Austerity Kills: How the EuroCrisis is Being Used to Break the Social Contract One aspect of the Eurocrisis that has not gotten the attention it deserves is the way it is destroying not just jobs, but the very underpinnings of society. People who took actions that were prudent at the time are increasingly at the mercy of forces beyond their control. And this isn’t a tsunami-type disaster but a man-made one whose severity is worsened by the callous attitudes of the European elites. We’ve featured stories from time to time on how Greece is unraveling. And in some ways worst of all, the health care system is on the verge of collapse. And the targeting of the health care system was no accident: Greeks have long had to give medical staff cash “gifts” to ensure good treatment. Greece has been told to reduce health care from its current 10% of GDP to below 6%. In a Real News Network interview, Rob Johnson of the Roosevelt Institute describes further how the EuroCrisis has become a tool to break the social contract:
« Kommandantur SPD ?» Les derniers jours qui précèdent les élections à la Baronnie s'avèreront de plus en plus passionnels et passionnants. La drame y est déjà, au même titre que le sang, la mort, les espions, les intimidations et la résistance, et on s'y attend vivement... à un éventuel « appel du 18 juin » ! À moins qu'au soir du 17 juin déjà, un certain « Samarelos » (Samaras et Venizélos), ou un remplaçant surprise, viendra « faire à la Grèce le don de sa personne pour atténuer son malheur, car en ces heures douloureuses il pense évidemment aux malheureux chômeurs qui dans un dénuement extrême finissent par se suicider », surréaliste non ? Seulement, nos derniers suicidés, n'attendent plus rien, leurs comptes du vécu politique étant définitivement et violemment clôturés. Mercredi très tôt, un homme de 60 ans, Alexandre, s'est pendu sur une place de Nikaia, dans les faubourgs ouest d'Athènes. Donc on n'oubliera pas. « C'est incroyable et pourtant c'est vrai. C'est compréhensible. On se met à rêver.
Skouries turned into a battlefield The forest of Skouries in northern Greece's Halkidiki peninsula turned into a battlefield tonight as local villagers and Syriza leaning protesters clashed with riot police [see update below]. Approximately 2000 demonstrators marched peacefully to Eldorado company’s site over the severe environmental impact from its gold mining operations. Riot police squads had already blocked the way through the entrance and hurled teargas to disperse the crowd. There were multiple reports of outrageous police brutality going viral on twitter as the incident was not broadcasted by mainstream media. 18 people were detained and led to the police department of Polygyro (capital of Halkidiki) where another 150 gathered to express their solidarity. Riot police officers allegedly smashed window cars and threw teargas canisters inside *pictures and video via alterthess.gredited by @inflammatory_
Europe's elites feel the backlash | World news For over two years, the mainstream political elites of Europe have been battling to save the single currency, seeking its salvation in a German-scripted programme of austerity and legally enshrined fiscal rigour that curbs the budgetary sovereignty of elected governments. In elections in France on Sunday, in the Royal Palace in The Hague on Monday, and on Wenceslas Square in Prague on Saturday, a democratic backlash appeared to be gathering critical mass as the economic prescriptions of the governing class collided with the street and the ballot box. The collision looks likely to bring down three European governments. Mark Rutte, the centre-right Dutch prime minister, threw in the towel on Monday, submitting his resignation to Queen Beatrix after seven weeks of fruitless haggling over colossal spending cuts, which are required to comply with new European rules he has done much to design. "There's a new uncertainty," said Paul De Grauwe, a leading Belgian economist.
Égée La Mémorandocratie ces derniers jours, s'apparente à un château branlant, tandis qu'en dehors de la Baronnie et pour ce qui est de la « construction » européenne, la grande auberge devient décidément espagnole, sans compter sur les spéculateurs qui donneraient trois moins à l'euro, guère davantage, pour... se sauver. Et aux Grecs ? Ce dimanche « Avgi », quotidien proche de SYRIZA titre : « Nous prendrons la responsabilité [de gouverner] et nous garantirons l'unité du peuple à travers un programme qui sortira la Grèce de la crise, de la pauvreté et du discrédit », tandis que toutes les autres formations politiques ne voient plus qu'un seul adversaire, la Gauche radicale. Il y a dans ce pays du vent mauvais, du vent qui tourne et du vent de l'Égée. Mon ami Vardis, est skipper professionnel (www.sun-sailing.com) depuis presque vingt ans. C'est indéniablement un signe du crépuscule pour une certaine classe moyenne, mais entre nous, nous n'irons pas forcement pleurer.
La vérité sur la Grèce | Un appel de Mikis Theodorakis à l'opinion publique internationale Mikis Theodorakis prendant une manifestation contre les nouvelles mesures d’ajustement structurel, devant l’Université d’Athènes. Un complot international est en cours, visant à mener à terme la destruction de mon pays. Les assaillants ont commencé en 1975, avec comme cible la culture grecque moderne, puis ils ont poursuivi par la dissolution de notre histoire récente et de notre identité nationale, et aujourd’hui ils essaient de nous exterminer physiquement par le chômage, la famine et la misère. Si le peuple grec ne se soulève pas pour les arrêter, le risque de disparition de la Grèce est bien réel. Je la vois arriver dans les dix prochaines années. Le seul élément qui va survivre de notre pays sera la mémoire de notre civilisation et de nos luttes pour la liberté. Jusqu’en 2009, la situation économique de la Grèce n’avait rien de très grave. L’année passée, M. En 2008, la grande crise économique est arrivée en Europe. En 2009, (en novembre), au moment de l’arrivée de G. M. Mais M.
La police grecque menace les représentants de l'UE et du FMI Soutien musclé pour les milliers de manifestants réunis à Athènes pour une nouvelle journée de grève générale: le principal syndicat policier menace de réclamer des mandats d'arrêt à l'encontre des représentants de l'Union européenne et du FMI, accusés de torpiller le pays à grand coup de rigueur. Au gouvernement, les défections se multiplient : en fin d'après midi, deux ministres socialistes et trois d'extrême-droite avaient présenté leur démission. "Policiers, porcs, assassins". Ce slogan est régulièrement scandé pendant les manifestations ou inscrit sauvagement sur les murs. Plus rarement, "la police avec nous". Comme vous poursuivez cette politique destructrice, nous vous prévenons que vous ne pouvez nous contraindre à nous battre contre nos frères. souligne le syndicat, qui représente plus de deux tiers des effectifs policiers de la Grèce. Cette lettre précise que l'une des personnalités visées est Poul Thomsen, le principal représentant du FMI en Grèce. Un soutient symbolique
VIDEO - Grèce: un député néonazi agresse deux députées en direct à la télé Que s'est-il passé ? Ilias Kasidiaris, porte-parole de Chryssi Avghi qui a fait irruption au parlement avec 6,9% des voix lors des dernières élections du 6 mai, est sorti de ses gonds sur le plateau de la chaîne Ant1 quand la députée de gauche radicale Rena Dourou a évoqué les poursuites lancées contre lui par la justice pour un vol à main armée en 2007. Son procès s'était ouvert mercredi mais a été ajourné au 11 juin. La vidéo de l'agression L'activiste néonazi a alors jeté un verre d'eau à la figure de Mme Dourou en l'insultant, avant de se tourner vers une autre élue, communiste, Liana Kanelli, qui s'était levée pour protester. Selon une journaliste de la chaîne, des employés ont tenté de le retenir mais il a pris la fuite. Dans un appel téléphonique ultérieur à la chaîne, Kasidiaris s'est défendu en accusant Mme Kanelli de l'avoir agressé en premier. Condamnation Le gouvernement intérimaire a "condamné l'attaque de la manière la plus catégorique".
Grèce et mine d'or : la fôret de Skouries se transforme en champ de bataille (dernière mise à jour le 1/10/2013 - 19:00) La forêt de Skouries, dans le nord de la péninsule grecque de Halkidiki s’est transformée en champ de bataille dimanche soir alors que des villageois et des manifestants proches du Syriza se sont affrontés avec la police anti-émeute. Environ 2000 manifestants ont défilé pacifiquement vers le site de la société Eldorado contre l’impact environnemental grave de ses activités d’exploitation minière. Des escadrons de la police anti-émeute avait déjà bloqué l’entrée et lancé des grenades lacrymogènes pour disperser la foule. Il y a eu plusieurs cas de brutalité policière scandaleux qui n’ont pas été –comme souvent– repris par les médias traditionnels. Photo A. Iliopoulos, membre du mouvement de jeunesse Syriza aurait dit: «Ils (les policiers) nous ont poursuivi jusqu’en bas de la route pendant 7km et les gens ont été pris de panique. Quelques vidéos de la journée d’hier (source antigoldgreece) :
Plus un gramme de graisse Plus un gramme de graisse Pour recevoir les 130 milliards d'aides promis pour lui éviter le faillite, la Grèce est sommée de trouver 325 millions d'euros d'économie supplémentaires pour 2012. Une condition qui semble irréalisable à un pays en cure d'austérité depuis de longs mois : les syndicats du public et du privés réunis ont appelé à la grève générale ces 10 et 11 février.