La pépinière-parc des Arbres de Marcillé (49) La pépinière-parc des Arbres de Marcillé « Elever des arbres dans le parc de Marcillé, telle est notre passion. » Installés dans le splendide parc agro-pastoral du XIXème siècle, les Arbres de Marcillé sont le complément des réflexions portées par les concepteurs de l’Atelier Ruelle Paysage dont les locaux sont implantés au coeur du domaine. Une alchimie s’y développe entre masses végétales boisées, prairies inondées de lumière et les parcelles réservées aux Arbres de Marcillé. L’observation du parc est source de créativité dans la conduite des arbres : Liberté des formesTeintes des troncs et des feuillagesVolumes contraints et sculptésExpression des architectures végétales… Un paysage actif, une économie Une soixantaine d’hectares de boisements plurispécifiques, un patrimoine historique fait de vallons et de pièces d’eau… des composantes de la biodiversité en limite de l’agglomération angevine. Le Parc fut totalement abandonné pendant 25 ans. L’eau est un élément-vecteur. Map Data Map
Les Arbres de Marcillé, une réussite au coeur du parc Ce samedi, plusieurs élus municipaux en compagnie du maire ont visité la pépinière-parc de Marcillé. Philippe Lebrun, chef de culture, et Emmanuel Jaulin, commercial, les ont guidés à travers les quatre hectares de pépinières où sont cultivés plus de 3 000 arbres. « Élever des arbres dans le parc de Marcillé, c'est notre passion », confient les deux guides. Ce magnifique parc de 55 hectares du XIXe siècle, qui domine la Mayenne, est un vrai trésor du patrimoine naturel local. Une alchimie s'y développe entre masses végétales boisées, prairies inondées de lumière et les parcelles réservées aux Arbres de Marcillé. Installés dans les dépendances du château de Marcillé, les Arbres de Marcillé interviennent en complément de l'Atelier Ruelle Paysage. Une démarche de production locale La pépinière-parc des Arbres de Marcillé n'en est pas à ses premières commandes. Les magnifiques collections du parc de Marcillé sont ouvertes à la visite pour tout acheteur potentiel.
Gérard Penot, les convictions d’un Grand prix de l’urbanisme - Profession Le 25 novembre, Sylvia Pinel, la ministre du Logement, de l’Egalité des territoires et de la Ruralité, a remis son prix au fondateur de l’Atelier Ruelle. « L’urbanisme en action, c’est une opinion. » Au soir du 25 novembre, alors qu’il recevait son Grand prix de l’urbanisme des mains de Sylvia Pinel, la ministre du Logement, de l’Egalité des territoires et de la Ruralité, Gérard Penot a rappelé avec force et conviction son engagement. Le fondateur de l’Atelier Ruelle avait été désigné, en mai dernier, lauréat pour l’année 2015 de cette récompense qui depuis 1989 vise à saluer une vision de la fabrique urbaine. Venu le moment de la cérémonie officielle, l’urbaniste a estimé que, bien plus qu’une récompense, il s’agissait surtout là d’une « forte responsabilité (…) dans les moments que nous vivons. » Pour conclure ce discours qui ne pouvait laisser quiconque indifférent, Gérard Penot a revendiqué une dernière prise de position : « permettez-moi une opinion rock ».
Quand les abribus deviennent « intelligents » et connectés En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies afin de réaliser des statistiques d'audiences et vous proposer une navigation optimale, la possibilité de partager des contenus sur des réseaux sociaux ainsi que des services et offres adaptés à vos centres d'intérêts. Pour en savoir plus et paramétrer les cookies... ciel couvert Vent : 25km/h - UV : 1 Clôture veille : 4957.6 Ouverture : 4960.38 Replay Emissions A Paris, cent abribus vont arborer un écran tactile relié aux services numériques de la capitale. Cinquante ans après son apparition, l'abribus devient un site "connecté" à Internet qui rend d'autres services que celui de vous protéger de la pluie. Lundi 23 mars 2015, Anne Hidalgo, maire de Paris, et Jean-Charles Decaux, président du directoire de JCDecaux, inaugurent à la Bastille, le premier abri voyageurs parisien doté d’un écran tactile. Deux mille abris-voyageurs sont renouvelés à Paris Les abribus contribuent à désengorger les réseaux mobiles
Top 10 des photos de Paris en 2050 par l’architecte Vincent Callebaut Paris avant, c'était libéré, Paris aujourd'hui, c'est bourré de no-go zones, mais Paris demain ? L'agence Ecologie Urbaine a donc demandé à l'architecte Vincent Callebaut, accompagné d'un cabinet d'ingénieur, d'imaginer un Paris plus vert et plus beau en 2050. Il a souhaité une ville "smart", durable, dense et connectée. Résultat : beaucoup d'arbres, des éoliennes, des tours lumineuses et sûrement beaucoup de bornes Wi-Fi. Gare du Nord Le XIIIe Montparnasse Notre-Dame Pont Aval (XIIème) Porte d'Aubervilliers Rue de Rivoli Tour Eiffel En revanche, on n'a pas de nouvelles des Autolib, ni de NKM. Source : La Ville Lumière
CO2D Collectif démarche durable Urbanisation : ralentissement de l’artificialisation des sols - Transport et infrastructures Alors que la course au béton s’était emballée entre 2000 et 2006, elle s’est nettement ralentie les années suivantes. L’étude sur l’occupation des sols en France publiée mardi 5 janvier par le ministère de l’Ecologie montre une poursuite de l’artificialisation des sols, mais à un rythme moins soutenu. Selon l’étude 2015 de Corine Land Cover, outil européen utilisé par le ministère de l’Écologie pour mesurer l’évolution des surfaces artificialisées à travers des images satellite, la part des surfaces artificialisées sur le territoire métropolitain connaît une progression, entre 2006 et 2012, de + 0,49 % par an ; hausse nettement moins importante que celle observée entre 2000 et 2006 (+ 1,30 % par an). La population métropolitaine, en comparaison, croît de 0,53 % par an. Entre 2006 et 2012, le poids des territoires artificialisés a augmenté de 0,16%, ce qui correspond à 87 000 hectares supplementaires sur 6 ans, contre une hausse de 0,40%, soit 221 000 ha entre 2000 et 2006.
La Surélévation à Paris : Mode d'Emploi - Architectes-Paris La loi Alur de Cécile Duflot votée en mars 2014 instaure la suppression du Coefficient d’Occupation des Sols (COS) qui était de 3 à Paris : 3 m² de surface plancher pour 1m² de terrain au sol. Cette loi ouvre donc de nouveaux droits de construire. Anne Hidalgo, actuelle maire de Paris, compte bien profiter de cette loi. Elle envisage effectivement de surélever 12% des immeubles parisiens, c’est-à-dire de créer un à cinq niveaux supplémentaires selon les immeubles, dans le but de créer 40.000 nouveaux logements. Paris est une des capitales les moins hautes en termes de bâtiments. En supprimant le C.O.S, la loi ALUR souhaite réinvestir cette technique dans les rues larges d’au moins 12 mètres. En tout, 11.520 immeubles qui seraient concernés, soit 8,6% des immeubles que compte la capitale. A partir de 2000€/m² nous vous trouvons l’architecte idéal pour votre projet de surélévation en collaboration avec bam. Il apparaîtrait qu’une surélévation vaille entre 2000 et 4500€/m².