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What is the theory that underpins our moocs?

What is the theory that underpins our moocs?
If you’re even casually aware of what is happening in higher education, you’ve likely heard of massive open online courses (MOOCs). They have been covered by NY Times, Chronicle of Higher Education, TV programs, newspapers, and a mess or blogs. While MOOCs have been around since at least 2008, the landscape has changed dramatically over the past 10 months. Personally, I’m very pleased to see the development of Coursera and EDx. A secondary focus, for me (and far lower on the scale than the primary one mentioned above), is around the learning theory and pedagogical models that influence different types of MOOCs. In 2008, Stephen Downes and I offered an open online course, Connectivism and Connective Knowledge (CCK08). The MOOCs that we’ve done – and the ones that Jim Groom and Alan Levine run (DS106) and Alec Couros runs (EC&i831) – are defined by a participative pedagogical model. What is the theory that underpins our MOOCs? 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8.

Théorie du connectivisme Editor’s Note: This is a milestone article that deserves careful study. Connectivism should not be con fused with constructivism. George Siemens advances a theory of learning that is consistent with the needs of the twenty first century. His theory takes into account trends in learning, the use of technology and networks, and the diminishing half-life of knowledge. George Siemens Introduction Behaviorism, cognitivism, and constructivism are the three broad learning theories most often utilized in the creation of instructional environments. Learners as little as forty years ago would complete the required schooling and enter a career that would often last a lifetime. “One of the most persuasive factors is the shrinking half-life of knowledge. Some significant trends in learning: Many learners will move into a variety of different, possibly unrelated fields over the course of their lifetime. Background Driscoll (2000, p14-17) explores some of the complexities of defining learning. References

Le blog de Christine Vaufrey » Blog Archive » MOOCs francophones : ça commence ! Michel Briand, directeur adjoint en charge de la formation à Telecom Bretagne, suit de très près l’actualité des MOOCs. Il a d’ailleurs ouvert une page de wiki sur Intercoop , où il recueille patiemment et de manière très organisée les informations sur le sujet , et les MOOCs francophones en particulier. N’hésitez pas à alimenter cette page si vous avez des références supplémentaires. Quelle est l’information la plus récente sur cette page ? L’ABC de la gestion de projet dispose d’un atout qui attirera de nombreux apprenants et limitera la déperdition en cours de route : c’est un cours certifié par l’école centrale de Lille, à laquelle appartient Rémi Bachelet. L’ABC de la gestion de projet : Les grandes écoles semblent décidément très intéressées par les MOOCs et plus réactives que les universités. Mais revenons un moment sur Télécom Bretagne : cette école va ouvrir au printemps tout proche un MOOC sur le sujet des réseaux mobiles.

Bruillard, É., & Baron, G.-L. Travail et Différents types de MOOCs Le terme MOOC : Massive Online Open Course, ou cours ouvert massivement multi-apprenants, a été proposé en 2008 et popularisé par quelques universités américaines l’année dernière. La première caractéristique de ces cours est qu’ils sont ouverts à tous, chacun pouvant s’inscrire à son gré. La deuxième dimension est que le nombre d’inscrits fait que les échanges entre participants (on parle aussi de pairs) sont encouragés, voire deviennent la forme primaire de l’apprentissage, ou de l’accompagnement. On assiste donc bien à un phénomène nouveau coté cours en ligne : des cours ouverts, non limités en nombre de participants (et c’est sans doute la caractéristique la plus innovante), et dont certains regroupent effectivement un grand nombre de participants. Le premier type de MOOC est basé sur une démarche participative, où chacun effectue ses propres recherches d’informations, échange avec ses pairs, et publie ses propres conclusions sur le site de son choix. J'aime : J'aime chargement…

Mooc : la standardisation ou l’innovation Le développement des cours en ligne massifs et ouverts (Mooc pour massive online open courses) attise autant l’enthousiasme que le rejet. Pourtant, comme nous l’avons déjà signalé, ils n’ont rien de magique et paraissent bien souvent plus une réponse économique qu’éducative. En accentuant la concurrence entre universités et entre les étudiants eux-mêmes… les Mooc semblent répondre à un problème pédagogique par une solution économique très spécifique. Or, l’enjeu éducatif n’est pas là. Si vous n’avez pas encore succombé au buzz des Mooc (massive online open courses, Cours en ligne ouvert et massif), ça ne saurait tarder : le temps de l’enseignement supérieur de masse en ligne est venu et la face du monde en sera changée, nous dit-on. La course à la plate-forme Image : Day of the Mooc par Michael Branson. La frénésie est donc à son comble. L’innovation pédagogique en question En réalité, il leur est aisé de montrer que tout a changé. La standardisation des cours Dominique Boullier

BAUDRIT, Alain. L’apprentissage collaboratif: Cours en ligne ouvert à tous 20 strategies for learner interactions in mobile #MOOC Let's be honest, we all LOVE research *grin*, or facts, or lists, or useful practices ... or practical strategies for that matter. Well, here is a new set of useful strategies for mobile MOOCs, I hope you like it! In my latest research I focused on the impact of mobile access on learner interactions in a MOOC (Massive Open Online Course). The research was done to get my Master in Education at Athabasca University. The readable and hopefully useful list of 20 mobile strategies to increase learner interaction in a MOOC that came out of my research can be found below in this post, but feel free to read the full thesis here, it has links to ethical procedures (e.g. informed consent form), some web analytics, community of inquiry use to screen learner interactions.... de Waard, I. (2013). Abstract of the research As mobile access and massive open online courses (MOOCs) become a global reality, the realm of potential distance learners is expanding rapidly. Design 1.

Faire son MOOC : l’exemple d’ITyPA Un des buzz du jour semble être le nouveau slideshare de George Siemens « Designing, developing, and running (massive) open online courses ». Après une présentation de ce qu’est un MOOC, il nous propose un petit mode d’emploi pour construire son cours en 9 étapes faciles : Topic, audienceFind someone to teach withDetermine ContentPlan spaces of interactionPlan interactions (live, asynch)Plan *your* continued presenceLearner creation (activities)Promote and shareIterate and improve Une bonne occasion de faire le point sur le prochain MOOC que j’ai la joie de préparer avec mes compères Anne-Céline Grolleau, Morgan Magnin et Christine Vaufrey ! Le sujet et l’auditoire. Nous sommes rapidement tombés d’accord sur l’idée qu’un premier MOOC francophone se devait de traiter les bases d’un tel cours, à savoir comment apprendre à l’heure d’Internet. Trouver quelqu’un avec qui enseigner Définir le contenu Ça, c’est en cours de sélection. Planifier les espaces Planifier les interactions Like this:

Ce billet rédigé aussi par George Siemens est important car il explique les fondements théoriques de la création des cMOOC est met en avant en quoi ils diffèrent des autres types de MOOC.



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Ce billet rédigé aussi par George Siemens est important car il explique les fondements théoriques de la création des cMOOC est met en avant en quoi ils diffèrent des autres types de MOOC. by annek2 Jan 6

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