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Web Squared, transition vers le web 3.0 ou nouveau paradigme ?

Voilà maintenant près de 5 ans que l’on parle du web 2.0 (ce terme a pour la première fois été utilisé en 2004 lors du Web 2.0 Summit) et depuis le grand jeu a été de savoir quand arrivera la prochaine itération. Pour faire simple disons que le web 2 .0 était le terme utilisé dans les années 2006/2007 pour décrire un changement majeur dans les usages de l’internet (voir ma dernière définition en date). Ce dernier repose sur deux notions fondamentales: l’intelligence collective, le web comme une plateforme (pour les utilisateurs et les services). Maintenant ce terme est passé de mode et l’on emploie plus volontiers celui de médias sociaux qui sonne moins “informatique” à l’oreille. J’ai également eu l’occasion de faire un panorama des différents services associés aux médias sociaux ainsi que de donner une définition. Web 1.0 = plateforme pour les documentsWeb 2.0 = plateforme pour les individusWeb 3.0 = plateforme pour les données Web² = Web 2.0 + World Pourquoi parler du Web Squared ?

http://www.fredcavazza.net/2009/07/24/web-squared-transition-vers-le-web-30-ou-nouveau-paradigme/

Vers un web 3.0 ? A peine le web 2.0 et ses concepts disruptifs commence-t-il à révéler son réel potentiel que l’on commence déjà à parler de la prochaine itération : le web 3.0. Ce mystérieux web 3.0 est-il une réalité aujourd’hui ? Non, pas du tout. Est-il opportun d’en parler dès maintenant ? Médias sociaux » Archive du blog » Vous utilisez tous les médias Je ne vais pas vous ressortir ici les chiffres sur les nombres d’utilisateurs des réseaux sociaux mais je voulais m’arrêter sur deux informations intéressantes qui témoignent du poids pris d’un point de vue “usage” (je n’aborde pas volontairement pas ici les outils) par les médias sociaux. Les utilisateurs partagent leur contenu… et surtout sur Facebook Historiquement, sur les sites, nous avions la première fonctionnalité virale qui était le fameux “Send to a friend” ou “Envoyer à un ami” en français. On demandait à l’utilisateur son e-mail et l’email de un ou plusieurs contacts à qui il souhaitait faire suivre une page, un site… C’était le “viral a papa” et surtout à faible échelle puisque la fonctionnalité était soit peu mise en avant et donc peu utilisée, soit alors obligatoire pour aller plus loin dans l’utilisation d’un site (qui généralement était un jeu-concours).

Le Web 3.0 : l'alliance du P2P et du Web 2.0 ? Alors que l'on commence tout juste à comprendre ce qu'est le Web 2.0, des experts évoquent déjà un Web 3.0 encore davantage centré sur l'utilisateur. A la manière des réseaux P2P, celui-ci serait invité à héberger lui-même ses propres créations. Avec le Web 1.0, les contenus étaient produits et hébergés par les entreprises de façon centralisée et statique. Le Web 2.0 (Wikipedia, MySpace, Flickr...) passa la charge de production de ces contenus aux internautes, tandis que l'hébergement restait toujours à la charge de sociétés à but lucratif. Plusieurs spécialistes évoquent désormais l'avènement prochain "du" Web 3.0 (si tant est qu'il n'y en ait qu'un).

Le Web à la puissance 2 : le Web 2.0 cinq ans plus tard On ne présente plus vraiment Tim O’Reilly et John Battelle. Tim O’Reilly, des éditions O’Reilly, est devenu l’un des gourous incontournables du web. Initiateur – et promoteur – de la notion de Web 2.0 (voir notre traduction), il demeure l’un des plus fins observateurs du changement technologique. John Battelle, journaliste, auteur de La révolution Google est quant à lui l’un des spécialistes des moteurs de recherche.

Vers le web 3.0 Par Hubert Guillaud le 21/11/06 | 27 commentaires | 28,068 lectures | Impression “Le web 2.0, qui décrit la capacité de relier sans couture des applications (comme la cartographie) et des services (comme le partage de photographies) via l’internet, est devenu ces derniers mois le centre d’attention de toutes les sociétés de la Silicon Valley. Pour autant, l’intérêt commercial pour le Web 3.0 – ou “le web sémantique” – émerge seulement maintenant. L’exemple classique de l’ère du Web 2.0 est le mashup – par exemple, un site web de location de vacances relié aux cartes de Google pour créer un service nouveau et plus utile qui montre rapidement, sur une carte, la liste des locations disponibles. Le Saint Graal des promoteurs du web sémantique consiste en un système capable de donner une réponse raisonnable et complète à une question simple du type : “Je recherche un endroit chaud pour les vacances. J’ai un budget de 3 000 dollars.

Après le web 2.0 : l’informatique omniprésente Par Hubert Guillaud le 23/06/08 | 9 commentaires | 8,375 lectures | Impression L’informatique omniprésente (dite aussi informatique ubiquitaire ou UbiComp, c’est-à-dire, l’informatique des capteurs) sera l’étape qui succédera au web 2.0, prédit Tim O’Reilly. Pour entériner cette intuition, il évoque deux histoires récentes.

FAIRE UNE RÉUNION DE TRAVAIL EN LIGNE FACILE AVEC TEAM APART 06 août 2009 Posté par Olivier Ruffin dans Services en ligne Team Appart est un nouveau service en ligne actuellement en beta fermée (invitations disponibles à la fin de l’article) qui se propose de simplifier les réunions de travail en ligne. Le web intelligent prend forme : web sémantique, linked data 01Business le 16/10/09 à 00h00 sommaire Actuellement, quand nous utilisons un moteur de recherche, celui-ci ne comprend pas notre requête. Il trouve les pages où apparaissent les mots-clés cités dans notre demande mais ne nous garantit pas qu'elles y répondent vraiment. Le web sémantique se veut intelligent, une idée aussi ancienne que la Toile elle-même.

Vers un web granulaire Par Hubert Guillaud le 15/02/07 | 9 commentaires | 7,785 lectures | Impression La conception web peut-elle devenir plus granulaire ? Par granulaire, on entend la possibilité de composer des sites web complexes à partir de “pièces détachées”, de fonctions unitaires externalisées auprès d’autres acteurs. Ainsi, on peut de plus en plus imaginer l’externalisation de processus tels que l’authentification d’un utilisateur (OpenId), la mise en place d’un système de réputation (RapLeaf), le stockage (Amazon S3) ou le traitement de données (Amazon EC2), la vérification des e-mails (Undisposable) de vos visiteurs, etc. Autant de bases de données et de fonctions qui, connectées les unes aux autres, finissent par constituer l’infrastructure même de services riches et complexes.

29 thèmes pour personnaliser Google Chrome 3.0 01net le 05/08/09 à 11h55 Mise à jour (19h45) : Google a mis en ligne une nouvelle version de la Bêta, Chrome 3.0.195.4.

Oui, je suis d'accord avec toi et c'est bien l'orientation que je prends avec mon projet de création d'entreprise, et que je taquine l'équipe Pearltrees (Nicolas et Pierre-Etienne) sur la sortie de l'API car c'est l'outil principal pour y parvenir. D'ailleurs j'avais promis de faire un test avec le fichier RDF en export à l'heure actuelle. D'ailleurs dans ce fichier, nous avons pas toutes les discussions de sauvegarder c'est dommage, seule la discussion principale est sauvegardée. Je te propose de continuer éventuellement par mail la discussion (v.barberot@networkvb.com) by networkvb Jan 13

Tu nous suggère quoi Patrice ? Sachant que dans la solution Pearltrees jouera le rôle central, nous sommes bien d'accord ? by networkvb Jan 13

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