Première Guerre mondiale: des photos inédites de la vie dans les tranchées HISTOIRE - Ce sont des clichés encore jamais vus de la Première Guerre mondiale. Ils sont l'œuvre du caporal nord-irlandais George Hackney, qui a capturé clandestinement la vie dans les tranchées en France lors de la bataille de la Somme en 1916. S'il avait été vu avec un appareil photo sans autorisation, ce soldat aurait fait face à une cour martiale... D'abord diffusés par la BBC dans un documentaire intitulé The Man Who Shot the Great War (L'homme qui photographia la Grande Guerre), ces photos sont décrites comme une "collection unique" par son réalisateur Brian Henry Martin, offrant "une fenêtre sur ce qu'il était de vivre et mourir sur le front occidental". » Découvrez ces photos inédites de la Grande Guerre ci-dessous: George Hackney/Ulster Museum George Hackney/Ulster Museum George Hackney/Ulster Museum George Hackney/Ulster Museum George Hackney/Ulster Museum George Hackney/Ulster Museum George Hackney/Ulster Museum George Hackney/Ulster Museum
Les ravages de la guerre 14-18 Contexte historique La guerre de 1914-1918 marque tragiquement l’entrée du monde dans le XXe siècle. Ce fut une guerre mondiale et totale : à des degrés divers, tous les continents y furent impliqués, même si l’essentiel des opérations militaires se déroulèrent en Europe. Prévu et préparé depuis longtemps, le conflit était inéluctable pour l’Allemagne qui avait vainement tenté d’isoler diplomatiquement la France depuis la guerre de 1870. Le mécanisme des alliances – Triple-Alliance et Triple-Entente – devait irrémédiablement fonctionner pour peu que se produisît l’étincelle qui déclencherait les hostilités. Malgré le nombre important de puissances engagées dans le conflit dès les premiers mois de la guerre – Allemagne, Autriche-Hongrie, Italie, Empire ottoman, Bulgarie, Serbie, Russie, France, Grande-Bretagne, Roumanie –, l’affrontement fut essentiellement franco-allemand au départ. Analyse des images Interprétation Le conflit n’a donc pas épargné les monuments historiques.
Mot-clé grande guerre Général Gallieni, 1915 Moment de grâce, 1916 Dreyfus, officier de la légion d’honneur, 1919 Grand’Place d’Arras, 1919 L’adjudant Jean-Pierre Lenoble, 1921 Mise au tombeau du Soldat inconnu, 1921 Bombardement rue de la Lune, 1918 Lunchtime, 1916 Morts pour la France, 1917 Auguste Thin et le Soldat inconnu, 1920 Soldats aveugles, 1916 Poilu sept fois blessé, 1916 Marcel, mobilisé de 1914 Départ des volontaires belges, 1914 Henri, mobilisé de 1914 Soirée à la cave, 1918 14, rue de Rivoli, 1918 Comme des bêtes fourbues, 1916 Bombardement rue de Tolbiac, 1918 Le chemin, la vérité et la vie, 1916 Hôtel de ville de Montdidier, 1919 Obsèques de victimes parisiennes, 1918 Station de métro refuge, 1918 Permission en famille, 1915 « précédents - page 1 de 2 Fil des articles “grande guerre”
Fiches pédagogiques de l'ONAC La tranchée symbolise la guerre dite de « position » et l’un des lieux d’affrontement durant ces quatre années de guerre. Description générale Les tranchées forment un système avec plusieurs lignes grossièrement parallèles et des boyaux étroits pour les communications. Elles sont construites en zigzag et sont interrompues par des obstacles de terre ou des chicanes pour éviter tout tir en enfilade. Entre les tranchées ennemies, c’est le « no man’s land ». Profonde de deux mètres, la tranchée dispose de banquettes surélevées pour les observateurs ou les tireurs. Vus d’avion, les tranchées et les boyaux constituent un système de circulation qui est ensuite répertorié sur des cartes. Les clichés photographiques montrent le quotidien de ces hommes soumis aux intempéries : pluie, neige, soleil, gel, etc. Les soldats ne sont généralement pas présents plus de six à huit jours en première ligne, ils rejoignent ensuite la zone de l’arrière-front. Des témoins racontent : Quelques définitions Coll.
Le parcours du combattant de la guerre 1914-1918 Retracer le parcours du combattant (2) La mobilisation des classes 1911-1919 Le 1er août 1914, le gouvernement français décrète la mobilisation générale. Que s'est-il passé pour les 880 000 hommes alors au service militaire ? Et quand les classes suivantes furent-elles mobilisées ? Les classes 1911, 1912 et 1913 : Ces classes sont alors sous les drapeaux. La mobilisation trouve donc ces hommes à la caserne. En raison de la loi des trois ans de 1913, trois classes sont au service en août 1914. La classe 1911 depuis octobre 1912, les classes 1912 et 1913 depuis respectivement octobre et novembre 1913. "Art. 41 : la présente loi n'est pas applicable aux classes de 1910, 1911 et 1912, qui demeurent régies par la loi du 21 mars 1905". La classe 1911 devait donc être libérée en septembre ou octobre 1914, la classe 1912 en 1915. La majorité de ces hommes se retrouvèrent donc rapidement au front. Les classes 1914, 1915, 1916, 1917, 1918 et 1919 : Parfois la mention est tamponnée. Témoignages :
Centenaire de la Première Guerre mondiale: combien de «poilus» de votre département parmi les victimes? [CARTE INTERACTIVE] Temps de lecture: 8 min Sur la plaque, deux soldats, un fantassin et un fusilier-marin, regardent vers un horizon espéré radieux: l'oeuvre date de 1935, dix-sept ans après la «Der des Ders», dont les deux bornes, «août 1914-novembre 1918», encadrent leurs visages. En dessous, on peut lire: «Les anciens combattants bretons à leurs 240.000 morts» Ce chiffre qui orne la grande galerie de la cour d'honneur des Invalides, on le trouve aussi dans la basilique de Saint-Anne d'Auray (Morbihan), sous la plume d'un député ou dans des ouvrages grand public. Extrait du guide touristique Le Petit Futé consacré à la Bretagne. 240.000 Bretons tués sur un total de plus de 1,3 million de soldats morts pour la France durant la Première Guerre mondiale? Comme était fausse l'assertion, début 2013, d'un Jérôme Cahuzac, alors encore ministre du Budget, assurant sur Europe 1 que la Corse était «le département qui a payé en pourcentage le plus lourd tribut à la guerre de 14-18». Où habitaient les morts?
La géographie des « morts pour la France » LE MONDE | | Henri Gilles, Jean-Pascal Guironnet et Antoine Parent Le sentiment que des régions ont été plus sacrifiées que d’autres durant la Grande Guerre, bien présent dans la mémoire collective, en particulier en Bretagne et en Corse, est-il fondé ? En étudiant la répartition géographique des « morts pour la France », nous avons cherché à mesurer les écarts entre les pertes humaines des régions françaises métropolitaines. Nous avons tenté de les expliquer à partir de variables testables empiriquement, dans le but d’identifier et de « reconstruire » une rationalité, au sens économique, des choix du haut commandement. Par son exploitation exhaustive de la base de données « Mémoire des hommes » du ministère de la défense, et par les techniques économétriques employées, cette recherche cliométrique se démarque d’une grande partie des travaux antérieurs des historiens. Comment avons-nous procédé ? La démographie des régions explique-t-elle les disparités de morts entre celles-ci ?
Fiche de révision : Une nouvelle Europe. Fiche de révision : Une nouvelle Europe. mardi 14 avril 2015, par Christophe Clavel Voici une fiche de révision sur la 1re Guerre mondiale : Une nouvelle Europe.. Les surlignements correspondent à des codes : JAUNE pour les mots-clés, le vocabulaire spécifique ; VERT pour les dates et les chiffres ; BLEU pour les acteurs et les lieux. Vous pouvez télécharger cette fiche de révision en PDF : Présentation du dossier « L'armistice du 11 novembre 1918 » - Pour mémoire - CNDP L’armistice, signé le 11 novembre 1918 entre les Alliés et l’Allemagne marquant la fin de quatre années de guerre, constitue un moment clé de la conscience nationale et européenne. « L’École a pour mission l’enseignement de l’histoire de la Grande Guerre, et également la transmission de la mémoire » (*). La commémoration de l'armistice permet de mener un travail d'Histoire ancré dans un enseignement de la citoyenneté et des valeurs de la République. © H. Marquis Partant des événements de l'année 1918 (voir le chapitre 9 du livre La Grande Guerre par M.C Bonneau-Darmagnac, Fréderic Durdon, Pierrick Hervé, CRDP de Poitiers collection trait d’union, 2008) qui ont conduit à l'arrêt des combats, cet opus de la collection « Pour Mémoire » met en évidence les spécificités de la Première Guerre mondiale. (*) Commémoration du 90e anniversaire de la fin de la Première Guerre mondiale, Bulletin officiel de l’Éducation nationale, n° 24 du 12 juin 2008. La Grande Guerre, M.C.