Par où commencer pour débuter une veille? Il faut bien commencer quelque part, voici donc le premier article de la série Débuter une Veille. Pour info, j’ai déjà abordé ce sujet dans les articles suivants, sur Un Geek à Paris : Voici quelques questions essentielles (mais simples) à se poser : A quel sujet? Essayez de placer quelques phrases de contexte, quelques mot-clés sur le(s) thème(s) qui vous intéresse, ou trouvez quelques sites liés à votre thème. Pourquoi? Essayez de résumer votre objectif quelques mots. Pour quoi? Il est important de bien définir votre objectif : gagner en expertise? Pour qui? Faites-vous une veille pour vous uniquement, ou souhaitez-vous la diffuser plus largement? Ces questions vont soulever des points importants en termes aussi bien techniques (pdf? Concernant les aspects légaux de la veille, je glisse ici un lien vers une présentation très bien faite sur ce thème. Combien de temps suis-je prêt y passer? Le temps est un facteur important car la veille devient très vite chronophage.
Ne pas confondre veille et curation | Web et media social Il apparait aujourd’hui deux termes bien distincts dans le lexique des community managers : la veille et la curation. Ces termes mettent en évidence deux pratiques ayant pour but la diffusion de contenu à un public visé, mais par des biais différents. La veille médiatique consiste en une surveillance d’un sujet donné sur les médias et leurs productions liées à l’actualité. Elle peut être le cas échéant rétrospective pour augmenter la profondeur de vue et décrypter un évènement médiatisé.Elle peut être orientée voire mixée avec d’autres veilles (comme la veille concurrentielle qui pourra déborder sur une veille « média » de la concurrence et être incorporée dans la veille concurrentielle par exemple dans une logique de benchmarking).Dans les pays anglo-saxons, on traduit ce terme par « media monitoring« . Un public différent La première particularité que l’on peut noter est sans doute le fait que l’information n’est pas destinée au même public. Une méthodologie différente
Partageons nos procédures de veille J’ai lu les moyennement récents et très intéressants billets de Pierre Marige et Cécile Arènes, blogueurs bibliothécaires, concernant leurs méthodes de veille personnelles (respectivement Veille numérique sans agrégateur et Veille : démêler l’écheveau). Il est fascinant de voir que les mécanismes mis en œuvre sont toujours basés sur les mêmes outils grand public, articulés dans un système cohérent et performant à chaque fois original. Au vu du temps nécessaire pour dénicher et trouver comment exploiter de façon pertinente ces dispositifs, pour un système efficace qui satisfasse à ses propres exigences, il m’a paru être effectivement une bonne idée (pour se renouveler et améliorer sa collecte) de partager les procédures mises en place. Voici donc, aujourd’hui, dans l’état actuel de mes besoins et des outils disponibles, comment j’organise ma veille scientifique. Peu d’originalité en définitive, en tout cas moins dans les processus que dans le choix des outils. Imprimer ce billet
Content Curation Strategies for Digital Learning In our digitally connected world, most of us have become curators of content as we utilize the technology tools in our pockets to interact with each other. We practice curation for both personal and professional reasons by saving our favorite links, images, videos, and other resources, which we have either found ourselves or have been shared with us. In turn, we usually share this curated content with each other through social media, email, text messages, etc. We can then carefully curate the information that we assemble and organize on social media, as it collectively becomes our representation of our digital selves. Even this blog is another example of curation, as I often include the links to other sources that I find valuable, and arrange my thoughts, ideas, and illustrations into a cohesive whole. In my last blog post, Curation for Digital Learning, I detailed the reasons why schools and districts should engage in content curation to facilitate digital learning. 1. 2. 3. 4. 5. 6.
Des outils pour s’organiser, sans être submergé Les outils numériques dédiés à l’organisation, multiples et variés, rivalisent d’ingéniosité et de fonctionnalités nous promettant et nous conduisant même à des usages que nous n’aurions sans doute pas imaginés avant de les découvrir. Une journée ordinaire avec mes appareils connectés À peine réveillée par la douce mélodie programmée sur mon smartphone, une alerte Google me rappelle qu’il est temps de partir : Google Calendar a pris en compte l’adresse et l’horaire de mon premier rendez-vous de la journée, enregistrés quelques jours plus tôt sur mon agenda électronique. Une consultation rapide de Netvibes me permet de me tenir au courant de l’actualité : sur mon Dashboard, j’ai regroupé les sites qui m’intéressent en m’abonnant à leur flux, j’y consulte aussi directement mes comptes Facebook et Twitter pour rester en contact avec mes «amis» ou «abonnés». Installée devant mon ordinateur de bureau, je vais pouvoir transmettre sans délai le document que je viens de finaliser. Références :
La curation de contenu Mise à jour janvier 2015 Présentation L’agrégation de contenu permet de collecter des liens et de relever les nouveautés des sites qui nous intéressent, la curation permet de choisir des pages pour leur sens et leur contenu en les classant par thème, un peu comme une gestion de nos favoris (marque-pages) en ligne que nous souhaitons faire partager.Une présentation plus globale sur Wikipédia Les outils de curationPour organiser les informations et les éditer, deux familles d’outils de curation sont disponibles : Les services automatisés, basés sur des traitements algorithmiques tels que Paper.li et The Tweeted Times qui mettent par exemple en page les liens les plus souvent signalés sur les comptes twitter ou Facebook du "curateur", en plus des ressources signalées directement. les plateformes où la curation est effectuée par les humains : Pearltrees et Scoop.it par exemple. Un exemple d’outil : Pearltrees Pearltrees propose trois fonctionnalités principales : Haut de page Les avantages
Livre blanc collaboratif sur la veille Aujourd’hui sort un livre blanc collaboratif dédié exclusivement à la veille et la recherche d’informations : plus de 15 auteurs accompagnés d’une quinzaine d’interviews de professionnels. Le tout coordonné par Flavien Chantrel, Anne-laure Raffestin, Terry Zimmer et moi-même. Avec pour objectifs de vous faire découvrir et approfondir certaines notions clés liées à la veille. Sans vouloir faire la genèse de cet Ebook, qui a pris un certain retard et vous accompagnera donc pour vos vacances, voici rapidement ce qui a motivé sa création. Tout d’abord un premier constat : s’il existe de nombreux livres blancs collaboratifs du même style (Twitter, identité numérique, e-réputation, etc.), il n’en existait pas encore dédiés à la veille. Ensuite, la veille est aujourd’hui inhérente à de nombreuses activités (du web ou pas), et il paraissait intéressant de proposer non-seulement des approches permettant de mieux se l’approprier, mais aussi des visions plus poussées sur certains de ses aspects.
Les 5 étapes de la veille L’AFNOR définit la veille comme une « activité continue en grande partie itérative visant à une surveillance active de l’environnement technologique, commercial, etc., pour en anticiper les évolutions ». C’est l’art de détecter et d’interpréter les signaux faibles pour leur donner du sens, de fournir la bonne information, au bon moment, à la bonne personne pour lui permettre de prendre la bonne décision, de bien agir et idéalement de faire évoluer son environnement dans un sens propice. Autrement dit, la veille se définit comme un processus informationnel par lequel l’entreprise se met à l’écoute de son environnement dans le but créatif de découvrir des opportunités et de réduire des incertitudes, voir d’anticiper des menaces. Elle se déroule donc selon un cycle de cinq étapes : le ciblage, le sourcing, la collecte et la sélection des informations, l’analyse et la synthèse, la diffusion. 1. Le ciblage doit permettre de définir les besoins de veille de l’entreprise. 2. 3. 4. 5.
Curation : Méthodologie, objectifs, pratiques et choix des outils Consultant-formateur en intelligence économique et en veille, Christophe Deschamps est aussi l’auteur d’Outils froids, blog de référence sur les outils Web 2.0, services en ligne de veille et de curation et l’organisation personnelle de travail. Il a donné le 13 mars 2012 une conférence sur le thème de la curation (« ensemble de pratiques et une gamme d’outils destinés à des opérations de republication web ») pour le compte des rendez-vous 5 à 7 de l’ADBS (association des professionnels de l’information et de la documentation). 12 solutions de curation et 32 critères de choix Pour cette conférence-formation, le consultant-formateur fait le point sur la curation aujourd’hui à travers une définition avant de s’intéresser à un historique et à des pratiques liés à des contextes et à des enjeux professionnels ou individuels. Vidéo de la conférence curation Chaine ADBS Présentation de Christoophe Deschamps Licence : Creative Commons by-nc-saGéographie : Île-de-France
Hubbi. Moteur de recherche d’informations a partir d’une carte Hubii est une heureuse surprise dans l’avalanche de d’outils de recherche et de fils de news et d’autres agrégateurs rss. Hubii, je ne vous le cache pas est un petit coup de coeur personnel. Hubii est un puissant moteur de recherche de news essentiellement issues des sites web des journaux en ligne. Sur Hubii vous pouvez lire les nouvelles depuis des centaines de sources à travers le monde, simplement en choisissant un lieu sur une carte type Google Maps. Vous choisissez la zone géographique sur la carte. Aussitôt, Hubii vous propose toutes les sources présentes à cet endroit. Ce journal, Hubii l’appelle un Mapazine. Hubii permet par ailleurs une utilisation sous la forme d’un moteur de recherche classique à partir d’un ou de plusieurs mots clés. Hubii est un outil de veille simple qui nous a réellement séduits. Like Loading...