Web 3.0 Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'expression Web 3.0 est utilisée en futurologie à court terme pour désigner le Web qui suit le Web 2.0 et constitue l'étape à venir du développement du World Wide Web. Son contenu réel n'est pas défini de manière consensuelle, chacun l'utilisant pour désigner sa propre vision du futur d'internet. Historique[modifier | modifier le code] Historiquement, le Web 3.0 est une expression qui désigne la troisième étape en cours des transformations majeures dont le Web fait l'objet depuis son lancement : Le Web 1.0 est le Web constitué de pages web liées entre elles par des hyperliens qui a été créé au début des années 1990.Le Web 2.0 est le Web social, qui s'est généralisé avec le phénomène des blogs, des forums de discussion agrégeant des communautés autour de sites internet et enfin avec les réseaux sociaux. Le Web 3.0, lui, n'est pas vraiment défini. Problèmes posés par le terme[modifier | modifier le code] People keep asking what Web 3.0 is.
Application composite Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Mashup. Une application composite (ou mashup ou encore mash-up) est une application qui combine du contenu ou du service provenant de plusieurs applications plus ou moins hétérogènes. On parle de mashup dans le cadre d'une superposition de deux images provenant de sources différentes, superposition de données visuelles et sonores différentes par exemple dans le but de créer une expérience nouvelle. Dans le cas de site web, le principe d'un mashup est donc d'agréger du contenu provenant d'autres sites, afin de créer un site nouveau. De plus en plus d'éditeurs de contenu proposent gratuitement des API, afin d'encourager la communauté des développeurs à créer des mashup utilisant leur contenu. C'est le cas de Google, de Yahoo! Les mashups sauvages ne sont pas toujours les bienvenus et leur situation commerciale est fragile puisqu’ils exploitent des données qui ne leur appartiennent pas.
Internet des objets Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'Internet des objets (IdO ou IoT pour Internet of Things en anglais) représente l'extension d'Internet à des choses et à des lieux du monde physique. Alors qu'Internet ne se prolonge habituellement pas au-delà du monde électronique, l'internet des objets connectés représente les échanges d'informations et de données provenant de dispositifs présents dans le monde réel vers le réseau Internet. Histoire et définition de l'internet des objets[modifier | modifier le code] Histoire[modifier | modifier le code] L'Internet des objets est apparu dans le cadre d'une tendance[2] lourde, issue de la mécanisation et standardisation, appliquée à l'automatisation du traitement du document et de l’information sur support matériel puis numérique (dont au service de la production et recherche documentaire). Éléments de définition[modifier | modifier le code] Commercialisation et Marché de l'IoT[modifier | modifier le code] Radio-étiquettes Étiquettes graphiques
semanticweb.com - The Voice of Semantic Web Business La WWDC 2012 en direct La conférence inaugurale de la WWDC débutera à 19:00, heure française. La présentation, qui se tient au Moscone Center de San Francisco, durera environ 1h30, et comme à notre habitude, nous vous proposerons sur cette page, un suivi en direct, en français et en images. Nous mettrons tout en œuvre pour que vous puissiez suivre dans les meilleures conditions les annonces de la conférence. Ainsi, nous vous demandons d'utiliser la page de la dépêche, et non la page Actu, afin d'économiser la bande passante de Consomac et d'optimiser les temps de chargement de nos pages. La conférence de la WWDC est traditionnellement réservée aux annonces logicielles, et on s'attend d'ailleurs ce soir à une présentation en profondeur d'iOS 6 et de Mountain Lion. En attendant le début de la conférence, nous mettrons régulièrement cette page à jour au fur et à mesure que des informations nous parviennent. 14:15 Vous l'avez constaté, de très nombreuses rumeurs ont été publiées ces derniers jours.
Web sémantique Logo du W3C pour le Web sémantique Le Web sémantique, ou toile sémantique[1], est une extension du Web standardisée par le World Wide Web Consortium (W3C)[2]. Ces standards encouragent l'utilisation de formats de données et de protocoles d'échange normés sur le Web, en s'appuyant sur le modèle Resource Description Framework (RDF). Le web sémantique est par certains qualifié de web 3.0 . Alors que ses détracteurs ont mis en doute sa faisabilité, ses promoteurs font valoir que les applications réalisées par les chercheurs dans l'industrie, la biologie et les sciences humaines ont déjà prouvé la validité de ce nouveau concept[5]. L'article original de Tim Berners-Lee en 2001 dans le Scientific American a décrit une évolution attendue du Web existant vers un Web sémantique[6], mais cela n'a pas encore eu lieu. Histoire[modifier | modifier le code] Tim Berners-Lee à l'origine exprimait la vision du Web sémantique comme suit : — Tim Berners-Lee, Weaving the Web[13] — Weaving the Web[13]
Thoughts on Google Plus: The Magic Isn’t Social, It’s Semantic It’s been said that I’ve called Google Plus “one of the subtlest and most user-friendly ontology development systems we’ve ever seen.” I did, and you can listen for yourselves on the Semantic Link podcast. Why did I do so? Well, G+ follows some of the basic principles of linked data: it uses persistent HTTP URIs for people, Sparks (concepts) and posts. Let’s take those points one at a time, with pictures. Persistent URIs for People Everyone with a G+ account gets assigned a random string of numbers as their unique identifier. [click images to open them at full size in new tabs/windows] How is this ontological? Persistent URIs for Sparks Sparks are the name Google uses to refer to concepts, also known as subjects, categories, tags, terms (you get the idea.) This warrants more dissecting and attention. One interesting thing to note, especially for those who aren’t clear on the fact that semantic data can be kept private. Persistent URIs for Posts Why this Matters They’ve learned.
Les réseaux sociaux de photos et le droit d'auteur | Blog de Net-iris de juin 2012 Introduction Aujourd'hui se développe un nouveau type de réseaux sociaux : les réseaux communautaires spécialisés dans le partage de la photographie, à l'image d'étoiles montantes comme : Pinterest et Instagram. Il est alors important de connaître la protection qui est accordée par le droit d'auteur aux photographies partagées face aux réseaux communautaires de photographies. Avec l'arrivée d'internet, et plus particulièrement du web 2.0, les réseaux sociaux ont commencé à émerger. Aujourd'hui les ténors des réseaux sociaux : Facebook ou Twitter sont largement utilisés par les internautes en effet environ 800 millions d'internautes sont membres de Facebook, contre 500 millions environ pour Twitter. Ces réseaux sont d'une importance croissante sur la toile, mais ils ont fait aussi couler beaucoup d'encre, notamment Facebook et ses conditions générales d'utilisation qui sont très peu protectrice des droits de ses utilisateurs. Les photographies protégées par le droit d'auteur Sources :
Microformat Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Un microformat (parfois abrégé sous μF ou uF) est une approche de formatage de données dans des pages WEB[1] qui cherche à rationaliser et standardiser le contenu existant, comme les métadonnées, en utilisant des classes[2] et attributs de balises[3] XHTML et HTML. Cette approche est conçue pour permettre à l'information destinée aux utilisateurs finaux, telle que le carnet d'adresses, les coordonnées géographiques, les événements et autres données ayant une structure constante, d'être traitée automatiquement par les logiciels. Même si le contenu des pages web était déjà capable techniquement d'être « traité automatiquement » depuis la conception du web, il existait certaines limites. Les microformats actuels permettent l'encodage et l'extraction d'événements, d'information de contact, de relations sociales et ainsi de suite. Historique[modifier | modifier le code] Ni CommerceNet ni Microformats.org ne sont un corps de standards.
Semanlink Home Page BYOD Introduction Aujourd'hui les salariés n'hésitent plus à apporter leurs propres terminaux comme des téléphones mobiles, smartphones, tablettes,... au sein de leur société. Cependant cette nouvelle tendance non encore appréhendée par le droit pose une multitude de questions, notamment concernant la sécurité de l'entreprise, mais surtout concernant la préservation de la vie privée du salarié. Le fait pour les salariés d'apporter, et d'utiliser sur le lieu de travail leur téléphone mobile, leur tablette, porte un nom : BYOD (Bring Your Own Device). Cela a encore l'avantage de l'absence de formation du salarié, puisque celui-ci connaît son appareil, de même pour les risques de dégradation du matériel de l'entreprise qui n'existe plus, puisque le salarié utilisant son propre matériel en prendra soin. Cependant, cette pratique est une réalité qui tend à se répandre, en effet, aujourd'hui environ un quart des smartphones et des tablettes utilisés en entreprises appartiennent aux salariés.