Conférence des Nations unies sur l’environnement et le développement Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La conférence des Nations unies sur l’environnement et le développement, plus connue sous le nom de sommet de la Terre de Rio de Janeiro ou sommet de Rio, s’est tenue à Rio de Janeiro au Brésil du 3 au 14 juin 1992, réunissant 110 chefs d'États et de gouvernements et 178 pays. Maurice Strong en était le secrétaire général. Environ 2 400 représentants d’organisations non gouvernementales (ONG) étaient présents, tandis que plus de 17 000 personnes assistaient au Forum des ONG qui se tenait parallèlement au Sommet. Cette conférence, dans le prolongement de la conférence internationale sur l’environnement humain (le premier Sommet de la Terre s’étant déroulé en 1972 à Stockholm), a été marquée par l’adoption d’un texte fondateur de 27 principes, intitulé « Déclaration de Rio sur l’environnement et le développement » qui précise la notion de développement durable : Demande du dalaï-lama à l'ONU[modifier | modifier le code]
Agenda 21 Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'Agenda 21 est un plan d'action pour le XXIe siècle. Adopté par 192 chefs d'État lors du sommet de la Terre, à Rio de Janeiro, en 1992. Description[modifier | modifier le code] Avec ses 40 chapitres, ce plan d'action décrit les secteurs où le développement durable doit s’appliquer dans le cadre des collectivités territoriales. En parallèle à ce plan d'action, une déclaration sur l’environnement et le développement a été adoptée. Les collectivités territoriales sont appelées, dans le cadre du chapitre 28 de l’Agenda 21 de Rio, à mettre en place un programme d’Agenda 21 à leur échelle, intégrant les principes du développement durable, à partir d’un « mécanisme de consultation de la population » : ainsi naît l’Agenda 21 local. En France, l'Observatoire national des agendas 21 locaux[2], porté par le ministère du Développement durable, l'Association 4D, l'Association des maires de France et le Comité 21 assurent cette mission. Section I.
Agenda 21 de la culture Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Logo associé aux actions liées à l’Agenda 21 de la culture Agenda 21 de la culture est un engagement des villes ou gouvernements locaux en faveur du développement culturel. Histoire[modifier | modifier le code] En septembre 2002 la ville (Prefeitura) de Porto Alegre organise une "Réunion mondiale pour la culture", réunion des maires et directeurs techniques de culture de villes comme Florence, Barcelone, Paris, Palmela, Saint-Dénis, Montreal, Rome, Capetown ou Melbourne, avec la participation d'observateurs de la société civile. Le document est approuvé le 8 mai 2004 par le quatrième Forum des autorités locales pour l’inclusion sociale de Porto Alegre, qui se tient à Barcelone dans le cadre de la première édition du Forum universel des cultures. En janvier 2012, environ 450 villes, gouvernements locaux, organisations ou institutions nationales et internationales ont approuvé Agenda 21 de la culture[2]. Rapports[modifier | modifier le code]
Référencez votre démarche Pour procéder à votre inscription initiale, vous devez choisir un login et un mot de passe, qui vous seront confirmés par mail à l’issue de l’enregistrement. Ces codes vous permettront ensuite d’actualiser les informations relative à votre démarche au cours du temps. Caractéristiques de l’établissement Taille approximative de la Communauté scolaire (élèves, enseignants, équipes administrative et technique) Surface approximative de l’établissement (terrain + bâtiment) Coordonnées de l’établissement Région Département Référent pour la démarche Précisions sur la démarche Si oui, précisez : (facultatif) Date de lancement par le Conseil d’établissement Documents en téléchargement Objet (facultatif) Qui a impulsé la démarche ? Choisissez Si oui, précisez (choix unique): Intercommunalité Partenaires de la démarche Détaillez les différents partenaires de votre démarche : Evaluation qualitative de la démarche De quels types de moyens internes bénéficie votre démarche ? Les axes de progrès retenus : Expression libre
Dernier numéro Infos 21 Actualités des adhérents Le « Déclic Mobilités » du Réseau Alliances Le réseauAlliances anime Déclic Mobilités, la première communauté d'échange de pratiques sur la mobilité durable entre personnes du Nord-Pas de Calais. Soutenu par AG2R La Mondiale, l'ADEME Nord-Pas de Calais, Mobivia Groupe, la région Nord-Pas de Calais et Transpole Groupe Keolis, Déclic Mobilités a pour objectif d'accompagner les démarches de management de la mobilité dans les organisations et accélérer ainsi le changement des pratiques. Ainsi, le réseau Alliances anime des ateliers d'échange et des groupes de travail autour de grands axes : la capitalisation et la diffusion des bonnes pratiques ; la mise en réseau des acteurs publics et privés (entreprises, collectivités, acteurs de la mobilité), et la co-construction d'outils de management. La Poste, acteur engagé pour la mobilité durable Chaque matin, les facteurs de la Poste parcourent plus de 50 fois le tour de la Terre pour distribuer courrier et colis...
janvier 2012 Eric Pineda observe dans la cale de l'Achernar la petite dizaine de tonnes de chinchards que ce bateau de 17 mètres a ramenées en quatre jours dans des eaux autrefois si poissonneuses qu'on emplissait les cales en quelques heures. Comme tous les habitants du vieux port de Talcahuano, au sud de Santiago du Chili, cet agent de quai a toujours connu ce poisson de couleur bronze et plein d'arêtes qui se déplace en bancs dans le Pacifique sud. "Les stocks diminuent rapidement, remarque Pineda. Nous devons faire vite avant que tout ait disparu." Les scientifiques estiment que les stocks de chinchards sont passés de 30 millions de tonnes à moins de 3 millions en vingt ans. Poisson gras riche en protéines, le chinchard représente une véritable manne pour une planète affamée et constitue une denrée de base en Afrique. Il faut au moins 5 kg de chinchards pour obtenir 1 kg de saumons d'élevage. L'un de ces nouveaux venus, l'Atlantic-Dawn, était à l'époque le plus gros bateau de pêche du monde.
Les Humains Associés : The Club of Budapest : POURQUOI A-T-IL ÉTÉ CRÉÉ ? L'idée du Club de Budapest remonte aux conversions entre Aurelio Peccei, le co-fondateur et premier Président du Club de Rome, et Ervin Lazslo, membre de ce dernier et maintenant président du Club de Budapest. Dans les jours et les années qui ont suivi le 10e anniversaire du Club de Rome, tenue en 1978 à Rome, ils se rencontrèrent pour discuter de la nécessité d'impliquer quelques uns des esprits les plus connus et les plus créatifs de notre temps dans la discussion en cours que le Club de Rome a appelée "la problématique du monde". Peccei souligna que le Club de Rome rassemblait des personnalités de très haut niveau des domaines scientifiques, politiques et des affaires, et que de ce fait, il faudrait instituer un club annexe pour équilibrer la pensée rationnelle dans ce domaine avec l'aspect intuitif qu'apporte la créativité dans les arts, dans la littérature, et dans la spiritualité.
Club de Rome Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Club de Rome est un groupe de réflexion réunissant des scientifiques, des économistes, des fonctionnaires nationaux et internationaux, ainsi que des industriels de 53 pays, préoccupés des problèmes complexes auxquels doivent faire face toutes les sociétés, tant industrialisées qu'en développement. Piloté à sa création par Aurelio Peccei, un Italien membre du conseil d'administration de Fiat, et Alexander King, un scientifique et fonctionnaire écossais, ancien directeur scientifique de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), il doit son nom au lieu de sa première réunion à Rome, à l'Accademia dei Lincei le . Les notions de développement durable et d'empreinte écologique font du Club de Rome un précurseur. Son comité exécutif est constitué de treize membres. En 1993, Aurelio Peccei et Ervin Laszlo ont l'idée de créer le Club de Budapest. Le rapport The limits to growth - Halte à la croissance ?