Senators tell Facebook: tighten privacy policy Bloquer les mouchards de Facebook Avec les Social Plugins introduits il y a quelques jours, Facebook prétend ajouter un bouton “Like” sur toutes les pages du Web. C’est sans doute super pour cette société de savoir qui regarde quelle page de quel site à tout instant, mais, moi, ça ne me plaît pas. Il suffit de quitter Facebook, me direz-vous. En vérité ce n’est pas si simple. Car avec ces plugins, chaque webmestre est encouragé à ajouter sur ses propres pages une petite ligne de code qui moucharde directement à Facebook le fait que vous lisez cette page. Si vous êtes connecté à Facebook à ce moment-là, le message qui s’affiche est personnalisé à votre nom, et en fonction de vos amis. Pour éliminer ça, j’ouvre mon bloqueur de publicités préféré, et j’ajoute une règle personnalisée : ||facebook.com/*$third-party Cette règle indique au bloqueur de publicité d’interdire tout appel à une ressource Facebook (||facebook.com/*) depuis un domaine autre que celui de FB lui-même ($third-party). Sur Firefox, j’emploie Adblock Plus :
Thoughts on Flash TrackMeNot Background Public awareness of the vulnerability of searches to systematic surveillance and logging by search engine companies, was initially raised in the wake of a case, initiated August 2005, in which the United States Department of Justice (DOJ) issued a subpoena to Google for one week's worth of search query records (absent identifying information) and a random list of one million URLs from its Web index. This was cited as part of its defense of the constitutionality of the Child Online Protection Act (COPA). When Google refused, the DOJ filed a motion in a Federal District Court to force compliance. While viewed from the perspective of user privacy this seems a good outcome, yet it does bring to light several disquieting points.
Zuckerberg: “We Are Building A Web Where The Default Is Social” Today at Facebook’s F8 conference), Mark Zuckerberg laid out his plan to turn the Web into “instantly social experiences.” The building blocks to this super-social Web are Facebook’s new Open Graph and Social Plugins, which include new “like” buttons everywhere on sites outside Facebook.com, auto-login capabilities for those sites without clicking on Facebook Connect, and even a Facebook social bar which includes several of these plugins plus Facebook chat (goodbye, Meebo). We’ve reported on all of these new features before, but today Zuckerberg put them into context: “we are building a Web where the default is social.” How is Facebook doing this? First and foremost, Facebook has redesigned its Graph API for developers so that not only can they see the social connections between people, but they can also see and create the connections people have with their interests—things, places, brands, and other sites. Zuckerberg calls it the Open Graph (as opposed to the Social Graph).
Je n’aime plus » facebook Vous lui donneriez le Bon Dieu sans confession et c'est bien là le problème. Mark Zuckerberg, ce jeune homme au visage encore poupin déploie une emprise grandissante sur le web sans égard pour votre vie privée. Vous vous vantiez de le pressentir ? C'est pire depuis quelques jours. Certains protestataires font certes figure d'ayatollahs des données personnelles. Mais auriez-vous imaginé un jour que vous donneriez volontairement à un organisme une fiche à jour comprenant votre nom, prénom, ceux de votre conjoint le cas échéant, votre sexe (voire votre orientation sexuelle), vos opinions politiques, vos convictions religieuses, les personnalités que vous aimez, et jusqu'aux photos de vos enfants ? Figurez-vous qu'aujourd'hui, Facebook est en mesure de tracer très précisément l'ensemble de votre activité sur le Net, grâce à l'implantation des ces petits et avenants boutons "like" qui ont fleuri sur 50.000 sites en une semaine, et furtivement ici même. Vous le saviez (n'est-ce pas ?) Soit :
Advice From Founders Who Bootstrapped Their Way to Success In my last post, I discussed why the odds of a rookie entrepreneur getting seed financing from a VC are very slim. The reality is that less than 5% of venture money goes to seed-stage startups; VCs typically invest when a company has a working product, a tested business model, and a strong management team. It’s the entrepreneurs who take the risk; not the VCs. They beg and borrow money from friends and family, max out their credit cards, and sometimes make do by living at home with their parents. Yet, very often, it’s the VCs who get the glory. I don’t think that’s fair. Take Chicago-based Threadless. My Q&A with Jake: Would you have taken a VC investment if you could have, when you started? Definitely not, as I was starting a hobby and not a business. Why did you take investment and how has that experience been? We were having major operations trouble and weren’t incredibly excited about fixing it ourselves. What advice would you give fellow entrepreneurs? My Q&A with the team:
Webwijs – Bits of Freedom Onze zelfverdedigingsgids voor internetters, ‘Webwijs – Online Zelfverdediging in 5 Clicks’, is inmiddels een week oud. Vanaf de lancering op 8 juni 2010 heeft Webwijs de gemoederen flink bezig gehouden: verrassend veel media-aandacht, een boel nuttige reacties van gebruikers en af en toe terechte kanttekeningen. Tijd voor een tussenstand. Ook al is Webwijs de eerste zelfverdedigingsgids die een breed pakket aan maatregelen biedt tegen spam, virussen en privacyschendingen – het verschijnen van de gids is op zichzelf geen schokkend wereldnieuws. Die media-aandacht heeft niet alleen het gebruik van Webwijs gestimuleerd, het heeft ook nuttige tips opgeleverd. Er waren ook terechte kanttekeningen. Al met al kijkt Bits of Freedom tevreden terug op de eerste week Webwijs.
Pourquoi je n’utiliserai plus Facebook Jusqu’à présent, Facebook était un « réseau social » qui permettait à ses utilisateurs de se relier entre eux en « devenant amis » pour ainsi partager et publier des informations, des liens et des contenus. Certes, si on publiait sa vie privée sur facebook, on pouvait ensuite s’en mordre les doigts et commencer à se poser des questions : « ma vie privée est-elle menacée par facebook ? », « faut-il instaurer un droit à l’oubli pour protéger les jeunes de leur utilisation de facebook ? » J’ai déjà décrit ce que j’en pensais. J’ai trouvé jusque là qu’il n’y avait pas grand mal à être inscrit sur facebook. En somme, le calcul des avantages moins les inconvénients était positif, surtout si, comme moi, on est soucieux de garder le contrôle de ses publications et que donc on n’a ni souscrit à n’importe quoi, ni publié quoique ce soit qui n’ait été un minimum réfléchi. Mais voilà, cette semaine, facebook a annoncé ses plans et les changements qu’ils venaient de mettre en place. Que faire ?
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Is Your Brand Foiled by Google Search? With its place in the lexicon as a verb and noun, Google is considered by many brand marketers to be the de facto standard for Internet search. It stands to reason that a consumer who searches for a brand by name will expect to find it high up in Google's search results. But what happens when a consumer searches for a generic term, such as "life insurance"? Not always, according to a recent study by Covario, an interactive marketing analytics firm. Take the search term "home repair," for example. Try the second page, where it's the #16 result for that particular query. Similarly, Tiffany scores a high ranking (#5) when searching for the generic "jewelry" but falls to 29th place when searching for the more specific query of "wedding rings." 1-800-Flowers did indeed capture the number one spot for the search term "flowers," but the brand slid to 25th spot in a search for "gifts." While the problem is obvious, the solution is less so.