Augustin reprise par Nietzsche en nous posant la question du : « Qui suis-je ? » Bertrand Vergely ( Cahiers jungiens de psychanalyse, décembre 2010) De l’essence à l’existence… Le mot souffrance vient de deux mots latins : le préfixe « sub » qui signifie « en dessous » et le verbe « ferre », qui signifie « porter ». Le mot implique donc l'image d'un portage sous lequel on peut ployer jusqu’à n’en plus pouvoir… Elle peut être bruyante, mais aussi muette et déniée.