Les données culturelles resteront-elles moins libres que les aut La question de la réutilisation des données publiques fait boule de neige en ce moment, au point de devenir l’un des sujets les plus chauds du web. Au sein des données publiques, les données culturelles possèdent un statut à part et sont soumises à des règles particulières, qui ne sont pas toujours nettement appréhendées lors du débat sur la réutilisation des données publiques. La question a rebondi ces dernières semaines, suite au choix opéré par le Ministère de la Justice de placer son Répertoire des Informations Publiques (RIP) sous une licence innovante (la licence IP – Information publique), qui présente la particularité de s’inspirer des mécanismes des licences libres pour faciliter la réutilisation gratuite des données (voir l’article de Thomas Saint Aubain, le concepteur de cette licence). Je dois dire qu’il y a longtemps que j’attendais qu’une telle initiative soit prise par un acteur public. Certains ont été plus rapides que moi et se sont déjà emparés de la question. WordPress:
Afrique : Histoire, Economie et Politique The Oligarch to the dying press : “Nasdarovie!” Coincidence. At the same time as the Russian billionaire Alexandre Lebedev was finalizing the acquisition of the British paper The Independent, France-Soir was relaunched with great fanfare and money from another oligarch, Sergey Pugachyov. It is not a coincidence, it is an emerging pattern. A terrible one. In which huge amounts of money of questionable origin will take over dying media. These two papers are by no means comparable. Ten days ago, I mingled among 300 others guests, sipping a glass of Champagne on the top of the Georges Pompidou Center a Renzo Piano-designed building at the heart of Paris. As a matter or fact, I would. Nothing to be proud of. Editorial Chinese Wall (Made in Russia) Coincidence, take II. In a nutshell: First, Mrs Vulvert is a former general manager of the Centre National du Cinéma, the munificent French taxpayer subsidies pipeline dedicated to the French movie industry’s welfare. These complicated circumvolutions actually buy very little influence.
Les Cafés Géo » Le Cameroun, l’Afrique en miniature En 1472, les Portugais avec à leur tête l’explorateur Fernando Pô arrivent sur les côtes du Cameroun et sont étonnés par les milliers de crevettes pullulant dans le fleuve Wouri. Ils baptisent cette terre inconnue des Européens « Rio dos Camarões », ce qui évolué en «Cameroun». Au cœur de l’Afrique, proche de l’Équateur, le Cameroun combine à la fois tous les atouts et tous les problèmes du continent, au point qu’il est possible en s’intéressant au Cameroun, d’étudier dans un seul territoire, l’Afrique dans son ensemble. Le poids des héritages coloniaux Le Cameroun est revendiqué mais non exploité par les Portugais. Cette appropriation est confirmée lors des conférences de Berlin en 1884-85 qui attribuent à l’empire allemand outre le Cameroun, les actuels Togo, la Namibie, la Tanzanie et le Rwanda. Après 1918, la France et le Royaume-Uni se partagent les dépouilles de l’empire colonial allemand en Afrique. Un territoire riche et convoité En 1960 fut proclamée l’indépendance du Cameroun.
UNESCO to host meeting on controversial 'memory of water' research The United Nations Educational, Scientific and Cultural Organization (UNESCO) is potentially wading into hot water next month when it hosts a meeting set up by Nobelist Luc Montagnier to discuss his controversial research on what has become known as "the memory of water." The afternoon at the agency's Paris headquarters will feature talks about the virologist’s widely ridiculed idea that water can carry information via an electromagnetic imprint from DNA and other molecules. The meeting has so far raised little public opposition from researchers, but the announcement on UNESCO's website acknowledges its controversial nature, saying: The promoters of this conference are aware of the critical reactions aroused by this work in parts of the scientific community, so they wish to communicate their results with the utmost rigor. Montagnier says the issue is actually getting less controversial as fresh evidence for his claims is coming in.
Al Qaida dans les pays du Maghreb islamique AQMI dans l’espace (...) L’ESPACE géographique où sévit AQMI s’insère dans un espace gigantesque : le Sahara couvre 8 000 000 km2, auxquels il convient d’ajouter les 3 000 000 km2 du Sahel. Ces contrées, comparables en cela à des étendues maritimes, se montrent difficilement contrôlables. AQMI en utilise une partie car la configuration du terrain lui offre de multiples avantages : les conditions de vie très difficiles écartent la plupart des hommes, il existe de nombreux axes de communication hormis les routes transsahariennes répertoriées et des ressources importantes se trouvent dans la région. Un relief accidenté Contrairement à un lieu commun répandu, les dunes n’occupent que 20% du territoire du Sahara. La région saharo-sahélienne est donc propice au camouflage de petits groupes mobiles, offre aux populations qui la parcourent une multitude de refuges (canyons, grottes, rochers en surplomb) et fournit des sites de repli quasiment inexpugnables. Une immense zone aride Un espace de communication Les Touaregs
Combien de pays y a-t-il en Afrique? - Africa Check L’Afrique est un continent mais avec combien de pays? La question nous a été posée. La réponse est plus complexe qu’elle ne paraît. Il y a 55 Etats reconnus soit par l’UA, soit par l’ONU, soit par les deux à la fois. Par Ruth Becker « Combien de pays le continent compte-t-il en tout? L’expéditeur, @Infosecafrica, faisait observer que l’organisation politique régionale, l’Union africaine, compte 54 membres mais dit avoir vu un article indiquant que le continent comptait 57 pays. Combien de pays l’Afrique compte-t-elle donc? L’UA compte effectivement 54 membres Etablir le nombre de pays membres de l’Union africaine est en réalité tout à fait facile. Donc est-ce cela la réponse ? Le Maroc n’est pas membre D’abord le Maroc est un pays, il fait partie de l’Afrique et est membre du groupe Afrique aux Nations Unies. Donc la réponse à la question –mise à part les objections marocaines – est-elle 55 pays? Et qu’en est-il du Somaliland? Le phénomène n’est pas spécifique à l’Afrique
Des satellites pour sauver la forêt et surveiller les eaux du Gabon "Le satellite est en train de passer dans notre zone de couverture !" Sur la commune de Ntoum, à une trentaine de kilomètres de Libreville, dans la forêt équatoriale, la parabole géante se met tranquillement en mouvement, la gueule d'acier ouverte vers le ciel. Sur un rayon de 2.800 km couvrant 23 pays, du Sahara à l’Afrique australe, les images captées par cette antenne de réception satellite vont permettre d’établir des relevés extrêmement précis du sol africain. Objectif: mieux protéger un environnement menacé par les grandes sécheresses, les pollutions marines ou encore l’exploitation forestière. L’idée du projet Ageos (Agence gabonaise d’études et d’observation spatiale) – financé pour neuf millions d’euros par un accord de conversion de dette géré par l’Agence française de développement – est née en 2007 lors de négociations internationales sur le climat. Comment le lac Tchad a-t-il pu perdre 90% de sa superficie en 50 ans ? – ‘Traiter et interpréter’ l’image –